Nom et Prénom : Je me nomme Méada Hjalmar. Âge : 27 années. Le quart de siècle est passé déjà et les années continuent de s'écouler, sans que je ne m'en aperçoive vraiment.  Contrée de naissance :  Dans le Nord, un petit village d'Alcahar. Allégeance :  Je n'obéis réellement qu'à ma Guilde et les autres serments que j'ai pu prononcé sont illusoirs.  Statut du sang : Mon sang est loin d'être noble, fille de paysan je suis, même s'il m'est déjà venu aux oreilles que nos ancêtres étaient de meilleure naissance. Ma foi, je ne m'en porte pas plus mal aujourd'hui.  Race : Je suis humaine. J'aurais aimé être semi-elfe, je l'admets. J'envie leur agilité, leur beauté et leur longévité.  Statut civil : Il fut un temps ou l'amour m'était important. Ou l'idée d'avoir un mari l'était tout autant. Aujourd'hui, je n'échangerai ma liberté contre rien au monde et l'amour n'est pas encore venu frapper à ma porte.  Orientation sexuelle : Quelle importance ? Femme ou homme, ne nous tombons pas amoureux d'un sexe mais d'une personne Métier ou fonction : Officiellement marchande de tissus, officieusement assassin chez les sombrelames. Faction ou Guilde : Guide des sombrelames, pour la servir Rang : Maître assassin Armes possédées : J'ai en ma possession un couteau qui me vient de mon père. De l'acier de bonne qualité, que l'on transmet en principe d'homme à homme. J'ai brisé la tradition, semble-t-il. J'ai également en ma possession une arbalète disons.. disons emprunté.

ɤ Une tentative d'assassinat a eu lieu durant le tournoi organisé en l'honneur du Roi Halbarad II, les rumeurs disent qu'il s'agissait d'un membre du conseil des Sombrelames, pensez-vous que la Guilde soit devenue une menace pour le royaume ? La guilde a toujours œuvré pour l'harmonie et l'équilibre. Elle est un fondement même de ces deux principes et le monde n'en serait que plus dévasté si elle n'existait pas. Elle est une menace pour ceux qui gênent oui, mais pour le commun des hommes, elle n'est là que pour assurer leur protection. Ni plus ni moins. De plus, la réelle menace n'est pas la Guilde, c'est cette foutu Main Noire. Croyez-moi qu'ils n'ont pas intérêt à être dans les parages.  ɤ  Les animaux qui peuplent la forêt de Pestebois semblent être devenus fous. Des villages entiers ont subis des attaques de loups géants, une odeur nauséabonde se dégage de Pestebois, tout semble pourrir et n'être que chaos, jusque dans le cœur des hommes. Pensez-vous que cela annonce le retour d'un Enclin ? Je ne sais pas, je suis sceptique, je ne veux pas y croire. Les signes sont là, tout porte à croire que c'est le cas et pourtant... Après tout ce temps, est-ce encore possible ? Je me dis parfois, que la Guilde n'a pas veillé assez à la sécurité de ces gens là, j'en viens à douter mais je suis persuadée que si ces habitants se ressaisissent et si les forces des royaumes s'allient, tout reviendra à la normal et le pire évité. La paix est une denrée rare, préservons là. ɤ Suite à la destruction d'une partie de la Tour du Cercle, des mages ont tenté de s'enfuir et ont été violemment abattus par les Templiers, un vent de révolte souffle parmi les mages, qu'en pensez-vous ? La question est de savoir si ces gens étaient dangereux ou non. S'ils l'étaient, les tuer étaient nécessaire, ne pensez-vous pas ? Entre de mauvaises mains, la magie peut faire tellement de mauvaises choses et les révoltes mènent bien vite aux révolutions. Cependant, libertaire comme je le suis, ce n'est pas en les traitant comme ils sont traités qu'ils se tairont et se tiendront bien sages comme des moutons. N'importe quel abruti aurait compris que leurs conditions ne pouvaient pousser qu'à la rébellion.  ɤ Quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? Lorsque je me suis lancée sur ce chemin, que j'ai décidé que je serai sombrelame, j'étais jeune, pleine de doutes et d'incertitudes sur mon futur. Lorsque mon maître - ancien maître désormais - a commencé à me parler, j'ai eu cette indescriptible impression que les mots qu'ils prononçaient, le futur qu'il décrivait était le mien. La Guilde m'a appris l'honneur, l'humilité et le sens du devoir. La servir est un devoir, être au service de l'harmonie également. !

La naissance de Méada est le fruit d'un amour sincère et passionnel entre ses parents. Lui était forgeron, travaillant pour son père et de laquelle il a hérité à son décès. Elle était fille du tailleur du village. Ils furent fiancés puis mariés par arrangement par leurs parents respectifs, désireux de faire grandir la fortune de leur famille. Passés les premiers mois d’accoutumance à la vie commune, l'affection puis l'amour ont commencé à s'installer au sein du couple. Un amour loin d'être présent dans les sept royaumes. C'est cet amour et ce désir d'enfant qui a créé Méada. Et Aedan, son jumeau. C'est lui qui est sorti le premier des jupes de sa mère quelques minutes avant elle. C'est pourtant elle qui poussa le cri le plus fort, ce jour là, ce que ne manquait pas d'affirmer son père, lorsqu'il cherchait à la taquiner. Il n'y avait pas de quoi avoir honte, pour elle, au contraire. Sa soif de vivre, elle la ressentait en elle depuis toujours. Ils furent les deux seuls enfants du couple, qui ne parvint pas à en avoir d'autre, malgré de nombreux essais infructueux, deux fausses couches et un mort-né. Les Dieux, avaient dit le guérisseur qui avait ausculté la femme, n'avait pas eu le bonheur de lui accorder le droit d'enfanter de nouveau, la double grossesse ayant déjà abimé son corps de manière trop durable.

Elle a donc grandi entourée d'une famille aimante, stricte mais mais juste. Femme, elle était principalement avec sa mère qui, lorsqu'elle le pouvait, lui enseignait tout ce qu'elle savait. Ces connaissances seraient jugées, par des gens de haute naissance, rudimentaires mais pourtant, c'est sans doute grâce à celles ci que Méada est ce qu'elle est aujourd'hui. Si elle ne savait pas lire jeune, elle savait de par sa mère tenir les comptes et connaissait les unités de mesure, ainsi que différents tissus, comment les assembler, ceux que l'on porte en été et ce qui est mieux à porter pour se protéger du froid. Pourtant, ce n'était pas dans cette activité, aussi passionnante était-elle, qu'elle trouvait son plaisir.
Elle aimait se battre. Personne ne sait vraiment d'où lui est venu ce don pour les armes mais il était pourtant bien là, lattant. C'est avec Aedan qu'elle s'est entrainée, pendant leur jeunesse. D'abord avec des bouts de bois, qu'ils avaient trouvés par terre. Puis un jour, elle subtilisa des barres de fer dans l'atelier du père. Peut-être que pour Aedan, ce n'était qu'un jeu mais Méada s'y voyait déjà. Elle aussi rêvait d'aventures chevaleresques, elle aussi rêvait de chevaucher son propre cheval, de ne pas être que la femme de son mari. Elle aussi rêvait de batailles, de combats contre des animaux fantastiques. Combien de fois avaient-elle rêvé du loup qui hantent les forêts du nord, loup qu'elle s'amusait à traquer et tuer, ramenant ainsi la peau à sa mère qui en ferait un manteau ? Mais rien de tout cela n'était réellement réalisable. Car une jeune fille doit bien se tenir. Cette phrase, Méada l'entendait sortir de la bouche de sa mère presque tous les jours lorsque celle-ci apercevait les bleus sur les genoux et bras de sa fille. A la maison, ils pensaient tous que cette obsession n'était que passagère mais ils avaient tord et seul le temps allait pouvoir démontrer l'inverse.


Adolescente, son tempérament farouche et téméraire n'avait pas disparu, il s'était même développé. Si certains enfants vivaient des périodes difficiles, notamment dans leurs relations avec leurs parents, ils devaient paraître bien palots face à la tempête qu'était Méada. C'était toujours la première à répondre de manière sèche à une remarque qu'on lui faisait, la première à contester les punitions et à ne pas les effectuer. Ah ça, on peut dire que ce fut loin d'être une adolescente facile. En plus de son caractère tourmenté, elle développa à l'égard de Roskva, la jeune fille qu'aimait son frère, une jalousie et répulsion sans précédent. Le lien étroit qu'elle avait partagé avec lui pendant son adolescence la poussait à dénigrer et critiquer quiconque lui faisait la cour ou venait seulement à lui plaire. Après tout, dans ce monde, elle n'avait que lui. Pourtant, jamais elle ne montra cette face d'elle au grand jour, la réservant pour de médiocres complots qu'elle fomentait toute seule, dans son lit, quand la lune était venue. Elle ne voulait pas tuer, non.. Elle voulait simplement éliminer ceux qui pouvait lui prendre son trésor le plus précieux, le soleil de ses journées.
Hélas, il lui finit par lui être arraché. Elle qui n'envisageait pas la vie sans la présence protectrice et rassurante de son jumeau dut se faire à la séparation mais pas de la manière à laquelle elle s'attendait.
J'espère que tu comprends ma décision. Lui avait-il dit, alors qu'il s'apprêtait à partir pour devenir templier. De son plein gré. Non avait-elle voulu lui crier. Mais ce jour là, sa gorge était sèche comme du papier et aucun son, aucune supplique n'était sorti de sa bouche. Elle l'avait écouté – pour la première fois, sans doute, avec une attention totale – expliquer les raisons de son départ mais il lui semblait qu'elles sonnaient toutes fausses. Comment pouvait-il décemment se décider à l'abandonner, elle, sa sœur ? Elle se disait intérieurement qu'elle préférait même qu'il se marie avec cette fille, comment s'appelait-elle déjà ? Peut importait, plutôt que d'aller prendre l'habit des templiers. Certes, son frère avait toujours rêvé d'être chevalier... mais templier ? Elle ne pouvait se résoudre à le voir disparaître de sa vie et pourtant, c'était lui qui l'avait décidé. Elle percevait cet acte comme une trahison, un abandon. Il se délestait d'elle, plutôt que d'assumer son rôle de frère, de fils, d'époux. C'était faible, c'était lâche, c'était immonde à ses yeux et alors qu'il s'en allait au loin, lui faisant des grands signes et après lui avoir promis que leurs routes finiraient par se recroiser , elle sentit quelque chose se briser en elle.

Paradoxalement, les années qui suivirent passèrent à la fois vite et lentement. Chaque jour, elle ressentait le cruel manque de son frère, l'absence qu'il avait laissé dans la maisonnée. L'ambiance n'était plus la même, moins légère, plus pesante. Amputée d'un de ses membres, la famille n'était plus la même. Bien sûr, ce temps serait forcément venu mais personne ne s'imaginait qu'il arriverait si tôt. Son père, qui avait pris un apprenti pour qu'il lui succède à la tête de la forge oublia peu à peu Méada, qui était pressentie pour reprendre la boutique de tissu lorsqu'elle serait plus âgée. Pourtant, la jeune femme aspirait à un tout autre destin.
Elle rêvait d'aventures. Si elle en voulait à son frère de l'avoir abandonné, elle l'enviait car il avait enfin pu quitter leur village et le Nord, si froid, si inhospitalier. Elle rêvait de parcourir les sept royaumes, de découvrir d'autres contrées. Elle rêvait de combats épiques, de batailles, d'action. Loin  de sa vie monotone qu'elle avait actuellement. Les périodes d'entrainements qu'elle s'imposait chaque jour étaient les seuls moments où son moral remontait. De jeune enfant, elle avait acquis ses formes d'adultes, de femme. Elle s'était en outre musclée, perdant les dernières rondeurs de l'adolescence pour se transformer en une belle jeune femme – il fallait l'avouer, elle avait du charme – svelte et musclée. Une femme qui évidemment attirait la convoitise. Mais jusqu'à présent, , son père ne s'était pas décidé à la fiancer, n'ayant sans doute pas obtenu une satisfaction totale des prétendants.
Le changement eu enfin lieu lorsque, les affaires étant devenues florissantes dans son villages et ceux alentours, son père décida qu'il irait vendre ses étoffes et armes au grand marché de Lakeshire. La perspective emplit de joie le cœur de Méada, personne ne l'avait vu si heureuse. Elle supplia son père de l'autoriser à l'accompagner – après tout, il fallait que sa mère demeure à la maison pour faire tourner la boutique et l'endroit serait idéal pour apprendre de nouvelles choses. Après une brève hésitation, son père accepta sa demande, à la grande joie de la jeune femme. Les mois passèrent ainsi beaucoup plus vite et l'heure tant attendue du départ sonna enfin. La traversée ne fut pas de tout repos mais elle lui permit de découvrir de nouveaux royaumes. Émerveillée, c'est avec joie qu'elle cheminait au côté de son père et pas une fois, il ne l'entendit se plaindre. L'été vint avec une chaleur un peu écrasante mais cela n'enleva rien au moral de la jeune femme. Enfin, Lakeshire se profila à l'horizon et Méada sentit que sa vie allait changer.
Le marché était grandiose, exactement ce qu'elle s'était imaginée. Partout, elle voyait des produits venant des sept royaumes. Des poissons de Medraven, des étoffes bien plus magnifiques que les siennes qui venaient sans doute du pays de Tameriel et plein de produits exotiques. Elle avait envie de toucher à tout mais cela aurait été mal vu : désormais adulte, l'enfant qui demeurait cachée au fond d'elle devait se tenir calme et l'énergie bouillonnante laisser la place à la courtoise attitude d'une élégante femme en société. Bien sûr, elle détestait devoir paraître devant les autres mais les pays du sud étaient bien plus sexistes que chez eux, dans le Nord.

Elle avait commencé à bien s'acclimater aux coutumes locales mais cela ne lui suffisait pas. Elle voulait autre chose. Elle n'imaginait pas si bien dire quand, dans sa tête, elle demandait du changement. Ce soir là, son père et elle dormaient à l'auberge d'un quartier pas très côté, sans être pour autant mal famé. Alors que son père dormait à poings fermés, elle était redescendue. Elle ne sait pas encore ce qui l'a poussé à redescendre ainsi, toujours est-il qu'elle n'explique pas son attitude. Une bagarre éclata, alors qu'elle se trouvait en retrait dans la salle. Le ton monta vite, les mots échangés furent violents. Soudain, l’inévitable se produit et l'un des deux poignarda l'autre. Pas suffisamment bien puisque la victime se releva et l'attaquant dut prendre la fuite. Quel abruti, il n'aurait jamais du le poignarder ainsi s'entendit elle souffler doucement. OH vraiment ? Et comment aurait-il du le faire ? Lui lança une voix derrière elle. Elle se retourna, surprise et découvrit un homme d'une trentaine d'années environ qui la regardait avec un sourire espiègle. Elle resta interdite quelques instants avant de répondre. Je ne sais pas, avait-elle dit honnêtement. Une lueur s'alluma dans l’œil de l'homme, il la détailla de haut en bas, tournant auprès d'elle. Admettre son ignorance est le premier pas de l'apprentissage lui sortit-il à l'oreille, avant de lui raconter une histoire, une belle histoire. Histoire qui pouvait être la sienne, qui lui garantissait liberté et aventures palpitantes. Elle fut conquise immédiatement.


Son apprentissage commença après cette nuit. Désireuse d'apprendre la moindre des choses, elle se montra parfois trop impatiente et en fit les frais. De situations dont elle se tira difficilement – être audacieuse peut s'avérer une qualité mais aussi un défaut – elle garda une balafre sur le mollet droit, assez fine cependant pour qu'on ne la distingue presque pas. Quelques cicatrices demeurent également sur ses bras et ses jambes, signes de ses combats parfois musclés mais jamais, au grand jamais, vous ne vous rendrez compte de rien, elle est suffisamment intelligente pour camoufler ses cicatrices. Ces trois années furent les plus longues mais aussi les plus enrichissantes de sa vie. Elle découvrir tant de choses qu'elle en fut bouleversée et de bouillonnante et téméraire, elle en devint calculatrice et parfois même froide. Elle apprit l'humilité avec la difficulté. Elle canalisa ses émotions, se fabriquant un masque serein en toute circonstances. Les épreuves qu'il lui faisait sans cesse subir étaient difficiles à surmonter mais cela forgea son caractère. Sans devenir un passe-temps, tuer fut pour elle une envie, une nécessité, un devoir. Tuer ceux qui gênaient, ce qui bouleversaient l'harmonie dans le monde. Que ressens-tu lorsque tu tues ? Lui avais-un jour demandé son maitre, après une énième mise en pratique des techniques apprises. Je ne pense pas quand je tue.  Je m'y refuse. Non pas que je répugne à la tache. Mais elle est nécessaire. Si j'y pensais, je verrai dans l'homme sa peur et elle finirait par me guetter. La peur ne doit pas exister chez un sombrelame car elle nous rend faible et moins vigilant. Tuer ne me fait plus mal, je sais que l'homme ou la femme que je tue en fera beaucoup plus que moi si il vit. Pour chaque goutte de sang que nous versons, des centaines d'autres versées sont épargnées. Tuer est une nécessité. Pourquoi devrais-je ressentir quelque chose ? Avait-elle répondu, d'une voix calme et sereine. Tu es prête, avait-il conclus.

L'Ahn-Ju. L'ultime passage pour passer d'élève à maître. Presque trois années s'étaient écoulées et malgré ça, elle ne se sentait pas prête. Même si elle avait déjà entendu son maitre dire qu'elle était douée. Très douée. L'on n'est jamais prêt pour ça, mais ce n'est pas pour cela qu'on y arrive pas avait tenté de lui dire son maitre, pour la rassurer. En vain. Elle ne pouvait plus reculer. Les trois épreuves furent chacune plus dures les une que les autres. Mais elle les réussit toutes. Pour la première fois, elle vit flotter un large sourire sur le visage de son maître. Un lien impérissable s'était tissé entre eux, un lien qui surpassait l'amitié, aussi futile que mensongère. La guilde... ils étaient tous ses frères et sœurs désormais. Sa nouvelle famille se trouvait ici.

ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; LADYBIRD. (ou Camille) Dix huit étés au compteur. ɤ Fréquence de connexion ; Pour le moment, disons trois quatre jour (puisque les partiels approchent, rush pour tout faire correctement) mais dès mai, ça ira mieux  ɤ Que pensez-vous du forum? ; C'est le forum que je cherchais depuis longtemps. Il mélange les univers de Tolkien et GOT avec même une touche de Bottero ! (C'est bien, j'ai un partiel sur ça à la fin du semestre, je vais pouvoir réviser dessus en rp ici) Bref, vous l'avez deviné, je l'aime déjà. ɤ Comment l'avez-vous découvert ? Par la jolie Alaska qui demandait une soeur pour son DC !  ɤ Code du règlement ; war will weather the souls of the lostɤ Célébrité choisie ; Gemma Aterton ɤ Credits (avatar, icon etc.) ;rping-gif-for-you

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE HERMIT.

Nous avons pris beaucoup de plaisir à lire ta fiche ! Ce personnage s'annonce des plus intéressants :cute:Bienvenue parmi nous

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

N'oublie pas une chose ; amuse toi bien !