Nom et Prénom : Siraliel BloodwrathÂge : 24 ans Contrée de naissance : Dans la Belle Tameriel. Allégeance :  Je n’obéis à aucun homme de ses terres, mon allégeance va à la Déesse Mara et aux huit autres anciens dieux. Statut du sang : Je suis née paysanne et j'en suis fière Race : HumaineStatut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Bisexuelle Métier ou fonction : Prêtresse de MaraFaction ou Guilde : AucuneRang : XArmes possédées : Siraliel possède un petit poignard recourbé, dont le manche est gravé des mots suivants :  Liberté, Courage & Pureté. Ce sont des valeurs auxquels elle tient. Son poignard quant à lui repose dans un fourreau de cuir à l'aspect usé qui est fait pour être attaché à la cuisse de la jeune femme seulement elle ne craint pas être attaqué et le porte donc très peu sur elle et le laisse donc dans un petit coffre en bois fait main sans aucun détails particulier même si son contenu l'est pour elle. Effectivement, le poignard est un cadeau d'un homme qu'elle a jadis aidé et apprécié, un rôdeur plus précisément mais depuis elle ne l'a jamais revu et donc ce poignard est le seul témoignage de son existence autre part que dans son coeur.

ɤ Que pensez vous de la mort du roi ? L’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? La Mort du Roi est une triste chose, chaque mort est un dommage même  si j'ai appris que c'est un cycle, et pour que l'équilibre soit maintenu, le cycle ne doit pas être rompu, tant  dans le droit de donner  la vie, tant dans le devoir de laisser notre place à d'autres. Mais la mort du Roi ne m'attriste pas autant que celle d'un être à qui je tiens avouons le,  car pour moi ce n'est qu'un Inconnu, de ma mémoire je ne l'ai aperçu que de loin, lors de mes passages à la capitale.De  plus, je lui en ai voulu un certains temps, car il avait brisé ma vie et bridé mes possibilités en faisant considérer tout Don comme une malédiction ainsi que le mien,  en poussant  les autres à nous laisser de côté . Ce n'est pas agréable d'être considéré comme une bête, une force du mal, alors que chacun d'entre vous est bien content de trouver des gens comme nous pour vous guérir lorsque la Faucheuse vous attend.   Enfin concernant l'héritier, je ne l'ai jamais vu mais s'il possède à la Foi, alors il apprendra de ses erreurs et de ce que lui diront les Dieux et sera Juste et Bon. Le Futur forge les gens, et il m'est interdit de juger, alors qui vivra verra. ɤ  A votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? Les Engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Je pense que tant que ce monde existera, que la magie plantera sa graine en nous et que le mal en fera de même alors les Engeances existeront. Si elles sont une menace je l'ignore, il est certain que dans le passé elles l'étaient, espérons que leurs énergies drainées les tiennent amorphes. Bien sûr, la Garde des Ombres se doit d'exister encore, car il y a toujours plusieurs monstres qui rôdent dans le noir, il ne faut pas s'arrêter seulement  à ce qu'on a connu dans notre passé.   ɤ Les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? La magie est elle une chose à proscrire ? J'ai horreur de cette manière de tout généralisé, de classer et de caser tout le monde dans des cases bien précises. C'est tout simplement ignoble, car cela nous prive d'une part de nous même. Et, cette sentence est injuste, puisque la Magie est une histoire de contrôle, de caractère. Si vous êtes quelqu'un de Bon, de Bien, vous utiliserez la magie à bon enscient, dans le cas contraire vous en abuserez pour avoir du pouvoir, et vous deviendrez sauvage, la magie prenant le dessus sur votre humanité. Il faut donc faire distinction, car moi-même qui est la possibilité de guérir mon don est considéré comme malédiction, je n'ose imaginer ce que vivent ceux dont le pouvoir est de manipuler le temps, les objets.  ɤ  La forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? Le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Le fait qu'il se passe des choses étranges ne justifient pas que ce soit les habitants naturels de la forêt de Sombrebois qui en soient responsables, aussi bizzare paraissent-ils. De plus ce ne sont que des rumeurs, et les gens ont des langues démesurées à la hauteur de mots dont ils ne saisissent pas la gravité. Je suis certaine que pour eux des loups sont des créatures infâmes alors qu'elles ne font que prospérer en se nourissant d'être plus faible, comme la Nature le veut. Le gouvernement peut se préoccuper de ce qu'il veut, si cela peut apaiser la peur de certains.  ɤ Quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? FACULTATIF. merci de détailler un maximum votre réponse !

Le Cycle, est l'Equilibre.  À chaque naissance on donne une vie à la mort, c'est ainsi sinon l'équilibre se rompt. Souvent cette mort est anonyme noyées par les statistiques, la naissance un peu moins à cause des maladies infantiles dont les enfants meurent souvent à bas-âge. Ainsi, il y a 24 ans de cela, une jeune fille  rejoint les rouages de ce cycle, et je suis celle-ci. Mon nom est Siraliel Bloodwrath, née paysanne de Tameriel et  fière de son ascendance, peu importe les surnoms dont on affuble les gens de la Terre, là-haut où leur pitance est servie sur un plateau d'argent et qui hurlent de terreur si une seule éclaboussure de boue souille leurs précieux vêtements. Mes parents sont des êtres extraordinaires, ma mère est une belle jeune femme dont le sourire fut ébréché par les longues journées de travail, Tamaria tel était son nom, mon père lui est  un homme tout en muscle bien dessiné et basané par le soleil , Darius Bloodwrath voici son nom. Seulement leur crainte de la magie, nous coûtera à tous certains moments de bonheur.La vie en Tameriel n'était pas facile, mais je rêvais comme toutes petites filles d'être ces belles elfes, grandes et élégantes dont on parle dans les légendes de Tamariel parcourant les terres luxuriantes au lieu de ces étendues arides. Ainsi, je passais mes journées dans l'insouciance, tantôt  avec les autres enfants  tantôt avec ma mère pour préparer le souper, faire le linge ...  De plus, j'eus la chance d'être l'aînée de deux magnifiques soeurs : Anayelle & Moïra, des douces filles, aux visages angéliques.

Mais aujourd'hui je les ai tous perdus, tout ceux qui me sont chers ne sont qu'une brume rouge dans mon passé. Ma magie, mes dons les ont coupés de moi, je suis devenue une inconnue à leurs yeux, mais ils devaient le faire pour protéger tout ce qu'ils ont construit. 8 ans. Lors de mes 8 ans tout bascula. L'Eveil commença. Tout d'abord, ce ne fut que des simples rêves aux allures cauchemardesques. Je voyais de mes yeux enfantins des morts, des vols et des viols.Toutes les nuits, je me réveillais en sueur et pleurais toutes les larmes de mon corps.J'avais peur de la Nuit. À  la fin, je pensais être responsable de tout ça, car le lendemain matin, le crieur annonçait leurs morts, le viol d'une jeune femme, une boutique volée ...
<< - Maman, je suis un démon ! >>
<< -  Mais non ma chérie, tu es un ange, mon ange à moi >>
<< - Je les ai tué ! >> dis-je en fondant en larme
<< - Mais qui ? Tu n'as pas de sang sur les mains, raconte moi tout, ma chérie. >> demanda ma mère en s'agenouillant à mon niveau.

Et j'avais tout dit, tous ces noms, tout ce que j'avais vu. Mais elle ne m'avait pas crue, disant que c'était la croissance qui me faisait ça, pour me calmer je dus  boire des tisanes infectes. Ces tisanes infectes, l'indifférence de ma mère me poussais dans mes  retranchements, je ne leur parlais plus de rien.Mais les Dieux ne s'arrêtent jamais en si bon chemin. Mes mains se mirent à me démanger, à  me brûler  et à luire d'une douce lueur jaune, notamment en présence de personnes blessées. La première fois que je guéris quelqu'un ce fut mon père. Ce soir-là, je ne savais pas ce que je faisais, n'y comment je faisais, il fallait juste que je le fasse, cette voix m'y poussait ainsi que toutes les fibres de mon corps. J'étais soumise à cette pulsion de guérir, de faire le bien. Je n'attendais donc rien en retour, et j'aurais aimer que cela en soit ainsi, au lieu de cela je vis l'horreur ce peindre sur le visage de mon père, la panique assombrir les yeux de ma mère et l'incrédulité figer les corps de mes sœurs.

Autrefois on m'aurait admirée, exposée pour mon don mais aujourd'hui il est malédiction, alors on m'expliqua que je serai en danger si des gens remarquaient cela, même nos voisins me tuerait s'ils l'apprenaient. Je me mis alors à frissonner, je ne pouvais penser cela d'eux, eux qui étaient si gentil avec moi. La Confiance joua alors, je savais être trop naïve pour différencier les gens bons, des mauvais et des faux-culs. Alors j'écoutais mes parents, refoulant  mon don au plus profond de moi et ne faisant que quelques exceptions dans le plus grand secret, derrière la maison soignant des oisillons tombés du nid ou malmenés par le chat roux du voisin .. Et la vie reprit son long fleuve tranquille, ni vu ni connu.

6 ans plus tard. Ma sœur tomba gravement malade. La voir souffrir me tuait moi aussi à petit feu. La joie de vivre quittait au fur et à mesure notre foyer, je n'avais pas le droit de l'approcher. Mes parents me disaient  que les dieux la sauveront s'il doit en être ainsi, et que je ne devais pas interférer avec le Destin, que cela est une faute de Foi. Ah s'ils savaient qu'aujourd'hui la Foi est ma seule arme. Alors, bravant tous les interdits, je la visitais la nuit, apposant mes petites mains sur son corps fragile, blanc comme de la porcelaine. Elle s'apaisait de plus en plus, j'ignorais si elle guérissait car elle restait inconsciente. Ah, que le monde est cruel !  Et le jour du printemps, jour de gloire et de fête dans notre noble région, elle s'éveilla, guérie. Je l'encerclais alors de mes bras et lui jurais-je qu'on ne serait plus jamais séparé. Et j'ai manqué à mon devoir. Car les gens ne sont pas simplets, elle aurait dû mourir, ils nous regardaient avec dédain et horreur. Jusqu'à ce qu'on me pointe du doigt. On avait la preuve, j'étais maléfique et ils m'avaient abritée, nourrie, et laissée avec leurs enfants. Je les avais tous contaminés, les Dieux les puniront pour avoir abrité un rejeton du diable, pour avoir été aveugles.

Preuve. Condamnée. Moi et ma Famille. Je me souviens encore, de leurs regards plein de rage, et de pitié aussi ... Je ne pouvais vivre ainsi, ne penser qu'à survivre, si proche des miens mais exclue de leur cercle. Ignorée de ceux de mon sang, forcée par la peur du nombre ... Pour mes actes, ils m'auraient brisée, je le sais. Alors,  Une nuit, alors que la lune était pleine, je partis, vêtue de tenues légères protégeant mon corps du soleil et de l'aridité de Tameriel. Je préférais être oubliée, que d'être là et ignorée. On me contera comme une légende au moins, certes en me vieillissant d'une centaine d'année,  pour faire peur aux petites filles et les empêcher  de s'éloigner loin dans le désert, traître par ses mirages.

Je ne savais pas où aller, mais je ne devais pas rester ici. Sinon je serais morte avant d'avoir pipé mot. J'étais  trop jeune pour cela. Marchant de longues lieues, les pieds en feu,désorientée, fatiguée et sale.Sans eau, et nourrie par les rares herbes poussant dans ces contrées arides. Je me déshydratais à petit feu. La peur s'accrochant à mes tripes, j'étais perdue mais j'avançais. Jusqu'à ce que je vois, une ville au loin. Je m'écroulais alors devant les portes. Les belles et grandes portes de Teldrasyl. Les Soldats gardant les portes me regardèrent attentivement, me détaillant sous toutes les coutures. J'avais si soif, pourquoi ne me donnent t-ils pas un peu d'eau ? Oh pourtant j'avais bien essayé de parler mais mes lèvres craquelées étaient restées scellées, ne laissant s'échapper qu'un bruit rauque. Ils n'aiment pas les étrangers, l'accueil dans cette ville n'est pas très bon notamment quand vous ressemblez à une mendiante. Je souriais alors, gentille et docile. Je me levais tant bien que mal et m'éloigna d'eux. Mais aucune ombre n'était pas en vue, alors je m’agenouillais au soleil, sur le côté des étals, implorant les paumes ouvertes et levées vers le ciel.

Finalement ce furent des marchands itinérants qui la prirent avec elle, la soignant, lui donnant à boire et à manger. Elle les aida, leur rendit grâce de lui avoir sauvé la vie,  rangeant et prenant soin des marchandises, se partageant avec eux les tâches communes de tous les jours. De cette manière elle découvrit une partie du monde aussi. Thelsamar, Aubétoile, Tamarang, Lakeshire, Elaven et Blancherive furent des étapes marquante de son voyage. C'est là-haut, qu'elle apprit l'art de la féminité, son corps changeant lui aussi, acquérant de belles courbes généreuses mais bien taillés par la jeunesse et le travail. Sa vie avec eux dura 2 ans, 2 ans où elle refoula ses pouvoirs dans un endroit de son cerveau. Ignorant, les Appels & les Voix.

En Sermar, à Blancherive, je me remis à entendre les Voix, elle voulait que je soigne ces personnes, que je prête attention à la misère que je m'efforçais d'oublier. Et à chaque fois que je l'ignorais ou que j'allais dans son sens contraire, elles redoublaient d'effort me provocant d'affreuses migraines jusqu'à me rendre folle. Du moins je le croyais. Je m'isolais alors de plus en plus, de ceux que je considérais désormais comme ma famille adoptive. Alors, que de nouveau je fuyais ce que je devenais et ceux que j'aimais, je fis la rencontre d'une vieille femme, simple mais dont le port était celui d'une reine.Elle m'avait dit qu'elle savait ce que j'étais, que je n'étais pas folle. J'ai eu peur d'être trompée,encore une fois,  mais son aura était si douce. Alors je l'écoutai, et au fond de moi, je sus qu'elle avait dit la vérité.
J'étais une prêtresse de Mara, déesse de l'amour, ancienne divinité puissante et emplit de magie qu'on a préféré oublier. Et autour de moi, je vis le monde sous sa vraie forme, plus noir qu'à l'habitude et entrain de se flétrir, je vis la mort rôder autour de celle qui a donné un sens à ma vie. Je livrais une de mes deuxièmes batailles au nom de la Vie, et la première au nom de Mara. Mes mains posées sur sa tête, je la guéris. Lentement. Cela pris des heures, allongées sur le sol de la forêt. Elle méritait de vivre, par ses actes et sa bonté.Jodayelle prêtresse de Gilraen, bien que cela sera toujours les seules choses que je saurai d'elle. Elle m'enseigna alors les mœurs de prêtresse, mes devoirs et me fit des leçons de magie. Au fur et à mesure, j'appris à canaliser ma guérison, à me protéger contre des rêves trop envahissants, à prédire dans combien de temps l'évènement allait se produire, elle m'apprit aussi l'histoire de la religion, le passé véritable de la magie. Nous restâmes ensemble pendant 2 années, jusqu'à la fin de mon initiation dans la grande clairière qui devint ma maison, notre maison. Le lieu où je sais qu'on m'attendra. Alors je pris mon envol, voyagea toujours et toujours plus. Pour essayer de soigner le peuple de Kahanor. Mais cela s'avéra beaucoup plus difficile que je ne le pensais car les ignorants sont partout et leurs langues sont déliées tout comme les opposés à la magie . Ainsi je soigne, et j'essaye de ramener les gens à la raison, d'expliquer que cela n'est pas forcément négatif, que cela dépend de la personne qu'il la manipule.

Bien sûr tout n'est pas noir, prenez par exemple ce rôdeur que j'ai rencontré, non loin des terres royales.  Il était gravement blessé, des flèches le traversant de toute part, le corps ensanglanté.Nous nous étions croisés par hasard. Je me précipitai alors vers lui, et je me rappellerais toujours de cette phrase : Voici un ange, je suis donc mort ? Je pleurais en le guérissant, par cette phrase, son humanité et par la peur d'échouer. Car la Mort est une femme très séduisante, certainement plus que moi. Sinon, si peu d'Hommes l'enlaceraient de cette manière. Lorsqu'il fut remis sur pied il me dit : une si noble dame ne devrait pas voyager seul, le monde est dangereux. Son regard me le prouva, lui aussi il était dangereux mais au lieu d'utiliser ma faiblesse, il m'offrit en reconnaissance de mon geste un poignard élégant à la forme recourbée, sur le manche de celui duquel il est gravé les mots suivants en elfique : Liberté, Courage & Pureté, accompagné de son fourreau de cuir usé à sangler au niveau de la cuisse ainsi qu'un coffre de bois tout simple. Je n'oublierai  jamais ce jour là, et j'espère qu'il a réussi à rester en vie, car je ne l'ai plus croisé depuis.

Actuellement, je suis à la capitale ayant appris la mort du Roi, et donc la montée de son fils sur le trône. Je ne suis pas axée politique, mais j'aimerai que la loi à propos de la Magie change, et je pense qu'un jeune homme, plus vif, plus jeune aurait d'autres pensées que son père à ce niveau. Ainsi je vais faire des pieds et des mains pour le rencontrer, quitte à me faire remarquer plus qu'il ne faudrait avec ma magie de guérison.

et c'est qui derrière l'écran ?

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE TOWER.

Tu as bien cerné le personnage ! C'est une jolie fiche, fais juste attention aux quelques fautes que tu peux faire à l'avenir et ce sera parfait !

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !