nom et prénom : Wilhem, un prénom simple et sobre, qui, si je me souviens bien était également celui de l'un de mes ancêtres. Pod un second prénom lui aussi tenu d'un ancêtre, du côté de ma mère me semble-t-il. Rahl le nom de mon père, héritage que je ne transmettrai jamais pour le plus grand dam de ma famille.  âge : Je suis né vers le milieu de l'été de l'an 1579. Merveilleuse année si vous voulez mon avis. Cela ma fait aujourd'hui trente-trois ans. contrée de naissance : Terremer allégeance : Mon allégeance va bien évidemment envers ma famille, les Rahl, ainsi qu'aux Stormrage.  statut du sang : Mon père était le Lord de la cité de Yenibohor, mon sang est pas conséquent de noble lignage. Cependant, cela n'a plus vraiment d'importance aujourd'hui, ayant abandonné tout droit d'héritage sur les terres de ma famille. race : Humain. statut civil : Ayant fait vœu de célibat, je suis par conséquent seul, et ce statut ne risque pas de changer de si tôt. orientation sexuelle : A vrai dire, j'avoue ne pas m'être réellement posé la question. J'avoue avoir été à plusieurs reprises attiré par des damoiselles, sans que ça n'aille jamais plus loin.  métier ou fonction : Gardien faction ou guilde : Rien de bien étonnant si je vous dit être un Templier, pas vrai ? Enfant, je me suis donné pour objectif de protéger mon demi-frère qui s'est avéré être un mage, ce choix de vie s'est imposé de lui-même.  rang : Je suis le Gardien attitré de Qahedar. armes possédées : Rien de bien impressionnant. Je possède une épée d'excellente facture, à la poignée dorée, sans doute la seule chose matérielle héritée de mon défunt père.  

ɤ que pensez vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? La mort du roi est bien entendu un évènement fort regrettable, mais ce n’est pas quelque chose qui va particulièrement changer ma façon de vivre, voyez vous. Que ce soit son fils qui prenne la couronne est cependant une bonne chose, cela évitera des querelles inutiles quant au successeur. Il me semble avoir rencontré notre bon roi une fois, lorsque j’étais enfant. Mon père avait été si fier de me présenter à lui. Bien sûr, j’étais alors trop jeune pour réellement me rendre compte, mais j’en garde un bon souvenir. Il régnait depuis des années, en homme bon et juste. Sa mort est une perte pour nous tous, mais je suis sûr que son fils saura se montrer à la hauteur, aussi jeune soit-il. Et puis, il n’est pas seul. La Main du roi le guidera dans cette tâche ardue. ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Il est évident que la garde des ombres est toujours indispensable. Il faudrait être idiot pour penser que les Engeances aient véritablement disparu, ça semble trop… Simple. Et puis, n’est-il pas dit qu’ils sont ceux qui peuvent prévenir d’un nouvel Enclin ? Vous savez, grâce à leur lien particulier avec les Engeances… Enfin, ce ne sont là que des rumeurs. La première fois, ces abominations ont pris le royaume par surprise, ils sont sortis de nulle part, et ont causé beaucoup trop de dégâts. Aujourd’hui, nous avons un moyen de nous préparer. Prendre le noir n’est pas une chose à faire à la légère, et bien peu sont enclins à le faire de leur propre chef, mais de mon point de vue, c’est quelque chose d’honorable. Sacrifier sa vie pour protéger celle des autres.   ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. a vos yeux était-ce juste ? la magie est elle une chose à proscrire ? La magie ? Une chose à proscrire ? Bah. Est-ce que vous choisissez le prénom que vos parents vous donnent à la naissance ? Ou votre lignage ? On ne choisit pas de devenir mage. C’est quelque chose d’inné. A la fois un don et une malédiction. Je ne suis pas mage moi-même, mon frère l’est. Et je sais pertinemment qu’il n’est pas mauvais. Je sais que c’est quelqu’un de bien. Mais parce qu’il peut se servir de magie, je devrai le blâmer ? Les… Les personnes enfermées à la Tour, ne sont que des enfants arrachés à leurs familles. Ils doivent vivre avec le poids de leurs dons, et la moindre erreur leur est fatale. Le moindre faux pas, et ils sont exécutés sans plus de cérémonie. Par nous. Nous les Templiers. On nous prend pour des bourreaux, c’est compréhensible. Mais nous sommes bien plus que ça. Nous protégeons les mages d’eux-mêmes, mais également des autres. De ceux qui condamnent la magie sans se soucier de la personne concernée. La magie est comme une épée. On choisit de s'en servir pour le bien ou le mal, tout comme on peut se retrouver contraint de s'en servir pour sauver sa propre vie, ou celle d'un proche. Il ne faut juste pas mettre les bons et les mauvais dans le même sac. ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? De une, si vous tenez à être en sécurité, ne vous approchez pas de ces bois. Et de deux le gouvernement ne peut pas être partout à la fois, et doit sans doute faire ce qu’il peut. S’ils estiment que Sombrebois est un danger réel et imminent, je suis persuadé qu’ils prendront les mesures nécessaires. Et puis, en cette période, la transition au pouvoir ne doit pas être évidente, alors ils doivent avoir d'autres Garns à fouetter. Pour ma part, je ne ressens pas de menace particulière. A vrai dire, je suis plus inquiet de la sécurité de mon frère, ou de ces pauvres diables de la Tour. ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction plutôt qu'une autre ? Vraiment vous ne devinez pas par vous-même ? C’est pourtant une évidence. Si je suis devenu un Gardien Templier aujourd’hui, c’est pour pouvoir être à même de protéger mon frère. Certes, il a beaucoup changé et n’est plus aussi… Fragile qu’auparavant, mais il a toujours besoin de moi. Pour ma part, je sais que j’ai besoin de lui, et que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour l’aider. Maintenant que lui est moi sommes liés par ce nouveau lien mage/gardien, ça sera beaucoup plus simple pour moi d’être là pour lui. Et je promets que jamais je ne le laisserai tomber.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; moé c'est harley (ou camille) j'ai 21 ans, et je suis une poulette de rivebois ɤ fréquence de connexion ; souvent ? OwO ɤ que pensez-vous du forum? ;    (même si bon, je voulais que mon personnage s'appelle Harry Potter, alors j'étais triste de pas pouvoir le nommer de la sorte   ) *pan* ɤ comment l'avez-vous découvert ? la légende raconte que j'ai un talent pour stalker. (et bazzart m'a bien aidée huhuhuhuhu) ɤ code du règlement ; validé par dieu tout puissant ! ɤ célébrité choisie ; chris hemsworth ɤ credits (avatar, icon etc.) ; kryptongifs

Partout dans la cité, les gens murmuraient. Il se disait que Lord Rahl venait de mourir. Une vilaine blessure infectée avait eu raison de lui. Pour le moment, il ne s’agissait que de bruits de couloirs. Une servante de chambre l’avait dit à une cuisinière, qui en avait parlé à un commis qui l’avait répété à une marchande sur la place centrale de la cité. La nouvelle s’était répandue comme la peste, et déjà, l’inquiétude serrait le cœur des gens. Dans le château, les servants me regardaient du coin de l’œil, chuchotant à mon passage, puis bougonnaient de plates excuses avant de faire semblant de retourner au travail. Moi, je les observais, anxieux. Qahedar était venu me trouver, totalement paniqué, en me demandant si je savais quelque chose à propos de ces sordides rumeurs. « Calme toi un peu, tu veux. » lui avais-je dis gentiment. Je me devais de le rassurer. Et de me rassurer par la même occasion. « Lady Rahl ne me laisse pas entrer dans la chambre de père. » avait-il bougonné en regardant ses pieds. Bien sûr qu’elle ne le laisserait pas entrer si quelque chose clochait. Je soupirais et posais une main amicale sur l’épaule de mon frère, le gratifiant d’un très léger sourire. J’avais peur que ces rumeurs de couloir ne soient vraies. « Tout va bien se passer Qahe’ ! » j’avais laissé au milieu du couloir les quelques ouvrages que j'avais été emprunter à la bibliothèque pour mes lectures du soir, et avais entraîné mon frère avec moi dans les immenses couloirs. Nous devions savoir si tout ça était réellement en train d’arriver. Des serviteurs s’agitaient dans les environs de la chambre de nos parents. Enfin mes parents. Je jetais un cou d’œil furtif à Qahedar, qui semblait au moins aussi anxieux que moi en cet instant. Nous nous arrêtâmes devant les portes massives. Difficilement, j’avais déglutis en levant ma main tremblotante vers la poignée. Je sursautais lorsqu’elle s’ouvrit sans que je ne l’aie encore touchée. Une servante se tenait là, devant nous, et nous fixait d’un air désolé. Rapidement, elle retourna à l’intérieur de la pièce, et en ressorti aussi vite. Bientôt, ce fut ma mère qui se tenait devant moi, les joues trempées de larmes et les yeux bouffis. « Oh Wilhem… » avait-elle sangloté avant de se jeter à mon coup pour m’étreindre avec force. Moi j’étais là, la main toujours autour du poignet de mon frère –qui bien entendu fut complètement ignoré par ma mère, complètement incapable de bouger, ou bien même de pleurer. Après quelques minutes, qui parurent cependant être une éternité, ma mère se décolla de moi, et essaya de m’offrir un sourire, qui fut presque immédiatement suivi d’un nouveau sanglot. Elle passa une main fébrile sur mon visage, avant de la poser sur mon épaule. « Lydie, veillez à le raccompagner dans ses appartements, je m’occuperai de lui tout à l’heure. » souffla-t-elle d’une voix légèrement rauque. La suivante acquiesça, ayant bien compris qu’elle devait également emmener Qahedar. Elle ouvrit la porte, nous entraînant avec elle. Nous marchâmes silencieusement, nous éloignant de l’effervescence des quartiers de mes parents. A côté de moi, j’entendais mon frère sangloter. Bien sûr, il la mort de notre père était un terrible choc, tant pour lui que pour moi. Mais il devait également s’inquiéter de ce que ferait ma mère, une fois les choses revenues plus ou moins à la normale. D’une très légère pression de la main, je lui faisait comprendre qu’il n’était pas seul. « Je ne te laisserai pas tomber Qahedar. Promis. » chuchotais-je alors que nous arrivions à notre chambre.


« Wilhem, il faut que nous parlions de… » les derniers mots de Lady Rahl moururent dans sa bouche lorsque qu’elle ouvrit la porte de ma chambre et me découvrit en train d’empaqueter mes affaires. Pas un seul instant, je ne fis mine de lui prêter attention. J’étais trop en colère pour ça. « Wilhem puis-je savoir ce que tu es en train de faire mon garçon ?» trancha sa voix, que je sentais teintée d’une légère touche de mécontentement. Tant mieux. « Je pars. » répondis-je simplement, sans prendre la peine de me retourner. Je me dirigeais vers l’immense armoire de l’autre côté de mon lit, pour aller y chercher ma cape de voyage. J’avais à peine fait trois pas, qu’elle m’attrapa le poignet pour me retourner avec force. Un genou à terre pour être à ma hauteur, elle empoigna mes bras avec force pour que je ne me détourne pas. « Et où penses-tu aller par ce temps, petit sot ?! » sa voix tremblait légèrement. J’avais conscience qu’en partant, je privais Yenibohor d’un futur seigneur, et que ma mère se retrouverait seule. Mais elle l’avait cherché. Si elle devait s’en prendre à quelqu’un, c’était à elle, et à sa jalousie maladive. Je fronçais les sourcils alors que sa prise se resserrait un peu plus. « Lâchez moi, mère vous me faites mal. » dis-je froidement en essayant de me dégager. Finalement ses doigts se décrochèrent de mes bras désormais un peu endoloris. Rapidement je les frottais pour aider à la circulation du sang. « Je pars rejoindre les Templiers, si vous voulez tout savoir. » son visage se tordit dans une drôle d’expression. Sans doute un mélange de doute et de colère, je ne savais pas bien le dire. « Les Tem… Que… Tu… Tu es trop jeune ! On en a déjà parlé, tu sais que je... Je te l’interdis ! » siffla-t-elle. Oui c’est ça, vous pouvez toujours essayer. Sans prêter plus longtemps attention à ses complaintes, je drapais mes épaules de la cape de voyage aux couleurs de la famille, avant d’empoigner mon sac de cuir. « Wilhem… » couina-t-elle, l’air presque désespérée en me regardant me déplacer vers la porte de sortie. « Kieran m’attend. Adieu, mère. » lui dis-je avant de franchir le pas de la porte, la laissant pantoise dans cette chambre qui fut la mienne.

Mes pas résonnaient dans les couloirs de pierre de la bâtisse de ma famille. Une dernière fois, je me permettais d’apprécier l’endroit, que je ne serai sans doute plus jamais amené à voir. Ma décision était prise, j’allais devenir Templier, et être avec mon frère. Ma mère pourrait bien venir pleurer au Monastère, ça ne changerait rien. Kieran, mon maître d'arme était là, devant l’armurerie. Il me gratifia d’un léger sourire en me faisant signe d’approcher. J’accélérais le pas jusqu’à atteindre son niveau. Il posa une main amicale sur mon épaule, tandis que dans l’autre, il me présenta une épée dans son fourreau. Cette épée, je la reconnaitrais entre mille. Fébrilement, j’ajustais mon sac sur mes épaules, avant de prendre l’objet de mes mains tremblantes. « Il aurait voulu que vous l’ayez, petit seigneur. » dit-il de sa voix rocailleuse qui le caractérisait si bien. Un petit sourire nostalgique s’afficha sur mes lèvres, alors que je dégainais la lame sur quelques centimètres, appréciant l’œuvre de l’artisan qui l’avait forgée. Petit, j’avais longtemps demandé à mon père si moi aussi, un jour, j’aurai le droit d’avoir une telle lame. Il semblerait que les Dieux aient finalement décidé de répondre favorablement à ma requête. J’aurai juste souhaité que Lord Rahl me la remette en mains propres, dans quelques années. « Merci. » avais-je soufflé en rengainant. Le vieux Kieran tapota mon épaule avant de me faire un signe de tête vers la grande porte. « Il est temps pour nous de nous en aller, petit seigneur. Nous avons une longue route à faire avant d’arriver au Monastère. » dit-il en se dirigeant dehors. Je lâchais un soupir, rassemblant mon courage avant de lui emboîter le pas.

A l’extérieur, il faisait froid. Le ciel était gris, et semblait sur le point de laisser tomber des cordes à n’importe quel moment. Kieran s’arrêta devant le palefrenier pour récupérer les deux chevaux qu’il nous avait fait affréter. Bien rapidement, il récupéra mes affaires, et les attacha solidement à la selle de mon Haflinger. J’étais nerveux. Quitter tout ce que j’avais toujours connu n’était pas une décision prise à la légère. Mais je le faisais pour mon frère. « Accordez moi un instant, Kieran. » soufflais-je en me dirigeant vers les cuisines toutes proches. Le maître d’arme acquiesça et s’en retourna aux préparatifs. J’entrais dans la pièce, immédiatement accueilli par la chaleur des fourneaux. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres lorsque je repérais Judith, en train de s’occuper du repas du soir. Silencieusement je m’approchais, pour aller me planter juste en face de la table. « Oh bonjour mon seigneur. » dit-elle en arrêtant soudainement son œuvre. « Ne vous embêtez pas pour moi, je suis simplement venu dire au revoir. » répondis-je, bienveillant avant de continuer. « Et vous souhaiter bon courage. » elle pencha légèrement la tête sur le côté, essuyant la farine qu’elle avait sur la joue d’un revers de manche. « Vous partez ? » j’acquiesçais, me passant une main dans les cheveux. « Je pars rejoindre les Templiers. Je ne risque pas de revenir de si tôt. » je ris légèrement, même si au final c’était loin d’être drôle. « Je me suis donc dit que des au revoir s’imposaient d’eux-mêmes. » elle ouvrit la bouche en me fixant. Je me sentais réellement navré de devoir tous les laisser avec ma mère qui avait une fâcheuse tendance à se comporter en tyran. Surtout envers certaines personnes. « Oh… Dans ce cas, bon courage à vous jeune maître. Puissiez vous trouver ce que vous cherchez. » elle m’offrit un sourire bienveillant que je lui rendit, avant d’incliner légèrement la tête devant elle. « Dites au revoir à Morrigan pour moi. » soufflais-je avant de me diriger vers la sortie. J’en avais profité pour faire mes adieux aux autres servants que j’avais croisé, prenant soin de les remercier pour leurs bons et loyaux services, avant de rejoindre Kieran. Je me hissais sur mon cheval, serrant un peu fort les rênes tant j'étais nerveux. Il était temps pour moi de rejoindre le Monastère.


Dix années. Dix années que Qahedar et moi avions été séparés. Bien sûr, à aucun moment de sa formation, il n’avait été prévenu du fait que j’avais rejoint les Templiers. Sans doute avait-il pensé que je l’avais laissé tomber, que j’avais brisé ma promesse. Cette simple idée me vrillait l’estomac. Mais quand j’avais débarqué sur l’île dans mon armure flambante neuve, il avait tiré une de ces têtes, c’était magnifique. Nous avions perdu énormément de temps, à cause de ma mère et de sa jalousie. Sa jalousie envers les bâtards de mon père. Ne pouvait-elle se rentrer dans le crâne que ces enfants n’y étaient pour rien ? Quand je regardais Qahedar, je voyais mon père. Et il en aurait été de même pour cette petite fille. Morrigan. Plus jeune, je m’étais souvent demandé pourquoi ma mère avait une haine aussi viscérale en son égard. J’avais toujours soupçonné que ça ait rapport avec mon père. Bien sûr, il ne s’agissait que de doutes sans fondements, mais il avait suffi de voir la manière dont elle avait traité mon frère. J’en étais certain à présent. Avec le recul, ça paraissait tellement évident. J’avais été assez idiot pour ne pas le voir plus tôt. Si j’avais su, j’aurai moi-même fait mes adieux à ma… Sœur. Encore que, la voir devant moi, aussi fragile et petite aurait sans doute eu raison de mes résolutions. Mais j’avais promis à Qahedar de toujours veiller sur lui. Qu’aurais-je fait, véritablement ? Rah. Foutu casse-tête ! Mais c’était du passé, tout ça. Peu de temps après mon arrivée, mon frère avait passé sa Confrontation, et j’étais devenu son Gardien. Nous avions du temps –beaucoup de temps – à rattraper, lui et moi. Finalement réunis, pour le meilleur et pour le pire, comme quand nous étions gamins. Malgré moi, il y avait un petit quelque chose qui me gênait. Qahedar avait changé. Il était loin, ce petit garçon craintif et timide que j’avais connu. Je devais avouer avoir peur de ce que la solitude et la magie lui avaient fait. Mais… Peut-être que je devais mettre cette angoisse sur le temps passé. Après tout, moi aussi j’avais changé.

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE JUSTICE.

Un vrai bonheur ! Tu as un style très agréable, ta fiche était très bien écrite et tu as très bien cerné Wilhelm ! Bref, c'est avec plaisir que nous te validons !

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !