nom et prénom : Sand, Eldarion. Plus couramment appelé Elda pour cacher son ascendance elfique. âge : 463 ans. contrée de naissance : Tameriel, ancienne terre des elfes sont il est issu. allégeance : à aucun sire en particulier. Il ne vit que pour lui même et va là où le vent le porte. statut du sang : bâtard des Culkin. Un noble a fauté avec une elfe il y a de cela plusieurs siècles. race : semi-elfe. statut civil : veuf et célibataire depuis lors. orientation sexuelle : hétérosexuelle. métier ou fonction : aujourd'hui, il n'est qu'un simple rôdeur, il chasse et revend les peaux pour sa simple survie. Mais avant cela il faisait partie des glorieux Cavaliers Verts à leur belle époque et il a également passé quelques années au service de la Garde des Ombres avant de s'en retourner dans ses forêts. faction ou guilde : il est indépendant et ne prend part à aucun groupe actuellement. rang : aucun. armes possédées : « Linta » son épée elfique qui se traduit par « éclair » en langue humaine. Une paire de poignards, un arc elfique de grande taille et ses flèches épaisses.

ɤ que pensez-vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? « Hmmm… Une mort prématurée si j’en crois les rumeurs. Les rumeurs ne sont jamais qu’un vent de ragots et de parole acerbes proférées par les jaloux. Mais mourir dans la fleur de l’âge, alors qu’il possédait une bonne condition physique… On pourrait aisément se laisser flouer par tout ça. Si je devais donner mon avis, je dirais qu’un proche de la famille royale en a eu assez de la politique employée. Il aurait fait éliminer le roi pour ainsi voir un souverain plus jeune, manipulable, faible prendre le contrôle du royaume. Une famille ennemie aurait-elle pu faire le coup ? J’en doute. Ce serait une déclaration de guerre si cela se savait. Tout ce que je peux dire c’est que dans ma forêt, ceci n’a que peu d’impact, mais j’espère que les ardeurs ne vont pas s’enflammer dans les villes voisines. » ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? « Bonne question ! Et je suis bien à même de répondre puisque j’en ai moi-même fait partie. Et vous vous doutez bien que si je n’en suis plus aujourd’hui c’est que j’ai un avis bien tranché sur la question. Pour moi, les forces du mal ne reviendront plus. Du moins, pas par là. Le malin n’est jamais totalement anéantit pour sûr, mais il ne s’échappera pas de sa garde sacrée. Les gardes ainsi postés devraient retrouver leur liberté ou alors continuer de servir à l’endroit opportun plutôt que de rester à veiller sur un obscur néant. »   ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? la magie est-elle une chose à proscrire ? « Quelle sotte idée ! La Magie responsable de tous les mots ? Grands Dieux non. Si on a mis la faute sur les mages c’est parce que le Royaume de l’époque ne savait qui incriminer pour la déviance d’un seul homme. On a dit que la magie pouvait faire dériver les esprits et vous conduire vers un sombre dessein, ce qui n’est que pure et simple fadaise. Des contes pour enfants, des histoires que les gardes se racontent en fin de garde. La magie devrait servir le peuple et protéger les honnêtes gens plutôt que de se retrouver enfermée dans une Tour inutile. »   ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? « Pour y être allé moi-même je peux assurer que ce qui se trame dans cette forêt n’a rien de ‘naturelle’. On y croire des créatures terrifiantes et rien que d’y pénétrer vous oppresse, vous étouffe. L’atmosphère qui émane de cet endroit est ténébreuse et maligne. On devrait définitivement s’inquiéter de ce qui s’y passe. Mais avons-nous seulement les moyens de nous en préoccuper ? Ce ne sont pas une poignée d’hommes et du simple fer qui vont venir à bout de la noirceur qui se dégage de là-bas. » ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? « Je vous parlerais sans doute de mes motivations à rester seul et indépendant plus qu’autre chose. Pour avoir été longuement engagé auprès d’un groupuscule puis d’un autre, je peux assurer qu’il n’y a rien de meilleur que la liberté. Pouvoir aller là où le vent nous porte, suivre une piste par pure curiosité, s’enivrer sans penser aux conséquences le lendemain, manger pour trois sans regarder autour… Raaah, c’est ça ‘vivre’ ! Alors que lorsqu’on reçoit un solde, on économise, on se lèvre pour travailler, on se couche fatiguer de son labeur et avec déjà en tête la journée du lendemain qui pointe à l’horizon. Moi je suis libre et fait ce que je souhaite quand je l’entends. Je suis libre d’aller où je veux quand je veux. Je n’ai pas de maître et n’obéit qu’à ma simple envie. »

Un mouvement dans les fourrés. Une ombre qui disparaît derrière un arbre. Un oiseau qui sifflait et qui se tait subitement. Un bruissement dans l’herbe environnante. Ceux-ci sont les quelques bruits que peut faire Elda lorsqu’il se déplace au beau milieu de son élément. Grand habitué des éléments verts il peut se fondre et devenir invisible ou imperceptible. Notre grand gaillard marchait d’un pas souple et délicat. Il appuyait légèrement sa pointe de pied sur les quelques roches apparentes, vieille habitude qui consistait à ne pas laisser de trace derrière soi. L’air était doux et il n’y avait pas de vent, la chasse allait bien se passer aujourd’hui. Mais notre homme ne chassait pas n’importe quel gibier. Il chassait un homme. Mais pas au sens propre du terme. Il avait été payé pour retrouver la trace d’un fuyard et il avait besoin de cet argent s’il souhaitait s’approvisionner en vivres divers. Eh, ce n’est pas parce qu’on vit dans la forêt et qu’on se confectionne soit même ses vêtements qu’on ne sait pas apprécier une cervoise tiède de temps à autre. Et pour ce genre de bien seul l’argent sonnant et trébuchant pouvait permettre de l’acquérir. Le rôdeur avait repéré la piste qui le mènerait à sa cible. Il s’accroupi brièvement pour poser sa main au sol, il sentait la dureté de la terre, puis il repartit de plus belle –un sourire aux lèvres- il touchait au but. Sur le chemin il remarqua qu’il n’était pas seul ; des lapins, biches, oiseaux peuplaient cette dense zone boisée. Il vivait. Oui, lors de ces moments d’abandon et d’oubli, Eldarion se sentait vivant. Plus vivant encore que durant ses années en tant que Cavalier Vert. Et pourtant il avait aimé ces années passées à transporter le courrier. Alors qu’il dépassait arbres après arbres, il laissa son esprit voguer et il reprit à penser aux années de service en tant que courrier.

C’était il y a bien longtemps. Un battement de cil pour un elfe, mais plusieurs vies pour un humain. Dwaylin lui-même aurait été heureux de voir ce qui se tramait dans les Sept Royaumes à cette époque. La paix régnait, les gens étaient heureux, généreux et connaissait ce que les mots « labeur » et « respect » voulaient dire. Termes aujourd’hui un peu perdus et confus pour bon nombre d’entre nous. Eldarion Sand, jeune homme vaillant, aguerri et intrépide souhaitait plus que tout se rendre utile. Sa mère, Norëndil, ne voulait pas le voir terminer combattant. Pensez-vous, lorsqu’on est une mère solitaire qui a enfanté un petit semi-elfe, progéniture croisée avec un homme de la lignée des Culkin, on ne souhaite pas voir son seul et unique enfant mourir trop vite. Pour la petite anecdote, elle avait succombé aux avances d’un sieur de Tameriel avant de se rendre compte que les sentiments n’allaient qu’à sens unique. Elle avait donc décidé de garder l’enfant qui était à naître et de le chérir pour deux. Enfant couvé, choyé, chouchouté et adoré, mais pourtant jamais gâté. Eldarion reçut la plus parfaite des éducations transmise par une charmante elfe visant à le rendre meilleur que le commun des mortels. Mais pour en revenir à nos Cavaliers… Quitte à s’en aller de la maison, sans devenir soldat, ni s’engager dans une guilde quelconque, ou bien devenir marchand itinérant, il choisit de devenir Cavalier Vert. Sa mission serait de transporter les courriers de villes en villes. De récolter colis et paquets que les gens souhaitaient faire acheminer sans se déplacer eux-mêmes. A l’époque la demande n’était que moindre et on ne prévoyait pas de convois entier de charrettes. On se déplaçait le plus souvent à dos de cheval et une besace ou deux suffisaient à récolter les messages à transbahuter. Voyageurs solitaires, ils étaient bien souvent accueillis en héros dans chaque ville où ils apportaient les plus précieux des cadeaux. Car oui mes amis, à cette belle époque, chaque lettre parvenant à son destinataire était reçue comme un véritable joyau. « Vous auriez dû voir les yeux des gens lorsque je leur remettais un paquet en leur donnant la provenance… Quelle joie et qu’elle allégresse. C’est dans ces moments que vous avez sincèrement le sentiment d’être utile et de faire le Bien. » dit-il tout haut dans sa forêt. Mais comme tout, on finit par se lasser. Et après plus de soixante ans de bons et loyaux services il décida de quitter les Cavaliers. L’organisation était bien rodée, on avait mis en place des charrettes qui récupéraient un bon nombre de colis ces dernières années. Et selon Eldarion, il avait le sentiment d’avoir perdu ce sentiment de liberté qu’il pouvait ressentir au tout début de ses livraisons. Les longues cavalcades solitaires lui manquaient. On avait perdu tellement de livraisons et de cavaliers à cause des attaques de voleurs, pillards, pirates et autres bêtes au cours de leur périples que les convois s’étaient renforcés pour devenir de véritables petits bataillons armés. Elda mettait sur le compte de l’incompétence le fait que certains de ses partenaires se soient fait attraper. Lui-même n’avait jamais eu à souffrir d’une perte de livraison de toute sa carrière. Il était d’ailleurs célèbre pour ces faits. Bien qu’il n’en soit pas toujours revenu indemne pour autant. Le pire qui lui soit arrivé ? Toute une bande de voleurs en voulait à son chargement. Il finit sa course avec une flèche fichée dans le bras gauche, un poignard lui était passé en travers de la cuisse droite… mais les autres ne pourraient plus jamais retenter la moindre attaque en revanche. Eh oui, le métier de livreur n’était pas toujours aussi simple qu’on voulait le croire.

Notre ami revint soudain à lui, éveillé par un rayon de soleil qui lui frappa les yeux. Il sourit de plus bel et continua sa traque en accélérant le rythme. Il avait pour mission de retrouver un évadé de camp. Un travailleur forcé qui avait été pris sur le fait en train de voler. Bref, il courrait après quelqu’un de peu recommandable. Mais le danger excitait notre mystérieux rôdeur. Alors que tout le poussait à ne pas poursuivre cette folle cavalcade, l’adrénaline qui pulsait dans ses veines ne faisait que le pousser vers l’avant sans prendre de pause. Et au vu des traces toutes fraiches, Elda se rapprochait à vive allure.
Podrick était à bout de souffle. Ses pieds étaient en sang. Ses mains toujours enchainées. Et il avait la terrible sensation que son traqueur se rapprochait de plus en plus de sa position. Affolé et encouragé par un sentiment de peur il donnait toutes ses forces dans sa course pour tenter de remettre de la distance entre lui et Eldarion à ses trousses. C’était pourtant peine perdue. Une flèche siffla au loin et on aurait presque pu entendre le claquement de l’arc décochant son trait meurtrier à plusieurs dizaines de mètres de là. L’épais morceau de bois transperça violemment les chairs de la cuisse droite du fugitif. Celui-ci poussé par la hargne et la peur ne remarqua pas de suite ce qui venait de lui arriver. Tout ce qu’il savait c’était que le sol se rapprochait un peu trop vite de son visage et que le choc n’allait pas être agréable. Et il eut raison. Sa tête heurta la terre sèche et dure dans un son creux et sourd amoindrit par une fine touffe d’herbe verte. Il était sonné et ne pourrait se relever dans la seconde. Ceci laissa le temps à notre archer émérite de rejoindre sa proie déjà bien affaiblie. Aaah… Ce sentiment de bataille n’était pas sans lui rappeler l’époque de la Grande Guerre. Loin d’être nostalgique, ce sentiment était tout sauf agréable à se remémorer.

Gardiens des Ombres à l’époque, il avait été enrôlé et formé volontairement pour protéger et sauver le royaume de la chute irrémédiable qui s’annonçait. Amoureux à l’époque, il s’était dit que s’il pouvait anéantir les forces du mal et revenir en héros à la maison, il pourrait vivre à jamais en paix avec sa belle. Mais ça… c’est si l’on vit dans le meilleur des mondes. Ce qui n’est pas le cas.
Tout d’abord, lors de son intégration et de ses semaines d’entrainement, il dû cacher à tous sa véritable nature. Pourquoi ? Les semi-elfes ne sont pas très bien considérés. Ni avant et pas plus qu’aujourd’hui d’ailleurs. Etant en guerre contre des créatures aux longues oreilles, si on remarquait la pointe au bout des siennes il aurait pu lui arriver des bricoles. Fort heureusement, il avait des années de pratiques dans l’art de la discrétion et de la dissimulation. C’était sa mère qui le lui avait conseillé –après l’avoir priée de ne pas partir en guerre-. Elle était restée saine et sauve à la maison, en forêt, là où seul lui pouvait la retrouver. Après une formation assidue, acharnée et drastique dans l’art du combat et de la survie, Elda fut envoyé au front le moment venu lors de la défense de la Cité de Teldrasyl. Cette mission fut un succès mais très peu d’entre eux revinrent du combat en vie. Eldarion vit beaucoup de ses compagnons mourir ce jour-là et il priait les Dieux en se battant de lui accorder la force de retourner sauf auprès des siens. Ce qui lui fut consentit. Depuis ce tragique événement, Elda n’a plus vraiment été le même homme. On dit qu’après avoir vécu un fort traumatisme, l’esprit se fissure s’il ne cède pas à la dépression… En voilà un exemple vivant.

Toujours auprès de Podrick, le semi-elfe sortit de ses pensées avec l’esprit brumeux. Mais il ne perdait pas pour autant le nord et attrapa par le col son gagne-pain allongé inconscient. Il lui prodigua les premiers soins avec dextérité et rapidité avant que celui-ci ne perde trop de sang et qu’il ne ramène à son geôlier qu’un corps froid et durcit. Après s’être assuré que sa vie n’était pas en danger, il repartit sur le chemin inverse à travers bois jusqu’à la clairière où l’attendait Fringuant son fier destrier. Notre héros allait ramener son prisonnier là où il devait être mais il fut soudain prit de remords. Il allait enfermer un homme qui fuyait pour sa vie, un homme condamné aux travaux forcés jusqu’à sa mort pour quel méfait ? Un vol… Une miche de pain ! Si ça se trouve c’était peut-être même pour nourrir sa famille. Il visualisa une petite fille en guenille qui attendait le retour de son père dans un taudis des abords de la Cité. Grrr… Son cœur lui jouait encore des tours. Après tout, on ne l’appelait pas « Le libérateur d’esclaves » pour rien. Alors il déposa ce grand bonhomme évanouit adossé à un arbre, auprès duquel il déposa deux pommes et un morceau de pain –l’équivalent de ce que contenait sa besace- et il partit à dos de cheval sans même y repenser une seconde fois. Il trouverait de l’argent ailleurs.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; ♂ / 26 ans. ɤ fréquence de connexion ; à peu près tous les jours. ɤ que pensez-vous du forum? ; un joli design, fin et soigné avec un header fantastique. Le contexte inspiré d’œuvres géniales, mais revisité et personnalisé = superbe!!. ɤ comment l'avez-vous découvert ? Bazzart est mon ami.  ɤ code du règlement ; validé par dieu tout puissant !ɤ célébrité choisie ; Luke Evans. ɤ credits (avatar, icon etc.) ;répondre ici.

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE HERMIT.

Fiche très agréable à lire, ça se lit vraiment tout seul En espérant que tu te plaises parmi nous

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !