nom et prénom : Alvin Jonas Tilney âge :  31 ans contrée de naissance : Medraven allégeance : Halbarad II, Roi. Et la mère de ce dernier, Eléonorestatut du sang : Noble race : Humain statut civil : Célibataire orientation sexuelle : Hétérosexuel  métier ou fonction : Chevalier faction ou guilde : Garde Royale rang : Chevalier de la Garde Royale affecté à la sécurité de la Reine Eleonore. armes possédées : Epée ouvragée sertie d'émeraude et chargée d’histoire.

ɤ que pensez vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Ce fut un grand choc pour moi et bizarrement, j’en ai éprouvé un léger soulagement que je me refuse d’admettre par rapport à ma sœur, ma Reine. J’ai honte de l’avouer et je ne le ferais jamais. Peu importe ce qu’au fond de mon cœur je pouvais penser, j’ai toujours été loyal envers mon Roi et le serais désormais envers le suivant et sa mère. Le roi est mort, vive le roi. Il est certes jeune, mais je ne me fais guère de soucis pour lui, son éducation a été parfaite et il est soutenu par ma sœur en qui j’ai entièrement confiance. Elle sait guider, elle a su le faire du temps d’Haldebard I et elle saura continuer à conseiller son fils comme elle le faisait avec son mari. Je sais qu’elle ne se laissera pas influencer par la Main qui souhaiterait à tout prix obtenir la totalité du pouvoir, mais manque de bol pour lui, il n’est pas le Roi.ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Un bon guerrier est un guerrier qui ne sous-estime jamais son ennemi. Les engeances ont peut-être disparue pour le moment mais connaissant leur force, leur résistance, leur durée de vie qui selon les mythes sont impressionnantes, je doute qu’elles aient complétement disparu de nos terres. Elles sont peut-être endormie, quelque part, dans un demi-sommeil où elles attendent, patientes, de revenir et de se venger de la race des hommes. Alors je ne suis pas comme tout ceux qui voudrait supprimer la Garde des Ombres, cette force armée et entrainée spécialement pour lutter contre les Engeances. Elle devrait servir de garde également, en attendant, mais il est nécessaire de former certains à combattre ces monstruosités dégénérées. ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. a vos yeux était-ce juste ? la magie est elle une chose à proscrire ? Même le plus grand des hommes ne peut pas porter à lui seul le fardeau d’un désastre. Les mages ne sont pas qu’un, toutefois, je ne crois pas qu’ils soient les seuls responsables. Dans une guerre, il faut deux parties. Pourtant, il faut toujours un victorieux et un vaincu. Il faut toujours quelqu’un pour porter le chapeau, et qui peut mieux le porter que celui qui vous fait le plus concurrence, dont vous avez le plus peur qu’il ne vous vole votre pouvoir. Attention, je ne suis pas quelqu’un qui fricotte avec ce genre de choses, comme tout le monde, j’ai peur de ce que je ne connais pas et je me méfie de toute personne pouvant s’opposer à moi en tant qu’ennemi. Ces mages sont assez puissants pour cela. Mais je ne peux m’empêcher de croire que les enfermer, les priver de leur liberté ne fait que stigmatiser une haine qu’ils peuvent avoir à notre encontre. Tôt ou tard, il faudra les combattre, car nous avons nous-même créer nos ennemis cette fois alors qu’une alliance serait superbe face aux Engeances si par malheur ils revenaient, je touche du bois. ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Ce serait un comble si je ne me sentais pas en sécurité. Après tout, je suis un guerrier et même si je me méfie de mes ennemis et que j’ai appris à ne pas le sous-estimer, je serais un piètre combattant si je tremblais devant une créature aussi hideuse et dangereuse soit-elle. A vrai dire, si je ne tenais pas à assurer personnellement la sécurité de la Reine, je me porterais sans doute volontaire pour nettoyer les régions sombres qui inquiètent la population. Le peuple ne devrait pas vivre dans la crainte. Mais je ne suis pas un rodeur, ni même un chasseur, ils sont les personnes les plus désignées pour nettoyer cette région. Alors oui, pourquoi pas organiser une expédition visant à exterminer ces créatures ? Y’a-t-il seulement des volontaires pour cela ? Ce n’est sans doute pas la priorité de la Reine de proposer une telle chose… peut-être devrais-je lui en glisser un mot ? ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? Etre chevalier est un rêve de toujours,  dès que j’ai su marcher, je me battais contre des dragons et des engeances, des créatures de toutes sortes qui ne tenaient guère longtemps sous mes assauts d’enfant. Je me suis donc entraîné aux armes et c’est tout naturellement que je me suis fait engager comme écuyer dès treize ans. Par chance, je fus l’écuyer du lord commandant de la Garde Royale et c’est ainsi que j’ai reçu mon éducation chevaleresque dans l’idée qu’un jour, moi aussi je serais Lord Commandant de cette même Garde afin d’être près de ma sœur et pouvoir la protéger quoiqu’il arrive.

Il est parfois un âge où il est bon de revenir sur le passé pour se souvenir de certaines choses qui furent et d’autres, dont on rêvait, qui ne furent pas. Je suis peut-être encore jeune pour cela, mais j’ai vécu tant de moments forts qui ont conduit ma vie à devenir ce qu’elle est, qu’il me semble opportun de commencer mon récit. Le récit d’Alvin Jonas Tilney, premier fils du feu seigneur d’Elaven, mon père.

La maison Tilney est une lignée ancienne qui n’était pourtant pas prédestinée à la royauté et aux hautes fonctions à ses origines. Nous étions de simples et humbles pêcheurs qui avons su nous imposer avec justice et honnêteté face à d’autres familles avides de cruauté. Il faut croire que, pour une fois, ce furent les justes qui ont vaincu. Le commerce de la famille fut florissant et notre richesse s’accrut en parallèle, jusqu’à ce que l’un de mes ancêtres fût nommé Seigneur de Medraven. Depuis, le titre se transmet de père en fils ainé… du moins, jusqu’à mon père car, à sa déception qu’il ne me montra qu’à peine, je choisis une autre voie et refusais mon héritage. C’est mon frère cadet qui gouverne aujourd’hui Elaven, quant à moi, je me trouve au seul endroit où j’ai voulu être un jour, auprès de ma sœur ainée, Eleonore, Reine et mère du Roi Halbarad II.

Deuxième enfant de la famille et premier fils, mon enfance fut heureuse. Mon père m’accordait énormément de temps pour m’instruire et me former à mon rôle d’héritier jusqu’à ce que je décide de devenir écuyer. Dès que je sus marcher, je n’avais d’yeux que pour ma sœur que je suivais partout, même après la naissance de mon demi-frère et de mes autres frères et sœurs. Sans pour autant délaisser nos cadets, Eleonore et moi avions une complicité que nous n’avions pas avec les autres et même si je n’étais guère plus âgé que Aerendil, nous nous considérions comme leurs deuxièmes parents. Il nous arrivait de passer des heures entières à jouer à cache-cache, elle tenta même de m’apprendre le point de croix que je faisais semblant de trouver intéressant et je la faisais jouer à l’épée qu’elle faisait également semblant de trouver intéressant. Deux ans nous séparaient seulement et nous apprîmes ensemble à lire, écrire et compter, nous apprîmes ensembles les blasons des différentes familles du royaume et leurs histoires, nous apprîmes ensembles à danser. Cependant, il fallait nous séparer pour nos leçons d’escrime et de couture. C’était ainsi que s’éduquaient les jeunes gens et les jeunes dames. Malgré le fait de devoir me séparer d’elle durant ces moments-là, je les attendais tout de même avec grande impatience chaque jour car j’avais développé des capacités et un talent exceptionnel pour un garçon de mon âge selon le maître d’arme. Ravi d’exceller dans un domaine, je me faisais une joie de retrouver mes frères pour leur montrer ce dont j’étais capable et je pouvais ainsi leur apprendre ce que je savais devant leurs yeux ronds. Les armes, les combats, les codes de chevalerie devinrent rapidement une passion dès que l’on me mit une épée d’entrainement en bois entre les mains. Jamais fatigué, je pouvais passer des heures à l’entraînement, ne renonçant que lorsque le maître d’arme ne me suivait plus et s’asseyait sur un banc, épuisé et gouttant de sueur. De mon côté, je dévorais les livres de chevalerie auprès d’Eleonore qui tissait et je lui racontais les histoires les plus intéressantes comme celle de Goustan L’Intrépide ayant vaincu par ruse trois horribles Garn qui lui étaient tombés dessus à Tameriel.

Les années passèrent paisiblement à Medraven. Eleonore devenait peu à peu une belle demoiselle qui faisait parler les hommes que je regardais d’un œil noir. Quant à moi, ma personnalité se forma en conformité avec mes aspirations de chevalier. A treize ans, je battais mon maître d’arme lors de nos entraînements et je commençais à me débrouiller plutôt bien à l’arc et à l’arbalète. A la cours, aux côtés de mon père et de ma mère, je me tenais droit, j’avais une allure fière mais lorsque l’on me questionnait, je répondais avec humilité et déférence. Au lieu de taquiner les jeunes filles, j’étais devenu galant et j’offrais régulièrement une fleur à Eleonore quand je croisais un bosquet de roses sauvages dans les plaines. J’avais pourtant encore tant à apprendre et je rêvais de revêtir le manteau d’or de la Garde Royale, et l’occasion se présenta bientôt. Ma sœur épousa l’héritier du trône et je ne mis guère de temps à aller voir mon père pour lui demander à user de son influence pour me faire entrer comme écuyer à la cours. Sa tristesse et sa déception avait été palpable ce jour-là mais je crois bien qu’il se doutait que ce jour arriverait tôt ou tard vu mes prédisposition. Il avait espéré que l’héritage me retienne, et il est vrai que je n’arrivais pas à prendre de décision jusque-là, tiraillé entre mon héritage, mon devoir filial et ma passion, ma raison d’être. Le départ d’Eleonore fit basculer la balance sans autre forme de procès. Je voulais être près d’elle, et je voulais être Chevalier. Malgré tout, mon père était fier de moi et il me le dit clairement avant de me trouver un poste d’écuyer auprès du Lord Commandant de la Garde Royale. J’avais quinze ans, et le poste d’écuyer le plus haut placé à la cours, c’est une chance et un honneur immense que l’on avait fait au frère de la désormais princesse.

Je redoublais d’ardeur dans mon travail afin de rendre le Lord Commandant fier de son écuyer. Je m’entrainais ardemment, tard dans la nuit parfois. Je fus quelques fois mis à mal la première année car je ne m’étais battu que contre mon maître d’arme jusqu’à présent, mais j’étonnais par mon niveau précoce à l’épée et à seize ans, je mettais à genoux les meilleurs écuyers et chevaliers. Un seul restait imbattable pour moi, Rhydderch le Valeureux. Sa réputation n’était plus à faire et je passais mon temps libre à lui demander de m’entraîner, encore et encore. A chaque combats contre lui, je mordais la poussière rageusement mais toujours je me relevais, je reprenais mon épée jusqu’à avoir retenu et maitrisé une nouvelle chose. Rhydderch était impressionné par ma volonté mais il se gardait bien de me le dire, préférant rire de mes échecs que me féliciter de mes victoires. Il avait beau être le meilleur guerrier, je m’étais juré de ne jamais lui ressembler dans sa méprise envers les autres. Mes efforts avaient été remarqués par le Lord Commandant et je fus adoubé le jour de mon dix-neuvième anniversaire. Quel plus beau cadeau aurais-je pu rêver que celui-ci ? Aucun. C’est ainsi que j’ai pu accomplir mon rêve et que je devins un Chevalier, de titre et de fonction, dans la Garde Royale. C’est à cette occasion que mon père m’offrit l’épée qui me sert désormais, prolongement de mon propre corps, elle représente énormément pour moi. Faite d’un métal solide et argenté, elle brille d’un éclat digne de la Lune elle-même, sa garde est incrustée des émeraudes que mon père tenait de son père qui le tenait de son père et ce depuis des générations et la lame était chinée de ce même vert éclatant donnant des reflets glacés lorsque la lame tournait dans mes mains. Mon père l’avait faite forger spécialement pour moi en prévision de mon adoubement et c’était sa manière à lui de me témoigner son respect et de ne pas oublier que j’étais son premier fils malgré le fait que je n’étais plus son héritier. Cette épée au fil acéré, à l’équilibre parfait et à la beauté froide et vibrante compte énormément pour moi et jamais je ne m’en séparerais hormis au jour de ma mort.

J’avais assez peu vu Eleonore durant mes années en tant qu’écuyer, toutefois, je l’avais beaucoup plus rencontrée que je ne l’aurais fait en restant à Medraven et pour cela, j’étais satisfait du choix que j’avais fait et que je n’avais jamais regretté. Jamais. Jusqu’au jour où je croisais le regard d’une jeune femme à la beauté redoutable, Lady Ysmira Stormrage. Les vœux de célibat, de loyauté, de fidélité que j’avais fait à mon adoubement me pesèrent soudain beaucoup plus, notamment celui de célibat. La jeune femme, mariée de surcroit à un homme qui ne l’aimait pas, m’avait bouleversé et sa beauté dure et froide ne mit guère de temps à me faire succomber. J’aimais passer du temps avec elle, lui parler et il semblait que ce fut réciproque car au fil du temps, nos conversations prirent une allure plus intime, et nos heures passées ensembles augmentaient continuellement se transformant peu à peu en des rendez-vous qui avaient tous des rencontres amoureuses, du frôlement des vêtements au baiser le plus chaste sur la joue en passant par des effleurements de la peau. Il arriva ce qui devait arriver, nous consumâmes notre amour malgré toutes les interdictions qui s’érigeaient autour de nous. Mais je ne pouvais rien y faire, l’odeur de ses cheveux, la chaleur de sa peau, sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration, son regard fiévreux… Au fond, je n’étais pas un surhomme. Je vivais avec les mêmes désirs et les mêmes besoins que tous les autres. Le plaisir charnel et l’amour en faisait partie. Et l’interdit rendait tout cela encore plus excitant, il fallait bien l’admettre. Cela dura plusieurs années où la crainte d’être découverts augmentait un peu plus à chaque rencontre où nous étions entourés de la cours. Je ne m’en aperçus pas immédiatement, mais Ysmira avait fini par changer, son cœur semblait continuer à geler et je ne la reconnaissais plus lorsqu’elle parlait de son mari ou d’autres qu’elle ne tenait pas en grande estime. Mon cœur était serré lorsque cela se produisait, elle n’était plus celle dont j’étais tombé amoureux mais je ne pouvais pas non plus la quitter, au risque de la voir sombrer encore plus rapidement dans l’obscurité. Seulement, est-ce que j’étais capable de tomber avec elle ? Serais-je capable d’abandonner tout ce pour quoi je m’étais battu pour elle ? Peut-être à l’époque, mais aujourd’hui, je ne savais plus. Ma raison me pousserait à m’éloigner de son influence malsaine qui me mettait sur la sellette et qui pouvait me faire tout perdre, mon cœur lui, semble refuser tout compromis et j’espère sans doute retrouver un jour la femme pour laquelle j’aurais pu décrocher la Lune.

L’avenir seul pourra nous dire ce qu’il en sera et ce ne sera que dans quelques années encore que je reprendrais ce récit là où je le termine aujourd’hui : après la mort de mon beau-frère, le Roi Halbarad I et l’accession de mon neveu au pouvoir que je soutiendrais du mieux que je le pourrais dans ce rôle bien trop lourd pour ses encore trop frêles épaules.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Aza, 26 ans, F ɤ fréquence de connexion ; Autant qu’il le faudra pour les réponses aux sujets ^^ ɤ que pensez-vous du forum? ; Design superbe, excellents avatars choisis, contexte qui en promet...c’est résumé mais l’essentiel y est  ɤ comment l'avez-vous découvert ? via facebook, quelqu’un qui le recommandait à quelqu’un  ɤ code du règlement ; Validation par Ava ɤ célébrité choisie ; Nikolaj Coster Waldau ɤ credits (avatar, icon etc.) ;@ tumblr

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE JUSTICE.

Tu as parfaitement cerné le personnage et la fiche est très agréable à lire ! Du coup, ça ne fait aucun doute pour nous, tu es validé ! Amuse-toi bien parmi nous.

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

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