Nom et Prénom : Mon premier prénom est Gael, il ne possède aucune signification particulière en dehors de l'affection de ma mère pour ce dernier. Rone, mon second prénom, est celui d'un vaillant guerrier de notre famille. Oaken est un nom de famille que je porte avec fierté, symbole d'une longue et forte lignée Âge : 22 ans. Je suis l'aîné de la branche principal. Contrée de naissance : Forteterre dans le Nord, et plus précisément à Ozrhamar. Allégeance : Mon allégeance se porte d'abord envers ma famille, et mon nom. Bien que mon devoir la destine au roi Halbarad II et à sa mère Eleonore, la régente. Statut du sang : Mon nom devrait vous suffire, mais puisqu'il faut clarifier les choses, je suis noble étant fils de Lord et Lady Oaken de Forteterre. Race : Humain Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuel Métier ou fonction : Chevalier au service du royaume de Kahanor Armes possédées : Je possède une épée présente dans ma famille depuis des générations, et elle serait d'après la légende un cadeau d'un seigneur nain envers mon aïeul. Même si je n'y crois pas forcément, je dois dire que malgré son âge, elle reste une lame redoutable qui ne s'émousse pas. C'est un bien précieux, avec les armoiries de ma famille sur la lame juste au dessus de la garde.

ɤ Une tentative d'assassinat a eu lieu durant le tournoi organisé en l'honneur du Roi Halbarad II, les rumeurs disent qu'il s'agissait d'un membre du conseil des Sombrelames, pensez-vous que la Guilde soit devenue une menace pour le royaume ? En quoi serait-elle devenue une plus grande menace à présent ? Elle a toujours représenté un danger considérable, et cette tentative d'assassinat n'est pas son premier forfait. Bien qu'il soit son premier échec retentissant. Ce qui m'inquiète le plus, c'est la personne ayant commanditée cette tentative. Cela ne fait que confirmer ce que tout le monde redoute : une bataille pour le trône. Autant dire que ce n'est pas pour me rassurer, et je m'inquiète des conséquences pour le pays, et plus particulièrement Forteterre. Nous sommes forts, et nous survivrons comme à chaque fois mais après avoir passé autant de temps à reconstruire notre contrée, je serais attristé de la voir détruite à nouveau. ɤ  Les animaux qui peuplent la forêt de Pestebois semblent être devenus fous. Des villages entiers ont subis des attaques de loups géants, une odeur nauséabonde se dégage de Pestebois, tout semble pourrir et n'être que chaos, jusque dans le cœur des hommes. Pensez-vous que cela annonce le retour d'un Enclin ? Je ne serais me prononcer sur cette question, même si nous ne pouvons nier ces signes. Après est-ce réellement le début d'un nouvel enclin ou juste les actions d'un groupe isolé. Nous devons malgré tout nous tenir prêt, car nous sommes loin d'avoir les conditions de la précédentes victoires sur les engeances. Les familles sont déchirés, et se méfient les unes des autres. Et les mages sont loin de faire l'unanimité, bien que mon avis sur ces derniers soient en attente pour le moment. Je n'en connais aucun personnellement, ou en tout cas pas suffisamment bien pour m'en faire une opinion. Espérons seulement que si cela s'avère nécessaire, ils seront en mesure d'agir et d'accomplir le même prodige que leurs prédécesseurs ɤ Suite à la destruction d'une partie de la Tour du Cercle, des mages ont tenté de s'enfuir et ont été violemment abattus par les Templiers, un vent de révolte souffle parmi les mages, qu'en pensez-vous ? Cela tombe au plus mauvais moment, surtout si un nouvel enclin se profile à l'horizon. Il serait stupide de tuer notre meilleure défense ou de nous en faire des ennemis. Après comment les blâmer de leur réaction. Si des membres de ma famille étaient abattus de la sorte, je pense que la colère gronderait en moi et que des envies de révoltes m'étreindraient tout comme eux. La magie n''est qu'une arme comme une autre, elle n'est ni mauvaise ni bonne mais c'est son utilisation qui en détermine l'alignement. Peut-être devrions nous prendre cette réflexion en compte, plutôt que de condamner directement les mages à une vie de reclus... même si j'en comprends les raisons.

Eté de l’an 1590. Ce fut l’effervescence dans le domaine des Oaken à Ozrhamar. Le premier enfant de la branche principal était en train de naître. Le lord arpentait le couloir avec anxiété, pendant que dans la pièce voisine, des femmes s’avéraient auprès de son épouse pour l’aider à donner vie à ce petit être. Cela sembla une éternité pour le futur père, qui vit les pleurs de son premier enfant comme une délivrance. Ses genoux fléchirent au moment où toute la tension quittait le corps robuste de l’homme, et il se retint au mur le plus proche pour ne pas se retrouver sur le sol. La porte s’ouvrit et une femme fit signe au maitre des lieux d’entrer. La petite famille fut réunie pour la première fois. Un charmant tableau. C’était un fils, un héritier. Autant dire que la famille Oaken fut au comble du bonheur. La mère choisit le prénom Gael, un choix instinctif et guidé par sa simple appréciation. Elle aimait ce prénom, et cela semblait être une évidence en voyant ce jeune garçon dans ses bras. Et pour lui donner de la force, son père lui donna comme deuxième prénom celui d’un de leurs ancêtres, le plus illustre de la famille ayant combattu lors du dernier enclin près de trois siècles auparavant. Les naissances se succédèrent rapidement puisqu’un frère pointa le bout de son nez trois ans plus tard, suivi de jumelles, Aliénor et Guinevere, deux ans après. La famille se composa alors de six membres, unis et très attachés les uns aux autres. Gael était l’aîné, et le poids des traditions et de l’histoire de la famille Oaken pesa plus intensément sur ses épaules, que sur celles de sa fratrie. Dès qu’il fut en mesure de parler et de marcher, son éducation fut prise en charge par des précepteurs sous la houlette de la main de fer de son père ; ce dernier était froid mais non distant avec son premier né, et souhaitait juste en faire un homme selon ses principes.

Les moments préférés du jeune garçon étaient ceux passés avec son grand-père. Ce dernier était un conteur né, et qui connaissait de très nombreuses histoires sur les ancêtres de la famille Oaken. Sa préférée concernait son homonyme Rone Oaken, ainsi que son épée accrochée au-dessus de l’âtre dans le salon. Une arme magnifique et en parfaite état malgré son âge, et le peu d’entretien lui étant apporté. Gael était totalement passionné de ces épopées et ces histoires de guerres, bien qu’il soit loin de s’imaginer la réalité d’une telle situation. Ses jeux tournaient souvent autour des combats de ses ancêtres, avec quelques domestiques et des enfants de la ville ; il interprétait alternativement les gentils comme les méchants, afin de laisser les autres enfants s’amuser autant que lui. Très rapidement, il fut évident pour ses parents que la voie de chevalier tentait leur premier né. Ce n’était pas ce qu’ils avaient pu souhaiter, mais leur amour leur fit céder sur ce point. C’est à l’âge de huit ans que sa vie prit la tournure qu’il souhaitait tant. Son père le convoqua dans son bureau, où il trouva ses parents ainsi que son aïeul. Sa mère se mit à pleurer au moment de son entrée, et son père poussa un profond soupir de dépit. Avant même que les paroles furent prononcées, Gael comprit ce qu’il se passait et ce qui allait se produire. Avec un solennel pesant du point de vue du jeune garçon, on lui expliqua qu’il partirait à la fin de semaine pour rejoindre un seigneur, qui deviendrait son parrain. La longue route vers le rang de chevalier allait démarrer pour l’aîné des Oaken. L’intéressé était partagé entre la joie de cette nouvelle, et la peine occasionnée par le départ de sa demeure et l’éloignement de sa famille. Et puis les larmes de sa mère n’aidèrent en rien dans cette situation.

La route vers son parrain fut plutôt longue, mais intéressante. Le jeune garçon découvrit de nouveaux paysages et de nombreuses choses, c’était la première fois qu’il quittait réellement Forteterre. Tout ce qu’il savait de ce seigneur, c’est qu’il était un ami de la famille et une personne de confiance. Il était chevalier, et à priori l’un des plus forts du pays à en croire son grand-père. Plus le temps passait, et plus son appréhension grandissait à la perspective de cette nouvelle vie. Etait-il vraiment sûr de son choix dans le fond. Etait-ce vraiment ce qu’il souhaitait. Ces questions le taraudaient toujours quand il arriva enfin à destination. Il fut accueilli par son parrain, qui se montra chaleureux et avenant enlevant une grande partie des craintes du futur chevalier. L’installation se passa simplement et rapidement. L’apprentissage démarra abruptement, et son professeur se montra bien plus strict et sévère que lors de leur première rencontre. C’était un homme juste mais dur, et adepte du travail bien fait. Gael ne bénéficia d’aucun traitement de faveur, et ce n’était pas pour lui déplaire. Le seigneur prit soin de lui, et le forma petit à petit. Ils se découvrirent mutuellement dans la mesure où ils passaient énormément de temps ensemble, et que leurs sujets de conversation étaient divers et variés abordant de nombreuses choses. Les premières années furent laborieuses, et parurent une éternité pour le jeune garçon. Il était encore loin de son rêve de gloire et de légende, et il se rendit compte aussi qu’en temps de paix les chevaliers avaient d’autres rôles tout aussi importants. Il grandissait tant physiquement que psychiquement sous la houlette de cet homme devenu son modèle, plus réel et tangible que les héros de son enfance.

Gael gravit les échelons le menant vers chevalier avec opiniâtreté, et détermination. Il fallait bien cela pour survivre à la formation de son parrain, et être à la hauteur de ses attentes. Si certaines tâches semblaient un peu rébarbatives, et difficiles aux yeux du jeune garçon. Le maniement de l’épée se révéla être un domaine plus à sa portée, et ses compétences se développèrent rapidement. Les années passaient, et le jeune Oaken n’avait pas vraiment le temps de penser à sa famille, n’obtenant des nouvelles qu’au travers des échanges de lettres. Une seule fois, il put revoir sa famille lors d’une halte de son mentor dans le domaine familial ; ce furent des retrouvailles touchantes mais de courtes durées. Il avait alors treize ans. Une fête était organisée pour d’excellentes moissons, et il put profiter un peu de sa famille. Aucun élément marquant n’est à signaler durant cette période, à part peut-être de légères escarmouches et accrochages avec un autre page lors d’un tournoi. Des bagarres mues par la fierté des deux jeunes gens. Ce fut le début d’une rivalité entre eux, qui est encore présente encore aujourd’hui. Mais pas le genre d’opposition rude et aveugle, plutôt un test de force honorable entre deux chevaliers. Elle fut d’ailleurs maintenue par les deux mentors, afin de forcer leurs élèves respectifs à se dépasser pour surpasser l’autre. D’ailleurs, c’était souvent le jeune homme du Nord qui avait le dessus. Cette vie de bohème et de voyage plaisait beaucoup à Gael, ainsi que toute l’animosité et l’effervescence entourant les tournois. Un univers bien différent de celui de son enfance, mais gardant malgré tout beaucoup de charmes à ses yeux.

Les années se suivirent mais ne se ressemblèrent pas. Gael continuait de grandir, et devenait un homme fort et puissant ; ses connaissances ne faisaient que s’accroître, et même son parrain devait reconnaître sa valeur. Ses premières passes d’arme se produisirent lors d’un petit incident où le seigneur et quelques autres chevaliers furent appelés. Le baptême du feu qui vit quelques cicatrices jalonner le corps du jeune homme. L’entraînement restait très théorique, et la pratique se révéla bien plus ardues et compliquées. Et pourtant, de son point de vue, le futur chevalier ne s’en était pas trop mal sorti découvrant certaines faiblesses dans sa technique ainsi qu’une naïveté qu’il ne pensait plus avoir. Cette expérience changea la vision du jeune homme, et son entraînement n’en fut que plus fructueux. Pour la première fois, son mentor arborait une expression de fierté envers son disciple, une véritable et profonde reconnaissance de sa part. C’était gratifiant. A l’approche de ses vingt ans, Gael n’avait pratiquement plus rien à apprendre de son parrain. Il avait déjà éprouvé les affres d’une véritable bataille à quelques reprises, et s’était essayé à des passes de tournoi avec son rival de toujours sous les regards de leur maitre respectifs. L’adoubement. L’étape finale de son apprentissage vint plus rapidement qu’il ne l’avait cru. Le jeune Oaken se sentait encore un enfant, mal préparé pour la vie de chevalier. Ce qu’infirma son parrain et ami à présent, et il lui signifia même toute sa confiance en le surnommant l’un des chevaliers les plus prometteurs de son point de vue. Avant de se rendre à la cérémonie, Gael retourna chez lui avec la personne qui avait été son tuteur pendant toutes ses années afin d’annoncer la nouvelle à sa famille.

Ce fut un retour triomphal pour le jeune homme, et il fut accueilli comme un héros qu’il n’était pas. Toute sa famille ferait le déplacement pour assister à son adoubement, un fait rare pour sa famille enfermée dans le Nord. Son grand-père ne serait pas du voyage, mais il avait un cadeau tout particulier pour le jeune homme. L’épée de son ancêtre Rone Oaken était à présent la sienne. Ce fut un échange très solennel, et son aïeul lui parla du devoir que cela représentait d’être chevalier autant envers le roi que sa famille. La dernière leçon de moral du grand-père pour son descendant qui allait devenir un homme. Dans un geste impulsif, Gael serra le patriarche de la famille dans ses parents ; cette étreinte lui fut rendue avec la même émotion. Les démonstrations d’affection de la part de cet homme étaient suffisamment rares pour marquer une personne durant toute sa vie. Le jour de la cérémonie approchant, les Oaken se mirent en route. C’est avec une fierté difficilement dissimulée que le jeune homme fût consacré chevalier du roi devant une assemblée de noble dont les personnes les plus importantes à ses yeux. Sa gratitude envers ses parents était énorme à cet instant, et il se jura de leur rembourser cette dette d’une manière ou d’une autre. Gael profita d’un petit temps de répit dans le domaine familial, savourant ce nouveau rang apportant du prestige et de la reconnaissance sur sa famille. C’est avec une promesse de remboursement que le jeune homme acquit tout le matériel nécessaire à sa nouvelle vie auprès de ses parents.

Depuis deux ans, Gael arpente le pays pour assurer sa sécurité, participant à de nombreux tournois plus ou moins réussis pour le jeune chevalier. D’ailleurs, lors de son premier tournoi, il dut affronter son mentor et essuyer une cuisante défaite ; la revanche se produisit deux mois plus tard, et ce fut l’élève qui dépassa le maître cette fois-ci. Le jeune Oaken retrouva son rival de toujours, adoubé en même temps que lui. C’était une lutte serrée entre les deux hommes, qui développèrent une certaine forme d’amitié au fil des échanges et des joutes. Le chevalier retourne régulièrement chez lui, faisant des passages plus ou moins long selon les ordres du roi et le calendrier des tournois. La situation se compliqua quelques mois auparavant avec la mort du roi et l’arrivée sur le trône de son fils, sous la régence de sa mère. Les tensions sont palpables, et tous les chevaliers comme les habitants craignent une situation de guerre. Gael était présent lors du tournoi organisé en l’honneur d’Halbarad II, bien que son intervention se révéla plus indirecte que directe. Mais ce n’est aux yeux du jeune chevalier qu’un prélude à ce qu’il risque de passer.

ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Greyguizmo / N/A / m ɤ Fréquence de connexion ; Au moins une fois par jour ^^ ɤ Que pensez-vous du forum? ; Bah mon inscription est plus éloquente que tous les compliments que je pourrais écrire. ɤ Comment l'avez-vous découvert ? par Hedwige  ɤ Code du règlement ; War will weather the souls of the lost ɤ Célébrité choisie ; Shiloh Fernandez ɤ Credits (avatar, icon etc.) ; Rivendell & Tumblr

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE JUSTICE.

Une jolie fiche pour un personnage intéressant, nous te validons donc sans la moindre hésitation ! Amuse-toi bien parmi nous.

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

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