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 ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.

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Invité

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MessageSujet: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:03


Elios Pellavan
qui je suis et d'où je viens

Nom et Prénom : n'étant pas né bourgeois, encore moins un grand noble, il a hérité d'un nom de roturier Pellavan, celui de son père, qui était un artisan aux revenus médiocres. Quant à son prénom ? Sa chère et tendre mère lui a choisi, Elios, il n'en connaît pas la signification, il suppose qu'elle devait avoir sa propre signification. Âge : depuis 28 ans, il erre en bon être humain sur les terres de Kahanor. Contrée de naissance : dans les hauteurs de Hurlevent. Allégeance : gamin, il n'obéissait qu'à sa mère - de toute manière, les allégeances, tout ce foutoir c'était trop compliqué pour lui. Et depuis ? Les choses ont pourtant changé. Maintenant, Elios n'a d'yeux que pour la guilde des Sombrelames.  Statut du sang : pouilleux, fils de catin, un genre de bâtard pas assez noble du côté paternel pour se faire traiter ainsi. Il n'a jamais connu celui qui a participé à son existence, il ne s'en porte que trop bien ceci et n'a jamais voulu savoir ce qu'il faisait.Race : certainement pas éternel, créature éphémère qui porte le nom d'Homme. Statut civil : il n'est jamais tombé réellement sous le charme de quelqu'un, n'a jamais voulu chercher l'amour à vrai dire. Se contentant des plaisirs simples que la vie lui offre, quand il sera vieux et gâteux, il pourra se soucier de sa vie sentimentale. Elios est donc célibataire.Orientation sexuelle : concrètement, il se fout complètement de qui tombe dans son lit. Une femme, un homme, la diversité ne lui fait certainement pas de mal, on peut le dire bisexuel. Métier ou fonction : bien que maître assassin, Elios opère aussi en tant que rôdeur. Faction ou Guilde : Elios est dans la guilde des Sombrelames depuis des lunes, des années, il ne se souvient même pas vraiment de l'âge qu'il avait quand on lui a proposé de se joindre à eux. Quoi qu'il en soit, cette guilde fait partie de lui, coule dans ses veines et le tuera certainement à petit feu. Rang : il ne pensait pas accéder à un tel rang, encore moins y avoir droit presque facilement. Remettant en cause ses propres capacités, il se voyait déjà condamné en tant qu'apprenti. Faut-il donc croire que les pensées sombres nous poussent à nous surpasser ? La preuve en est d'Elios, qui est depuis un petit temps déjà maître assassin. Un honneur, une joie et passons les autres sentiments, qui lui tapent encore maintenant sur le coeur ! Armes possédées : chanceux en son genre, son arme de prédilection est l'arc, ajoutez à ceci des flèches très fines qu'on entend à peine siffler dans le vent, et une dague au cas où il y aurait combat à terre.


on a besoin de votre opinion

ɤ Que pensez vous de la mort du roi ? L’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Tant que le peuple n'en souffre pas, je ne vois guère où est le problème. Bien des personnes hurlent qu'à son âge, il ne devrait pas gouverner, qu'il ne saura pas mener d'une main de fer ses armées, même parfois, qu'il mènera le royaume à sa perte. Les évènements ne peuvent arriver en une seule et unique fois, si un faux pas se fait savoir, nous serons certainement vite au courant - et bien d'autres. Monter sur un trône, en descendre, tout est une question de ruse. Une chute à cheval, une blessure maladroite, tout peut vite arriver. Bon ou mauvais roi, cela reste à voir. ɤ  A votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? Les Engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Qui vivra verra paraît-il. Si elles sont encore là et que nous n'avons rien vu venir, eh bien, j'ai envie de simplement répondre nous mourrons ensemble et dans d'atroces souffrances. Nous ne pouvons nous préoccuper de tout, le monde regorge de monstres en tous genres, et pas seulement rongés par les ténèbres. En tout homme réside un fruit pourri qui ne demande qu'à mûrir, certains passent à l'acte, d'autres arrivent encore à se modérer. La vie en elle-même est une bataille, peu de personnes le remarquent malheureusement. Alors, si les Engeances reviennent, sont encore de ce monde, il ne restera plus qu'à prendre les armes et essayer de faire au mieux pour se défendre. Là est le but de l'existence, mourir en piètre sauveur. Quoi qu'il en soit, le calme qui règne en ce moment n'est pas forcément bon signe pour la garde des ombres, elle ne devrait pas disparaître dans sa totalité, mais réduire et savoir revenir lorsque le mal approche. ɤ Les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? La magie est elle une chose à proscrire ? Mon avis reste mitigé sur ce sujet. Je n'étais pas là au moment de la guerre, encore moins quand les mages ont été exilés. La magie est encore là, autour de nous, peut même parfois nous guider, et gamin, j'y croyais. Une part de moi, réfute l'idée qu'elle peut être profondément mauvaise, d'une part comme d'une autre, elle peut être dévastatrice comme salvatrice. Il suffit de trouver un milieu pour avoir une paix conséquente. Fatalement, s'ils ont été bannis, ce doit être pour une raison. Cette question ne m'empêche pas de dormir, encore moins d'exister, et quand bien même mon point de vue serait révoltant, que pourrais-je faire de plus ? Il ne suffit pas d'un homme pour changer le cours du temps, mais plusieurs.   ɤ  La forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? Le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Le gouvernement, ah le gouvernement, c'est beaucoup de paroles pour aucune action. Ils ne savent pas où mettre la tête, promettent monts et merveilles pour les plus niais, et quand vient le drame, ils se mordent les doigts. On ne peut se fier à personne d'autre qu'à sa propre personne - et d'une certaine manière, dans mon cas, à la guilde des Sombrelames -, alors qu'ils fassent seulement, j'attends de rire lorsque viendra leur déclin. La forêt de Sombrebois ne me fait pas réellement peur, bien qu'elle puisse étonner et que je ne la connaisse pas encore dans sa totalité, j'ai la chance - ou la malchance, à vous de juger -, de pouvoir y passer un certain temps pour m'entraîner et ramener du ravitaillement. Malgré tout, j'évite d'y passer toute une journée, et encore moins une nuit. Les fées, ce nom si doux, pourtant dévastateur, je n'en ai pour le moment jamais rencontré et je redoute ce fameux jour. L'on meurt tous un jour, et si mon âme doit finir dans la bouche d'une de ces horreurs, je ne pourrais qu'accepter mon minable sort. ɤ Quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? En toute franchise, à l'époque, je ne me doutais pas que la guilde avait de tels agissements. Mon maître a été un homme plus que bon, poussant ma motivation à l'extrême, passant même l'épreuve d'Ahn-Ju, proposée par lui-même. Il a vu en moi quelque chose, je ne sais toujours pas quoi, mais c'est avec honneur que je porte moi-même aujourd'hui, le titre de maître. Quoi qu'il en soit, la guilde des Sombrelames réserve maintes surprises, même s'il est utopique de croire qu'elle pourra tout régler dans un futur proche, elle ne fait qu'agir pour le bien de la population. Ce qui est flatteur, vous gonfle l'esprit avec un nouvel horizon, des expériences diverses et quelque part, j'ai trouvé ma place parmi les membres de la guilde. Ce qui vaut à peu près, tout l'or du monde - du moins, à mes yeux. Ce qui est utile, ce qui est juste, ce qui est bon pour autrui, ce que nous jugeons. N'y a-t-il pas plus belle impression, que de se sentir complet ?


et c'est qui derrière l'écran ?

ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Laura, 18 ans, mamz'elle. ɤ Fréquence de connexion ; je passe au moins une fois par jour, étant à la fac, je ne garantis rien quant à ma régularité au niveau des RPs.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232ɤ Que pensez-vous du forum? ; en toute franchise ? Sublime. Des annexes complètes, bien écrites, le design claque sévère, c'est un beau petit bijou que voilà.  :hysteric:  ɤ Comment l'avez-vous découvert ? sincèrement, je m'en souviens plus du touuut. Peut-être via une pub, quoi qu'il en soit, j'ai ramené du peuple avec moi.  héhé - bon okay, juste Nysen, mais c'est une personne quand même.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 2823823996 ɤ Code du règlement ; validation par Astoria. ɤ Célébrité choisie ; Jack Huston.  shon ɤ Credits (avatar, icon etc.) ; tumblr notre dieu à tous ! Les gifs de la signature c'est de ma tronche, l'avatar d'Anarya.   mad 



Dernière édition par Elios Pellavan le Ven 20 Déc - 18:40, édité 16 fois
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:04


et si vous nous racontiez vos aventures ?


Elios, 8 ans
« POUR L'AMOUR DE LA MÈRE, ELIOS ! Vas-tu descendre ?! »  Hurlement aigu, venant de lèvres fines que je connais encore mieux que les traits de son visage. Pinçant ma lèvre inférieure, debout sur ce mur à fixer ce qui m'entoure, peu de choses m'attirent, je souhaite seulement toucher les nuages, atteindre le soleil et ne plus revenir sur la terre ferme. Mes prunelles se baissent sur la femme qui vient de hurler. C'est ma mère. Vêtue comme une souillon, des cernes sous les yeux, la chevelure en bataille, on pourrait imaginer qu'elle est boulangère, ou encore fermière. Loin de là cette idée, à la vue de ses traits de très jeune fille, elle doit faire le travail le plus ingrat que cette ville a à offrir. Je suis venu en tant qu'erreur, je n'aurais même pas dû exister. Que je sache, elle ne voulait guère de moi lorsque j'étais encore dans son ventre, quand je tapais sur sa peau, que je déformais son corps par ma présence. Ses présupposées amies, me racontent que lorsque je suis arrivé, que mon visage est apparu face aux siens, elle n'a pu se défaire de ma personne. Pour tout dire, elle ne m'a jamais avoué qui peut être mon père, et, je me doute quelque part, qu'elle ne doit pas s'en souvenir. Payée pour le plaisir de la chair, payée pour rester l'espace de plusieurs heures avec un homme, dans une chambre miteuse, comme cette bâtisse. Maison. De passe. Je préfère dire maison. Celui qui dirige le lieu ? Il ne peut pas me voir, ne me supporte pas, et quand il y arrive, se débarrasse de moi pour la journée. Alors pour l'heure, je grimpe sur les murs, je suis tombé à plusieurs reprises, peut-être cinq fois depuis que ceci est devenu un amusement. Les autres enfants ne veulent pas voir la pauvreté, encore moins quand on a leur âge. Ma main passe dans mes cheveux, je m'arrête de bouger, hausse les épaules et ajoute à mon tour. «  Pourquoi j'devrais ?! Je te vois très bien d'ici, ce n'est pas très haut. Tu es même mieux comme ça. » Sourire en coin, ce n'est pas une relation saine que j'ai avec ma mère. Ce n'est pas une véritable aimante, faite pour ce métier, s'occuper de moi. Ce qui l'intéresse est d'avoir sa pièce, un sourire d'un homme et elle s'effondre, rêve qu'un jour quelqu'un l'arrache de sa fatalité. J'ai beau être son fils, n'être haut que comme trois pommes, je vois la vie telle qu'elle est, pas comme je veux la voir moi. Ses sourcils se froncent, ses mains se posent sur ses hanches, sa chevelure rousse brille au soleil comme un feu de joie. Elle était belle, il fut un temps, jusqu'à ce que la rage vienne à noircir son coeur. « ELIOS ! Si je t'attrape, je te jure que - » « Que quoi ?! Tu vas te débarrasser de moi comme tu as toujours voulu le faire, c'est ça ? Moi, contrairement à toi, je suis libre. LIBRE. LIBRE. » Au fond, elle doit m'aimer, par simple logique, parce que je suis venu par le biais de son corps, parce qu'elle m'a donné le sein quand je n'étais encore qu'un nourrisson, parce qu'elle me murmurait dans les oreilles des chansons maladroites. Et, à en juger par son teint qui devient pâle d'un seul coup, je l'ai touché en plein coeur. Je peux même sentir ses larmes monter dans ses yeux bleus. Je n'ai rien hérité d'elle, ni son caractère, ni ses cheveux, juste ses yeux, qui sont la porte ouverte vers une âme inexistante.  « Tu es peut-être libre, mais tu restes mon fils ! Qui t'as élevé ? Qui t'as donné la vie ? Qui s'est levée durant des nuits pour te faire arrêter de pleurer ? Hein ?! QUI ELIOS ?! » Sa phrase me fait perdre l'équilibre, je menace de tomber de ce mur, qui me paraît éternel. Tous le monde est petit, je suis le seul à être grand, je n'ai aucune couronne sur la tête, encore moins de titre, mais, j'arrive à voir ce que bien des hommes se réfutent à regarder. Le malheur du monde, la pauvreté, la vilenie qui s'étale sur les murs, comme un miasme noirâtre, puant le cadavre et rependant la rage. Mes petits poings se serrent, mes dents grincent, à nouveau nous nous combattons, nos visages changent de traits. Devant moi, je n'ai qu'un monstre, plus de mère, ou alors, une pauvre bête qui souffre. « Je n'ai jamais demandé à être là. Jamais. » Et même si les sentiments se mélangent, ne sont pas véritablement clairs, je peux sentir mon sang chauffer, mes muscles trembler. C'est douloureux, si douloureux de se souvenir, de savoir ce qui ne fait pas plaisir. J'aurais préféré avoir Elise comme mère, ou bien Marie. Elles sont gentilles, s'intéressent à ce que je peux dire, s'excusent lorsqu'un client arrive pour les emmener dans un septième ciel aussi faux que les tapis de la maison. Elles continuent de se battre, contrairement à Syriel. Syriel Pellavan. Syriel lui va. Après tout, pourquoi lui donner un nom ? Elle n'existe pas aux yeux du monde, ni même aux miens. Ce n'est qu'un passage quelconque dans ma longue route, qui a mal commencé par sa faute. Ce doit être injuste, même crétin de ma part de penser ainsi. Mais, quand la douleur est accumulée, il faut savoir reporter la faute sur quelqu'un, sans quoi, la raison vient à disparaître, dans le pire des cas, on doit s'y habituer, parfois même, on en meurt. « Elios... » Suppliante, mes pas m'obligent à avancer, de manière rapide, de plus en plus vite, pour m'éloigner de cette voix qui tape dans mon crâne. Déglutissant difficilement, je jette un dernier coup d'oeil sur cette maison, sur cette femme qui ne devient qu'un point inutile. Moi je vois les ombres danser, moi je vois les ombres taper, de là où je suis, les ombres dansent encore et encore, autour de la flamme de la vie. Et elles vous pousseront à votre perte.


Elios, 12 ans
Courir, jusqu'à ce que mes jambes s'écroulent. Courir, jusqu'à ce que mon coeur éclate. Courir jusqu'à ce que le souffle me brûle la gorge. Encore, toujours plus vite et plus loin. Je l'entends hurler, ce passant qui ne demandait rien, qui voulait passer tranquillement dans cette rue en oubliant tout problème. Mes mains se sont glissées dans sa poche, sans aucune retenue, avec une certaine finesse pour que mon visage n'apparaisse pas dans ses yeux. Une erreur, d'une stupidité à en pleurer. Le responsable de cet énervement, de ce tour raté, ne fait que me suivre depuis, depuis ? Je ne le compte même plus. Il est là, accroché à ma main, comme un enfant ne voulant perdre sa propre mère. Il veut faire comme moi, grimper sur les murs, attraper des bourses avec un grand sourire aux lèvres. Il n'y arrive pas, il ne le sait pas, il n'y connaît rien en ces choses-là, Nysen. Mes sourcils se froncent, mon sang tape avec violence contre mes tempes, contre ma peau, il risque de sortir à flot si je ne m'arrête pas. Jetant un coup d'oeil inquiet sur l'homme qui voulait récupérer son dû, je suppose que nous avons réussi à le surpasser, et de plusieurs lieues déjà. Je tourne dans une ruelle, me laisse allègrement tomber sur le sol. Une goutte de sueur coule sur ma peau, mes mèches commencent à se coller, j'aime même à m'imaginer que je suis seul. Je n'ai droit au répit que quelques secondes, juste assez pour que je sente la colère se mêler à mon amusement. L'air perdu, les traits crispés, tout aussi fatigué que moi, Nysen quant à lui se laisse glisser contre le mur. Plein de questions, à ne pas en douter, il a déjà peur de ce que je vais dire. Mon air ne me trompe pas, je lui en veux. « J'avais pas b'soin de toi. J'me suis toujours débrouillé seul, et tu l'sais ! Pourquoi t'es venu, hein ?! On aurait pu se faire couper les mains à cause de toi ! » Me mettre à croire que cette phrase pourra réussir à lui rabattre sa grande bouche, c'est un doux espoir qui me caresse le crâne. Si j'ai droit à un silence plus que salvateur durant un temps bien trop court, je vois son image changer, se modifier petit à petit, comme s'il se décomposait mais dans un autre sens. La rage attire à la rage, vice-versa. Nysen croise ses bras sur son torse, ses vêtements sont aussi crasseux que les miens, et pourtant, il vient d'un milieu plus aisé que le mien. Il peut se vanter d'avoir un père ébéniste, une vie plus ou moins supportable, à sa manière, sans avoir besoin de fouiller des poches innocentes. Il sait des tas de choses, mais savoir, ce n'est pas pour autant pouvoir. Et ceci, il ne sait pas encore faire la différence. « Et puis quoi ?! J'ai l'droit d'aller où j'veux, si j'ai envie de venir, je viens aussi, tu peux pas m'en empêcher ! » Enfant capricieux à souhait, que je me souvienne, à son âge, je ne pleurais pas pour si peu. Bien que des larmes ne coulent encore pas sur son visage, je peux voir ses joues changer de couleur, un joli rose, qui vire bientôt au rouge feu. « ...et puis c'est pas d'ma faute si ça a loupé d'abord... » Qu'il murmure d'une voix basse, j'arrive pourtant à l'entendre. Bien évidemment, c'est déplaisant, ça m'en redresse les poils sur les bras. Comme si j'étais le responsable d'une telle mascarade, d'une rature comme celle-ci. S'il n'avait pas eu la bonne idée de me faire bouger pendant que je touchais le tissu, nous n'en serions pas là. «  QUOI ?! Qu'est-ce qu'on avait dit Nysen ? Tu marches pas sur mes plates bandes ! T'es pas fait pour ça, la dernière fois t'as faillis te faire décocher la mâchoire. J'veux pas m'sentir fautif si t'es blessé parce que t'as voulu faire comme un cavalier crétin ! » Il suffit qu'un hurle, pour que l'autre essaie de faire mieux. Comme si, un défi venait de nous tomber royalement sur la figure. Nysen se redresse alors d'un coup sec, gonflant ses joues comme un animal mal léché. Inconscient, pas profondément mauvais, mais simplement ailleurs. Dans un univers dont je n'ai pas accès. Idéaliser, jusqu'à presque oublier la réalité. « J'SUIS PAS CRETIN, C'EST PAS VRAI ! » Tapant une fois du pied, ses poings se serrent, ses jointures deviennent blanches. Un jour, il me frappera très certainement, fera tomber mes dents d'un seul coup. Mais, pour le moment, je suis le seul à qui il ne peut faire du mal, même sa seule compagnie. Je ne l'ai jamais vraiment vu avec d'autres enfants, plus jeunes ou plus vieux que moi. Laissé pour compte ou ne voulant faire d'efforts, c'est une interrogation que je n'ai jamais partagé avec lui, de peur de définitivement lui ouvrir une plaie. « T'as qu'à mieux m'apprendre alors, comme ça tout sera réglé. J't'embêterai pas et... et j'veux pas rester derrière non plus. » Alors quoi ? Asseyons-nous autour d'une table et jouons de la musique ? Ce n'est pas comme ça que les jours peuvent se construire. Il n'est pas à ma place, ne peut pas ressentir cette douleur confuse qui fait tenir mon corps debout. Depuis notre rencontre, je n'ai peut-être pas eu le temps de lui en montrer assez, ou alors, un voile de protection doit être posé sur ses paupières, l'empêchant d'ouvrir sa vue sur le monde, tel qu'il est. Sur ses bons côtés, ses mauvais, ses horreurs comme ses magnificences. « ... C'est quoi ce que tu viens de faire là, d'après toi ? C'est de la bêtise, c'tout. »  Pauvre oisillon. Il a voulu sortir de son nid trop tôt, s'est écrasé sur le sol, sans pouvoir revenir en arrière. Me redressant difficilement, mes muscles tirent de droite à gauche, de haut en bas. Plus jamais d'escapade que celle-ci, du moins, tant qu'il est à mes côtés. Auquel cas il serait présent, Nysen devra se cacher loin, derrière un mur, un immense vase ou que sais-je. Il ne devra pas me tenir le bras, encore moins me faire tomber. Ce serait la fin, la sienne, la mienne, je suis responsable de ce fil le reliant à la vie, et chaque fois qu'il se mêle de mes affaires, un couteau apparaît pour le couper. Passant une main dans mes cheveux, une petite grimace vient à déformer mes traits, j'ajoute malgré tout, d'une voix dépitée. « J'ai essayé de t'apprendre, t'y arrives pas c'est tout, c'est pas faute de t'avoir montré ! J'peux pas encore faire des miracles ou de la magie tiens. Tu sais quoi ? A force, je vais même plus te dire où j'vais, si c'est pour que ça se finisse comme ça. » Mes bras se croisent sur mon torse, telle une véritable mère sermonnant son enfant, il est vrai que je pourrais être près à prendre de telles décisions, aussi radicales, bien que cette idée me déplairait plus qu'autre chose. Son visage se décompose à la vitesse d'un cadavre, il devient tout blanc, comme s'il allait tomber sur le sol pour ne pas se réveiller. Ses prunelles se baissent, fixent le sol, il tape du pied sur un caillou qui frappe sur le mur pour mieux rebondir en dehors de la ruelle. « De toute façon je l'sais que ça t'arrangerait mieux de plus m'avoir dans les pattes. Je l'sais bien. » Le sifflement d'un animal en mal d'amour. Dos à ma personne, je m'approche malgré tout, pour poser ma main sur son épaule. J'ai poussé l'extrême là où il ne fallait pas le mettre. Même si c'était une vérité à une époque, il s'avère qu'elle est toute autre aujourd'hui. Nysen n'a cessé de me suivre durant mes mésaventures, et ce n'est pas faute d'avoir grommeler les pires injures que je n'ai jamais entendu. Rien n'y a fait. Il est resté. Pourquoi ? Je me le demande encore. Après tout, il devrait avoir une certaine fierté au fond de lui, son père est ébéniste, peut lui apprendre des tas de techniques pour s'occuper du bois. Quant à moi ? Reclus dans les quartiers pourris, je ne peux même pas m'illusionner en me pensant chevalier un jour, ou même cavalier vert. Lui peut. Il sait lire. Il sait écrire. Il sait, c'est tout. « J'ai pas dit ça. Toi t'es la tête, je suis rien que les bras. L'un marche pas sans l'autre. » Et je me rends compte, à quel point les connaissances sont aussi importantes que la technique. Une lettre m'est inconnue autant qu'une autre et bien des fois, il m'arrive de me retrouver dans des situations peu cocasses à cause de ceci. On pourrait me dire bête, je préfère me considérer comme malchanceux, gamin d'infortune, fardeau pour certains, cadeau des trois pour une seule personne, et pilier pour un sourire.


Elios, 15 ans
« Puisque je vous dis que je n'y arrive pas ! » Serrant fermement l'arc autour de mes doigts congelés, je laisse mes yeux vagabonder sur ma cible qui s'éloigne au loin. Pauvre bête, elle ne méritait rien, pourtant, je devais l'achever d'un coup de flèche, lui décocher la tête et n'en faire qu'une carcasse. Voilà la troisième fois que nous essayons, que mon maître me montre avec la plus grande dextérité qui puisse exister, la troisième fois aussi que je rate lamentablement ce que je dois achever dans cette forêt. Sentant le froid me taper sur le nez et sur les joues, je renifle, me blottissant un peu plus dans les vêtements qui me couvrent. Depuis des lunes, je dois le suivre, lui obéir au doigt et à l'oeil, sans broncher, pouvoir se plaindre est seulement optionnel. Je ne sais pas ce qu'il a pu voir en moi, ce qu'il a pu comprendre dans mon âme aussi pourrie qu'un autre. Bon à glisser mes mains dans des poches pour prendre les bourses, élaborer des jeux qui ne se terminent jamais et gagner de quoi vivre. Est-ce donc ceci, les bonnes capacités pour devenir l'un des leurs ? Naître pauvre, se débrouiller seul dans ces rues crasseuses et en sortir gagnant ? Il m'arrive de le regretter en voyant ce vieil homme farouche. Sa barbe n'est pas si longue que cela, mais sa chevelure s'écrase en un souffle sur ses épaules, pour finir le long de ses jambes. C'est un ancien, une référence vers qui je peux me tourner en cas de doute. Travailler dans les ténèbres pour mieux servir la lumière, qu'il m'a dit un jour les yeux pétillants. Fier de ce qu'il est, pourquoi il fait ces choses. Tuer, sauver, deux mots intimement liés. « Répète ce que je te dis toujours. » Qu'il marmonne de sa voix grave en me scindant du regard. Pinçant ma lèvre inférieure, je redresse un peu ma tête, une mèche s'écroule le long de mon front. « Je ne vois pas en quoi - » Je n'ai guère le temps de dire plus, qu'il se rapproche de moi, pose sa main sur mon visage pour qu'enfin, nos prunelles se croisent. Les siennes sont d'un bleu profond, du moins, rien qu'un seul, le deuxième quant à lui ? Blanc vitreux, comme si un macchabée n'avait fait qu'un avec son âme, le rendant aussi hideux que fascinant. Les aveugles voient ce que nous ne pouvons voir, aurait-il par hasard cette chance de discerner la bonté d'une personne grâce à cette moitié perdue ? Dans le coeur des abysses, il est possible d'y rencontrer bien des personnes et j'aime à me dire, qu'il ne se perdra jamais. C'est un maître après tout, il n'a pas ce droit, même pas celui du doute ou du désespoir. « Répète. » Cette fois-ci, ses doigts se font plus brutes sur ma peau. Un jour, il attrapera certainement ma gorge, me l'arrachera et y sortira mon coeur pour le brandir sous une pleine lune sanglante. Je ne sais de quoi il est capable, ni ce qu'il veut vraiment de moi. Devenir aussi doué que sa personne ? Ce serait pure idiotie, rêvasserie qui ne mérite même pas de germer en moi. Il devrait pourtant se rendre à l'évidence, laisser ma peau dans une ruelle et se concentrer sur un autre garçon qui à mon sens, devrait avoir plus de doigté pour cette arme qui lui fait tant plaisir. Soupirant l'espace de quelques secondes, mon torse se regonfle, ma mémoire se recompose, comme mes souvenirs. C'est un lot de plusieurs règles, qui n'en forment qu'une seule. « Arrête de respirer, arrête de penser, fait ralentir les battements de ton coeur, oublie qui tu es et ne regardes que ce que tu dois voir. Le reste n'est en aucun cas intéressant, ta cible, ton combat, ta paix. » Une petite pause bien méritée, pour ces nouveaux mots qui doivent faire battre mon coeur au rythme d'un cheval au galop, sa bouche s'ouvre à peine, que j'ajoute. « Et j'oublie aussi : L'ARME EST TON BRAS, NOM D'UN CHIEN ELIOS ! » Un rire lui échappe des lèvres. Ce doit être la deuxième fois, depuis des mois que j'entends un peu de joie ici. Il n'a jamais voulu me dire son nom, encore moins son prénom, comme si, je risquais de dire à quiconque dans un autre village sa véritable identité. Il n'en a plus, si ça se trouve, il n'est plus qu'un être humain au bout de son existence, s'en inventant une nouvelle pour oublier les douleurs venant du passé. Étrangement, je n'en serais pas étonné le moins du monde. Comme si, les tortures n'étaient que pour lui et dansaient autour de sa tête. Le malheur du monde est tombé sur ses épaules, il tente malgré tout, tant bien que mal, à me le donner. « Elle prend possession de ton bras, c'est bien vrai. Tu n'es peut-être pas qu'un incapable en fin de compte. Vois-tu Elios, si tu n'arrives pas à ne faire qu'un avec cet arc, avec tes flèches, elles ne te suivront jamais, elles ne resteront que des objets que l'on regarde avec envie. Tant que tu croiras que c'est impossible, tu ne pourras pas le faire. Oublie durant un temps, récupère tes souvenirs après, tu es une arme tranchante, capable du meilleur comme du pire. Vide cette tête trop pleine. » Sa tête bouge tout juste pour désigner une bête au loin. Loin du cerf, encore plus de la biche, cette fois-ci, c'est un bien piètre et petit lapin qui s'offre à nous. Le fixant d'un air dépité, mes sourcils se froncent. Je ne comprends pas. Il se place derrière moi, passe une main sur mon épaule, me pousse à avancer et murmure presque dans le creux de mon oreille.  « Comme les hommes, les animaux sont différents. Certains sont plus gros et plus résistants, d'autres plus petits mais surtout rapides. Tu te dois tout essayer, te fondre dans le décor, le devenir. » Nous nous arrêtons alors, quelques mètres. Le pauvre lapin continue de fouiller dans l'herbe qu'il reste, certainement à la recherche de nourriture. Je jette un coup d'oeil sur mon maître qui n'a pas bougé d'un pouce, regardant fixement ma future victime. « C'est facile à dire pour vous. » Un coup de coude dans le dos pour m'obliger à me taire, il se recule, fait du bruit tout juste audible, les feuilles craquent sous ses pieds. Silence. Oublier qui je suis. Respirer, inspirer, respirer. Retenir, fixer, oublier, récupérer, lancer. Je ne suis qu'un arc, des flèches, je ne suis plus Elios, plus Pellavan. Lapin. Cible. Lapin. Combat. Lapin. Paix. Lapin. Lapin. Arc. Flèche.
« TUDIEU ! »
Raté.


Elios, 26 ans
C'est ainsi que les choses doivent se dérouler. Se battre, toujours, encore, pour la vie, contre la mort, d'un côté comme dans l'autre, je suis coincé dans un terrible chemin. Je n'ai pas le choix, je n'ai plus droit au doute, la fatigue tape sur mes membres, sur mes muscles, m'empêche véritablement d'inspirer tranquillement. Mon coeur tambourine avec une certaine lassitude contre mon torse. L'ombre est dorénavant mienne. J'ai un visage, un prénom, rien de plus. Pourquoi ? Comment ? Le conseil s'avère être plus vicieux qu'un nid à serpents. Je dois devenir tout ce qui m'entoure. Comme me le disait mon maître il y a encore quelques mois de cela, espère l'être et tu seras. Sa parole me paraît encore totalement saugrenue, stupide, pour les doux rêveurs. Pourtant, il faut croire qu'à se comporter tout comme, l'on peut le devenir. Un animal ayant bien des peaux différentes, un pelage doux puis d'un coup ressemblant à des écailles de poissons. Changer, toujours changer. Oublier pour mieux se reconstruire, mieux exister. Le pire dans cette histoire doit être qu'à plusieurs reprises, j'ai voulu avoir un autre prénom, tout comme mon nom qui résonne comme une note creuse. Dévorant avec véracité ma lèvre inférieure, je crains qu'elle ne saigne à un moment ou un autre et m'empêche de terminer cette épreuve. La première ? Non pas aussi simple que j'ai pu l'espérer. Le combat fut long, éprouvant, faisant encore un peu trembler mon corps, assez pour que j'en rage et que je peste. Choisir l'arme fut comme une évidence, impossible à dénigrer. Un arc, des flèches, se cacher est une chose, ne pas se faire remarquer en est une autre. Alors je me souviens, je repasse les règles qui érigent ma vie depuis que je suis devenu simple apprenti.
Arrête de respirer.
Arrête de penser.
Fais ralentir les battements de ton coeur.
Oublie. Oublie qui tu es. Ce que tu es. Ce que tu vaux. Oublie seulement, enlève tes souvenirs, arrache les comme du tissu fragile, comme la vie qui ne tient qu'à tes propres choix. Oublie ton prénom, ton nom. Tu es l'arc, tu deviens la flèche. Tu n'es plus qu'un objet, Elios Pellavan, ce n'est qu'un murmure dans tes cauchemars, du sang sur tes mains. Un sourire fade, une histoire qui ne sera certainement pas contée par les bardes. Pinçant ma lèvre inférieure, plus les secondes s'écoulent entre mes doigts, plus je me sens prendre de la hauteur. La terre n'est qu'un tas de poussières, trop simple, facile pour se faire repérer à moins d'avoir la vitesse d'un lièvre - encore que celui-ci aurait été repéré rapidement. Il y a tout juste du bruit, je ne me rends compte de l'endroit où je suis, au fond, même s'il me paraît familier, je n'y porte aucune réelle attention. Mes lèvres bougent au rythme que mes phrases se répètent dans mon crâne. Répétitif, presque comme une prière à mon nom. Je devrais poser mes yeux sur le père, la mère, le fils ou bien d'anciennes religions qui me sont à peine reconnues. Je ne le fais pas. Je me mets dans la peau de ce maître, me glisse dans son âme, comme si elle était mienne. Aujourd'hui, je le connais, son prénom. Edwin l'aveugle, Edwin le moitié d'homme, ou du moins ce qu'il en reste. J'entends des gloussements de femmes sous l'emprise d'un quelconque alcool, des hommes chantant pour des raisons qui m'échappent. Je ne suis pas seul. Lui ne l'est pas. Sa tignasse brune se mettrait presque à briller sous la lumière de la lune, il a un sourire digne d'un charognard, à la recherche de l'animal qu'il pourra becter. Je ne sais de quoi il est coupable, si son jugement est juste ou au contraire injuste. Je dois leur faire confiance, à la guilde, à ceux qui m'entourent, à mon maître, à ce conseil qui est devenu ma raison. Je pourrais fuir, disparaître, ma tête serait certainement mise à prix, et sans le remarquer, durant un long sommeil, quelqu'un m'arrachera la tête, me plantera une flèche dans le cou, même dans la tête ou pire encore. Il n'est plus temps de reculer, avancer, tout en évitant de laisser mes idées me faire totalement tomber. L'arc tendu, ne reste plus qu'à faire le travail. Comme le forgeron tapant son épée, comme le tisserand filant, comme l'écuyer s'occupant des chevaux. C'est une quête macabre, un ordre au-delà de tout bon sens. En ai-je seulement jamais eu ? Et mes yeux se plissent, la lumière des torches ne suffisent pas à ma concentration, j'arrête de ciller. J'écoute. Les insectes grattent dans les arbres, les oiseaux ne bougent plus, le vent s'amuse à frapper contre ma peau, me murmurer sa mélodie dévastatrice.
Arrête de penser.
Oublie. Qui je suis ? Un arc, une flèche prête à faire saigner, à laisser ce liquide couler, la vie disparaître aussi vite qu'elle est venue. Qui je suis ? Je n'ai pas de nom, ni de connaissance, je me cache dans les ruelles. Qui je suis ? Un sifflement dans l'air, qui transperce la peau d'un homme dont le visage m'échappe totalement. Un râle plaintif, un corps qui s'effondre. Qui je suis ? Je ne sais pas, je ne sais plus, et au fond, je n'ai jamais été. Qui es-tu ? Plus qu'une ombre.



Dernière édition par Elios Pellavan le Ven 20 Déc - 18:06, édité 26 fois
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Avalon Scalesinger
Avalon Scalesingerjusticeadmf
ɤ REGISTRATION : 18/11/2013
ɤ PARCHEMINS : 1500
ɤ STATUT DU SANG : Noble ɤ Avalon est née dans une famille noble, les Scalesinger. C'est une des familles bannerets des Dummers. Ils sont surtout connus pour la beauté de leurs arcs.
ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : Avalon est née à Blancherive dans la contrée de Sermar. Néanmoins, elle a quitté sa demeure à l'âge de huit ans. Elle n'en a donc que peu de souvenirs.
ɤ METIER OU FONCTION : Avalon se fait passer pour un homme ɤ Templier depuis cinq années au cercle des Mages.
ɤ INVENTAIRE : ɤɤɤ

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:12

BIENVENUUUUUUUUUUUE PARMI NOUS !
Elios est un superbe prénom shon
Bon courage pour la rédaction de ta fiche. Je vois que tu aimes t'étaler, tant mieux j'aime les gens qui s'étalent héhé Merci pour les compliments, si tu as des questions sur le contexte ou les annexes, n'hésite surtout pas !
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N'oublie pas d'aller réserver ton avatar ici si tu veux qu'il soit à toi pour une semaine !
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Rohan E. Staghelm
Rohan E. StaghelmJustice - adm.
ɤ REGISTRATION : 06/09/2013
ɤ PARCHEMINS : 284
ɤ STATUT DU SANG : Noble.
ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : Medraven.
ɤ METIER OU FONCTION : Soldat.
ɤ INVENTAIRE : Son épée, un petit poignard glissé dans sa botte, briquet et amadou.

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:13

omfg.
l'avatar + le pseudo + futur sombrelame... je sens qu'on va bien s'entendre, il nous faudra absolument un lien avec mon DC, Morrigan. ♥️
sinon, BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE évidemment ! ma collègue a tout dit, n'hésites pas si tu as des questions en effet et puis bon courage pour l'écriture de ta fiche ! shon
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Halbarad II Hammer
Halbarad II Hammerhalbarad
ɤ REGISTRATION : 13/12/2013
ɤ PARCHEMINS : 1196
ɤ STATUT DU SANG : un sang aussi pur et royal que le cristal.
ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : les étendues ensoleillées de cahordie, la contrée et des rois.
ɤ METIER OU FONCTION : jeune roi, marionnette favorite d'un peuple qui attend beaucoup de lui.
ɤ INVENTAIRE : l'épée des hammer accrochée à la ceinture • un poignard caché dans chacune de ses bottes • la couronne sur sa tête et des fourrures sur ses épaules.

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:18

TROP BEAU  shon 
Bienvenue ici, excellents choix de tout, hâte de voir la suite  :hysteric: 
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 14 Déc - 17:36

avalon, row, merci pour les compliments !  shon Rosamund est sublime, je snajkshajksah.  tralala Superbe choix. Je vais faire la réservation d'avatar de ce pas et je n'hésiterais pas en cas de questions !  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232
rohan, OGKLJLSAHJKSLJAS. RICHARD. DAT NAME.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 2823823996 Trop de perfection. Ce sera avec grand plaisir pour le lien, j'te remercie pour les compliments et la bienvenue !  shon 
halbarad, aaaah Logan, ça fait mille ans que je l'ai pas revu lui !  :hysteric: Merci beaucoup.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232
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Lucian Lawrence
Lucian Lawrencethe wheel of fortune
ɤ REGISTRATION : 13/12/2013
ɤ PARCHEMINS : 419
ɤ STATUT DU SANG : fils de marin.
ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : terremer.
ɤ METIER OU FONCTION : capitaine d'un bâteau pirate ; un maître de la confrérie des pirates
ɤ INVENTAIRE : la pièce d'or l'identifiant comme un pirate.
sa boussole.
le portrait de sa belle près de son cœur.

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyDim 15 Déc - 13:08

BIENVENUUUUUE et bonne chance pour ta fiche, l'ami ! shon
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyDim 15 Déc - 14:51

Ton personnage m'a l'air fort intéressant, hâte de voir ce que tu nous prévois ! bave

Bienvenue parmi nous ! :hysteric:
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyDim 15 Déc - 15:55

lucian, trop de classe en toi. :hysteric: Merci beaucoup !  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232
aurore, ooh merci bien !  shon 
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Aliah Kaerth
Aliah Kaerththe hermit
ɤ REGISTRATION : 14/12/2013
ɤ PARCHEMINS : 579
ɤ STATUT DU SANG : Fille de marchand. Son père est mort, quant à sa mère elle ne la voit pas souvent.
ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : Cahoridie, la terre royale. On ne choisit pas son lieu de naissance. Elle n'a jamais manqué de rien.
ɤ METIER OU FONCTION : /

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMar 17 Déc - 17:40

Bienvenue  love2 
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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMar 17 Déc - 19:34

Merci bien !  :dance: 
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMar 17 Déc - 19:49

BIENVENUE PARMI NOUUUUS !
l'avatar + le pseudo + l'histoire, je t'aime. Mais quel personnage ! Et qu'elle belle plume que tu possèdes, j'adore. J'ai hâte de lire le reste de ton histoire. Bonne chance pour le reste de ta fiche ;)
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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMar 17 Déc - 22:40

OH ! Tant d'amour d'un coup. :hysteric: Merci beaucoup pour ces compliments - et la bienvenue par extension love - qui me font plaisir tout plein, j'te renvoie l’ascenseur, Robbie est tout chou.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232
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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMer 18 Déc - 5:23

Bienvenue! j'ai hâte d'en savoir plus sur ton personnage  :hysteric: 
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Invité

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptyMer 18 Déc - 11:52

Oh bon dieu Saoirse. Ton pseudo. Demi-elfe. Hermit.  ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. 37048232shon Je peux t'épouser, tisuite, s'il te plaît ? love Bon okay, si c'est pas possible, je viendrais te harceler pour un lien alors.  héhé Merci pour les compliments en tout cas.  love2 
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TALES OF KAHANOR
TALES OF KAHANORthe death
ɤ REGISTRATION : 03/09/2013
ɤ PARCHEMINS : 465

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MessageSujet: Re: ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante.   ▽ devant un cadavre, nous sommes tous curieux. la mort est une dame très séduisante. EmptySam 21 Déc - 16:25


FÉLICITATIONS !
Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE HERMIT.

Lire ta fiche était un véritable bonheur ! shon Tu as un style plus qu'agréable et Elios est un personnage très intéressant ! On compte bien suivre son évolution de près, mwahaha ! What a Face

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

N'oublie pas une chose ; amuse toi bien !

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