Nom et Prénom : Dezial Rivers. Âge : 31 ans Contrée de naissance : En Medraven au sein de la cité d'Elaven  Allégeance : Mon allégeance va tant à notre roi, qu'à ma famille qu'à notre reine qu'à notre ordre. Et, par la grâce des Dieux, leurs désirs sont les mêmes.Statut du sang : Fils d'Elric Tilney et d'une cirière, je suis un fils bâtard. Ce sang-mêlé attise bien des regards et des messes basses dont je me serais bien passé. Race : Humain Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétéro Métier ou fonction :  Maître d'armes à la cour du roi Faction ou Guilde : Sombrelame Rang :Membre du conseil Armes possédées : Une dague, deux épées courtes ainsi qu'un arc court

ɤ Que pensez vous de la mort du roi ? L’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Ce fut une triste nouvelle d'apprendre cela, une bien triste nouvelle. Il était un homme bon, c'est à lui que je dois ma place aujourd'hui. Il m'a fait confiance à moi, un bâtard, une erreur de mon père. Il me parlait comme à un grand homme et m'a élevé à ce statut. Il était ... En quelques sortes mon beau-frère. Bien qu'il ne m'ait jamais appelé de près ou de loin en tant que tel, nous entretenions une certaine proximité, et, il disait prendre grand plaisir à étudier auprès de moi, ce qui me rendait heureux. Néanmoins, des murmures se sont levés avec cette mort soudaine. Certaines font références à des complots, d'autres à la main secoureuse de la Main du Roi. De mon point de vue, cette version est envisageable, voulant faire monter sur le trône un adolescent, encore parfaitement malléable pour faire de lui sa marionnette. Mais ... Je pense que cet enfant est bien plus robuste qu'il n'y paraît, avec l'aide de ses conseillers, il deviendra un bon roi. Je me dois de vite le former avant que quelque chose de malheureux ne se produise. Il me faut protéger ma sœur et ses enfants, et pour cela, je dois enquêter. Nous devons enquêter, je me dois de faire appel au conseil, l'équilibre du royaume peut être rompu. Un homme comme Phinéas est dangereux, il s'avérerait l'être encore plus s'il est vraiment derrière cette mort. Et ... Si tel est le cas, il se doit de mourir, sinon quoiɤ  A votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? Les Engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? La garde des ombres se doit de rester telle quelle. Sans elle nous sommes perdus, ceux qui vous dirons le contraire sont soit des idiots soit des ignorants. Le monde ne peut se permettre de perdre leur protection. Les engeances ne mourront jamais réellement. Nous ignorons beaucoup de choses d'elles, mais ... Ce que nous savons c'est qu'elles reviennent à chaque fois, et ... Peu importe le temps que cela prend, c'est un mal qui ne dort jamais, qui peut ressurgir à n'importe quel moment. Ce qui est inquiétant cela dit ... C'est que l'on m'a rapporté des signes étranges, pouvant annoncer un nouvel enclin. Des arbres flétrissant, des animaux fuyants, des sons étranges, des sentiments d'effroi sans la moindre raison. L'enclin arrive et notre monde n'y est pas préparé. Notre monde croit que ce mal n'existe plus, lorsqu'il refera surface, les pertes seront terribles.   ɤ Les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? La magie est elle une chose à proscrire ?Cela est une erreur. La magie est une chose puissante et dangereuse certes, mais, ce n'est pas parce qu'il y eut un ou deux mages avec des mauvaises intentions qu'ils sont tous fait du même bois. La quarantaine est une mauvaise chose, un homme sage a dit un jour  : « En opposant la haine à la haine, on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur. ». Malheureusement, cet homme avait raison et, cette haine et cette peur envers les mages, cet exil et cette quarantaine ne fera qu'attiser la haine et la colère des mages qui, tôt ou tard voudront se rebeller. Une guerre s'en suivra, et ... Cela sera un vrai désastre. ɤ  La forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? Le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? En sécurité? La question est compliqué. Moi-même je n'ai pas peur de ces ... Choses. J'ignore ce quelles sont, j'ignore même si je serais capable d'en vaincre ne serait-ce qu'une seule, même à mon maximum. Mais ... au fond de moi, je brûle d'envie d'en rencontrer une, savoir à quel point celles-ci peuvent être effrayantes, et à quel point mes lames peuvent être mortelles. Cependant, j'ai peur pour mes proches, mes frères et mes sœurs, leurs enfants, tous seront exposés au danger si quelque chose se passe. Le gouvernement devrait faire quelque chose, mais ... Il est compliqué de les faire bouger sans preuves réelles. ɤ Quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? Mes raisons peuvent sembler étrange, quant l'on ne voit que le mauvais côté des Sombrelame. Pour beaucoup, cette guilde n'est qu'une vulgaire guilde d'assassin, dont les membres sont surhumains et ne faillissent jamais. Ces rumeurs ne font qu'apporter l'effroi à la populace, alors que ... Leur véritables intentions sont louables. Leurs capacités extraordinaires sont utilisées pour le bien commun et l'équilibre du Monde. Un noble martyrisant ses sujets devient une cible de choix, tout comme un bandit de grand chemin, avide de sang, prenant grand plaisir à ôter la vie de ses cibles alors que leur bourses suffiraient. Quant à savoir pourquoi je les ais rejoins, c'est bien simple. J'étais en quête de justice, en croisade contre les bas-fond de l'humanité. Grâce à eux, je pouvais devenir quelqu'un et ... Je le suis devenu. J'agis désormais selon mes désirs et instincts et j'agirai du mieux que je le peux pour aider le peuple.

«  Il est une histoire qui se raconte au sein de la guilde des Sombrelame. Une histoire datant d'il y a bien des années, des siècles, des âges. L'histoire d'un homme, d'un maître, d'un membre du conseil. L'histoire parle d'un grand guerrier, un des plus grands combattants que la guilde ait connue jusqu'à ce jour. Où s'arrête la vérité, et où commence la légende ? Peu de gens le savent. Ce que l'on dit de lui c'est qu'il est né au plus bas de l'échelle sociale, qu'il a été traîné dans la boue par ceux qui ont eu la chance de naître dans de grandes familles. L'on dit qu'il n'était fait que pour se battre, et que de fait, il devint l'une des plus fines lames du royaume, même en cachant sa véritable nature. L'on dit souvent que ces assassins dépassent l'entendement humain, d'aucuns voient là une forme de magie primitive, alors que leur entraînement n'a fait que pousser leur corps dans leur derniers retranchements, cet homme ne s'est jamais exposé en tant que tel au grand jour, et pourtant, nul ne pouvait douter de son habilité au combat, si bien que le roi lui accorda sa confiance pour devenir maître d'armes au sein de son château. Lui qui n'était rien, finit par s'élever par la force seule de ses bras et de sa détermination. Désormais, mesdames, messieurs, approchez, et écoutez attentivement l'histoire de cet homme, cette légende auprès de cette guilde. Où commence la légende ? Peut-être arriverez-vous à vous faire une idée.

Notre homme se nomme Dezial. Dezial Rivers. Rivers oui. Comme dit plus tôt, il n'eut pas la chance de naître dans la noblesse, il ne le fut qu'à moitié. Un sang-mêlé, un être bien souvent pointé du doigt et rabaissé pour leur seul nom. Un bâtard, voilà ce qu'il était, voilà comment on le vit, comment on le nomma. Son père, était lord Elric Tilney, seigneur d'Elaven et de Medraven, un homme de la plus grande importance. Cela dit, dans les premières années de sa vie, l'enfant ne fut pas reconnu par ce dernier, et vécu avec sa mère. Mère dont l'Histoire ne retint le nom, contrairement à son métier : cirière. Elle ne vivait que pauvrement, et, l'arrivée d'un enfant l'affligea de bien des souffrances. La nourriture semblait difficile à trouver, tous comme les habits, et le bois pour se chauffer. La pauvreté s'installa si profondément dans cette petite famille que la mère et l'enfant se résignèrent à se réchauffer à la seule flamme d'une bougie. Ainsi, ce fut un miracle que le jeune garçon survécut à ces hivers. Malheureusement, sa mère n'eut pas cette chance, se faisant emporter par la maladie alors que Dezial n'avait que cinq ans. Une des voisines agrippa l'enfant et l'amena voir le fameux seigneur. La cirière avait de nombreuses fois fait référence à se seigneur qui avait partagé avec elle une nuit pleine de tendresse, et, des mois plus tard, l'enfant arriva. La fameuse voisine était persuadée que l'histoire était vraie. Attristée de voir un si jeune enfant seul, elle voulu tenter le tout pour le tout, mettant le père devant le fait accompli, faisant appel à la sensibilité de ce dernier. Certes, Dezial ne disposait pas de toutes les caractéristiques des Tilney, il n'était pas si pâle que ça, et possédait des cheveux foncés. Cela dit …  L'on ne pouvait s'empêcher de trouver quelques ressemblances qui ne pouvaient que s'accentuer avec le temps. Ainsi piégé par son humanité, lord Elric reconnut son enfant, au grand dam de son épousée.

Dezial devint donc Dezial Rivers, entouré de petits Tilney, demi-cousins ou demi-frères. Il ne comprit pas bien l'importance de ce « demi » ou de ce « Rivers », bien trop jeune pour cela, a vrai dire, tout ce qui l'importait était de pouvoir enfin manger à sa faim, et de ne plus souffrir des morsures profondes du froid. En plus de quoi, il avait de nombreux bambins avec lesquels s'amuser, et, pour couronner le tout, son père était bon et généreux avec lui, ne le laissant nullement à l'écart, finissant par le considérer à part entière comme son fils, malgré le nom duquel il était affublé.

Quelques années passèrent, et, les différences commencèrent à se faire sentir. Sa grande sœur commençait à se faire éduquer afin de devenir une noble dame, tandis que son frère du même âge commençait sa formation pour devenir chevalier. Intrigué, le laissé pour compte alla quérir son père pour lui demander des explications. Ce dernier tenta comme il le put d'expliquer à un jeune enfant ce que voulait dire illégitime, et ce que cela impliquait de porter Rivers comme nom. On lui expliqua que, qu'importe ce qu'il arrive, il ne serait jamais considéré comme un de ses fils légitimes, il n'aurait jamais les mêmes droits, et, de nombreuses portes lui seraient fermées. Malgré tout, en toutes occasions, il devait pouvoir compter sur sa famille, et, celle-ci devait pouvoir compter là-dessus. Des trois mots qui ornaient le blason de leur prestigieuse famille, « Famille » était le premier, le plus important. Son père tenta de lui inculquer cela, mais, avec les injustices de sa naissance, la tâche n'était pas des plus simples.

Ne pouvant devenir ni chevalier ni un noble seigneur, son éducation se concentra essentiellement sur une chose : le maniement des armes. Chose à laquelle l'enfant était des plus doués. Le maître d'armes parlait d'un don du ciel. Il apprenait et assimilait toute les techniques à une vitesse folle. L'enseignant prenait grand plaisir à s'occuper de Dezial, passant en revue de nombreuses armes. Au fil du temps, l'apprenti soldat se prit d'affection pour le combat ambidextre, armé de deux lames jumelles. Il en fit son style de prédilection et en vint à exceller dans cela.

Les années passèrent, la famille s’agrandit petit à petit et Dezial devint un grand combattant à l'instar de son demi-frère Alvin, avec lequel il s'entraînait régulièrement. Tout deux s'entendaient relativement bien et se considéraient bel et bien comme frères. Étant un combattant doué, et de son âge, le bâtard put progresser encore et encore, jusqu'à devenir prêt. Prêt pour quoi ? Pour son grand départ. Il ne voulait pas rester vivre dans ce château où il ne deviendrait rien d'autre qu'un simple soldat. Le destin l'avait fait naître d 'une mauvaise façon ? Hé bien, par la seule force de ses bras et de sa volonté, il deviendrait quelqu'un. Les ports s'ouvriraient devant lui, et les gens connaîtraient son nom, voilà ce qu'il se promit en quittant la demeure familiale ses 18 ans tout juste passés.

Durant trois ans, Dezial arpenta le continent, venant en aide à la veuve et l'orphelin, prêtant ses lames aux seigneurs dans le besoin. Il n'était pas chevalier, mais agissait comme tel, vouant sa vie au peuple dans le besoin. Petit à petit, le peuple fit élever son nom. Des rumeurs parcouraient les contrées, parlant d'une sorte de justicier, mais, tout cela ne lui suffisait pas, ses actions étaient bien trop minimes … Et c'est là qu'il fit une rencontre qui changea sa vie : celle d'un sombrelame. Un maître disait-il, un maître le voulant comme disciple. Au début, le vagabond refusa, ne voyant en cet ordre que de vulgaires assassins, mais, quand on lui parla de leur buts, de leur agissements et de leur intérêt pour l'équilibre du monde. Tout ce qu'il avait à faire était de consacrer trois années de sa vie à son maître. Ainsi, il deviendrait un surhomme, un homme doté de facultés dépassant l'entendement, si bien qu'on le penserait utilisateur d'une quelconque forme de magie. A cela, le jeune homme accepta sans hésiter.

Trois années passèrent de nouveau. Trois années durant lesquelles il reçut un entraînement aux armes bien plus poussés que ceux de son maître d'armes si bien qu'il crut mourir un bon millier de fois. Mais, cet entraînement porta ses fruits, car, bien vite, l'élève dépassa le maître, et, ce dernier eut le même résonnement que son précédent enseignant : Dezial avait un don. On lui enseigna aussi à se mouvoir sans le moindre bruit, faire preuve d'une agilité féline, afin de se déplacer n'importe où pour pouvoir atteindre sa cible sans la moindre encombre. On lui apprit aussi à se déplacer tel un éclair, si bien qu'un œil peu averti ne croirait qu'à un mirage. Enfin, il apprit à escalader telle l'araignée, capable de se déplacer verticalement sur tout type de surfaces. Là, il passa devant le conseil, et, on lui fit passer la fameuse épreuve de l'Ahn-Ju. La première épreuve était de combattre un adversaire à mains nues, un combat à mort. L'ennemi était un mercenaire, qui ne tuait que pour son bon plaisir, une personne à éradiquer de la surface du globe. Le combat fut difficile, l'homme était gigantesque et ses bras semblaient être des bûches. Ses coups étaient puissants, et, ce dernier était très expérimenté. L'apprenti finit par avoir le dessus et le tua en lui rompant le cou. La seconde épreuve, quant à elle, fut bien plus aisé pour le jeune homme, un combat armé, avec les armes de son choix. Bien entendu, son choix se porta sur des lames jumelles, qu'il maîtrisait mieux que quiconque. Son adversaire lui, était bien plus coriace que le précédent. Du moins, c'est ce que le conseil pensait. Il s'agissait d'un ancien maître ayant renié l'ordre et tué plusieurs des siens, il méritait une punition. Et … Alors qu'on pensait le combat difficile, celui-ci se termina en un instant. En un éclair Dezial se rua vers sa cible, s'ensuivit quatre feinte de corps exécutées à une vitesse irréelle, ce qui finit par pousser l'ennemi à attaquer -dans le vide- créant ainsi une ouverture, ce qui permit à l'élève de donner le coup fatal, une lame dans le cœur, une lame dans la gorge. S'en était fini de lui.

La dernière épreuve, quant à elle fut plus complexe, il devait mettre en œuvre tout ce qu'il avait apprit durant trois ans. On lui désigna une cible, un seigneur véreux, exploitant ses serfs plus que de raisons, provoquant famine, maladie et mort, tandis que lui, bien au chaud dans sa demeure s'engraissait, riant de ses pauvres victimes. Selon le conseil, il était une cible de choix, et, il était aussi de cet avis. La mission était simple, pénétrer dans ce château, ne pas se faire voir, et lui ôter la vie. Dans la nuit, la cible fut tuée, la gorge tranchée. La garde ne vit rien, n'entendit rien, tout comme la famille et le personnel. C'est ainsi que d'élève il passa à maître.

Durant deux ans, il reprit la route, continuant sa croisade contre les injustices, mais, bien mieux équipé que précédemment. Cette fois, ses actions avaient un sens, et, l'on continua à parler de lui. Dezial se brida, se posant des limites afin que jamais personne ne puisse le relier d'une quelconque manière aux Sombrelame. Il ne voulait pas que son nom soit affilié à ceux-ci, cela pourrait causer du tort aux siens, et, il ne serait plus aussi libre qu'avant. En plus de quoi, malgré son jeune âge, il était l'un des meilleurs combattants de cette guilde, si ce n'est le meilleur, du moins, c'est ce que les bruits de couloirs racontaient à l'époque. Durant ses deux ans, il tua de nombreuses personnes qui, de son avis le méritaient. A chaque fois, il respectait le même mode opératoire. La veille de l'assassinat, il déposait une bougie rouge en plein milieu de la grand-salle, la cire dégoulinante faisait penser à du sang. Une bien mauvaise augure qui n'était pas tout le temps comprise. A chaque fois qu'une vie était ôtée, une bougie noire était déposée sur son lit de mort, éteinte celle-ci. Des histoires racontent qu'il faisait ça pour guider l'âme dans les ténèbres de l'autre-monde, que là où elles allaient, il n'y avait point de lumière. On ne le surprit que très rarement. Seuls les hommes riches qui comprenaient le message devenaient quelques peu une gène, pouvant renforcer la garde en la doublant, voire la triplant. Ces rares fois où il dût combattre, Dezial démontra que les bruits de couloirs que l'on entendait sur lui au sein de la guilde n'étaient pas que des rumeurs, sa maîtrise de ses lames courtes n'étaient en aucun cas exagérée. Cela dit … Ses exploits, semblent-ils l'étaient. Des histoires relatent des affrontements contre une vingtaine, voire une trentaine de mercenaires surentraînés, où il ne laissa pas la moindre chance à l'un d'entre eux. Je doute fort que de tels récits soient avérés mais … S'ils l'étaient … Quel fabuleux guerrier il aurait été. L'on dit souvent que le siège de cette guilde est Tamarang, mais, notre cher ami ne s'y rendait que très rarement, uniquement pour récupérer ses fameuses bougies qu'il commandait à un collaborateur. Pourquoi des bougies ? Hé bien, la réponse est simple, la cire et les bougies, voilà de rares choses dont le Sombrelame se rappelait de sa mère. C'était en quelques sortes une manière de la remercier pour ses sacrifices, lui montrer que grâce à cela il put devenir quelqu'un. Sans doutes n'aurait-elle peut-être pas cautionné la manière de faire, mais, les raisons étaient nobles.

C'est donc après ses deux ans qu'une nouvelle chose fit irruption dans sa vie. Un des membres du Conseil perdit la vie, et, on le désigna comme successeur. Ses exploits allèrent jusqu'aux oreilles de ces derniers, et, il leur semblait naturel qu'un tel guerrier rejoigne leur rangs. Ce fut aussi avec grande surprise qu'il retrouva un cousin, de sang-mêlé tout comme lui au sein du conseil, Adrian Rivers.

La même année, alors qu'il était en Cahoridie, un événement improbable et important eut lieu. Sur son chemin, il entendit des voix, des cris de douleurs, des appels au secours, et le son si reconnaissable du fracas du métal. Sans chercher à comprendre, le nouveau membre du conseil se rua vers l'origine de ses lieux et y découvrit un tableau sanglant. Une vingtaine d'hommes mort au sol, ainsi qu'un homme, richement habillé, suggérant un noble, entouré par ce qui semblait être des bandits, pris d'effroi, semblant sa mort venir. Le récit de l'inconnu parle d'une dizaine d'hommes. D'instinct, le « justicier » dégaina son arc et tira deux flèches qui vinrent traverser le cou, de part en part des deux assaillant les plus proches de leur potentielles victimes, tombant raide dans un cri étouffé. Les autres se retournèrent et détournèrent leur attention du riche noble pour se concentrer sur l'archer qui, n'en étai déjà plus un. Ce dernier avait laissé tomber son arc pour dégainer ses deux lames courtes, les faisant tournoyer avant de se mettre en garde. Deux des bandits se ruèrent sur lui pour tenter une attaque simultanée. Les deux lames furent déviées, de façon à ce que tout deux s’entre-tuent, sans avoir l'occasion de comprendre ce qui leur arrivaient. Les autres se jetèrent un à un sur leur bête noire, trouvant, à chaque fois, une mort instantanée, ne leur laissant pas même l'illusion d'une chance. Chacun des coups de Dezial étaient parfait, précis, et rapide. Le dernier survivant de ce génocide, terrorisé devant l'ange de la mort se dressant devant lui, eut l'idée de prendre la fuite, malheureusement, à peine eut-il le dos tourné qu'une dague vint se nicher dans son dos.

Le noble, encore sous le choc était stupéfait, abasourdi, ou bien d'autres mots dans ce registre. Il regardait son sauveur, ramasser son arc comme si de rien n'était, nettoyer ses lames avant d'aller récupérer sa dague pour l'essuyer à son tour pour la ranger à sa ceinture. Le survivant finit par reprendre ses esprits, pour se relever et s'approcher du héros du jour, et le remercia grandement. Il disait vouloir le récompenser, chose à laquelle le Sombrelame répondit qu'il n'était pas intervenu pour un quelconque retour, et qu'il n'avait pas besoin d'argent. C'est alors que, l'homme se présenta. Il n'était autre que Halbarad, le roi. S'excusant grandement de ne pas l'avoir reconnu, Dezial se prosterna devant lui, geste auquel le roi le releva souriant. S'ensuivit une conversation durant laquelle le héros se présenta, trouvant étrangement un lien de parenté avec le roi. Sa sœur, Eleonore était son épouse, faisant de lui … Quelque chose de proche de son beau-frère. Une offre finit par lui être faite : celle de maître d'armes. Un tel combattant devait faire un excellent professeur et, d'après ses mots à lui « Je serai heureux d'apprendre auprès de vous. ». Il fut aussi question d'entraîner sa garde royale et sa garde verte s'il le pouvait. Le bâtard eut un moment de réflexion, tentant de peser le pour et le contre. S'il acceptait, il ne pourrait plus continuer à voyager mais … Il pourrait montrer à sa famille que par sa seule volonté il avait réussi à devenir quelqu'un. Il pourrait montrer aux autres, qui, comme lui portaient ce nom que l'on traînait dans la boue, que l'on pouvait devenir quelqu'un d'important de ce royaume. En plus de quoi, en se tenant si haut au sein du royaume, il apprendrait bien des choses qui pourrait servir son ordre et leur but. Ainsi donc, il accepta.

Tout se passa pour le meilleur des monde, jusqu'à la fâcheuse date du 12 octobre 1 612, ou le roi fut retrouvé mort dans son lit. Est-il mort naturellement ? L'y-a-t-on aidé ? De nombreuses versions se font entendre, cela dit, la plus probables reste celle où la main du roi est plus qu'impliquée dans cette mort. Si cela était le cas, Dezial c'était promis de lui prendre le cœur lui-même …

C'est ici que s'arrête mon histoire pour aujourd'hui. Le reste … Tout le monde la connaît. Est-ce une légende ? Est-ce vraiment arrivé ? Ou bien n'est-ce là que l'histoire d'un grand-homme enjolivée pour la rendre que plus intéressante ? Cela … Nous ne le serons probablement jamais. Cela dit … Chacun doit se forger sa propre opinion sur la chose. Chaque personne peut y croire, ou non. Mais … La guide des Sombrelame gardera à jamais ce nom dans ses écrits. Qu'importe ce qu'il ait vraiment fait, cet homme à marqué leur Histoire à jamais … »

ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Nicolas, Maëwan sur le net, 23 ans. ɤ Fréquence de connexion ; Régulière en toute logique ɤ Que pensez-vous du forum? ; Ça a 'l'air génial ɤ Comment l'avez-vous découvert ? Grâce à Castamere Rains  ɤ Code du règlement ; Validé par Aileen   ɤ Célébrité choisie ; Rhys Meyer ɤ Credits (avatar, icon etc.) ; Vent Nocturne

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE JUSTICE.

Ça c'est une fiche comme on aime en lire ! Bien écrite, bien détaillée, bref, du bonheur ! Ton personnage est super et on est bien impatientes de suivre son évolution.

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !