Nom et Prénom : Veleryan Oriliyë Âge :622ans, c'est ça quand on est à moitié elfe. Contrée de naissance : A dire vrai, il ne s'en rappelle plus vraiment, ça n'a jamais vraiment eu d'importance à ses yeux, rien ne l'y a jamais retenu. Allégeance : Pensez vous vraiment qu'à son âge on soit capable d'obéir à un gamin de dix-sept ans? Bien sûr que non, ça n'aurait aucun sens,  il n'a de respect que pour lui même et n'obéis jamais qu'à ses propres envies sans trop s’intéresser aux autres.Statut du sang : La mère de Veleryan était fille de marchands, mais jamais il n'y a eu de sang noble dans la famille Oriliyë, pas même un seul bâtard dont on aurait soupçonné l'existence. Race : Ne vous y trompez pas, ce n'est pas parce que ses oreilles ne sont pas pointues qu'il n'a pas de sang elfe dans les veines. Et d'ailleurs au vu de son âge, le doute n'est pas vraiment permis. Demi-Elfe. Statut civil :Il a été marié il y a de ça très longtemps, il est désormais veuf... Mais au bout de cinq siècles cela ne compte peut être plus.  Orientation sexuelle : Il a testé un peu toutes les possibilités, et rien ne le rebute vraiment. Métier ou fonction : Il est marcheur de rêves, enfermé dans la tour, autant dire qu'il regarde le monde de loin et n'entre pas en ligne de compte dans l'économie du royaume. Armes possédées : Il n'a pas vraiment d'armes, ou tout du moins il n'en a plus vraiment depuis qu'il vit dans la tour. Et sa seule véritable arme n'a jamais été que sa magie, celle qui lui permettait d'entrer et de sortir de la tête des gens, de leur imposer ses idées, sa vision des choses, et même de se faire passer pour ce qu'il n'était pas. Rien ne change chez lui, mais tout ce joue dans la tête de ses victimes de par cette façon qu'il a de jouer avec les images.

ɤ Que pensez vous de la mort du roi ? L’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ?
J'ai vu les rois se succéder mettant en place des politiques stupides, se laissant emporter par leur soif de pouvoir quand ils ne se faisaient pas renverser sous le coup de leur cupidité. Je me fiche bien du royaume, comme je n'ai pas plus pitié pour ce roi mort que pour son successeur, tout est remplaçable, rien n'est immuable, les souverains ne dérogent pas à la règle. Tout est poussière, tout est destiné à disparaître un jour, et moi, vestige d'un passé déjà lointain, je regarde le vent souffler sur la décadence de ce renouveau.

ɤ  A votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? Les Engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ?

La garde des ombres n'est rien d'autres qu'un remède désuet, pas plus utile à l'époque qu'elle ne sera aujourd'hui. La magie est cyclique, et toujours amenée à se rappeler à votre bon souvenir quand le moment le plus opportun se présente, ce moment ce fait de plus en plus proche. Vous pouvez prier la garde des ombres, vous pourrez pleurer à sa porte, mais dévastée, effacée, emportée elle le sera certainement tant ses forces s’amenuisent avec le temps passant. Que fera donc la garde des ombres quand l'engeance reprendra sa place sur ce monde ? A qui ira-t-elle réclamer de l'aide ? Ce ne seront certainement pas les nains qui répondront, et les elfes comme toujours se feront oublier. Les hommes sont désormais bien seuls.

ɤ Les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? La magie est elle une chose à proscrire ?

Pour ma part je n'ai rien à redire sur le fait d'être enfermé dans cette tour puisque j'y suis de mon plein grès, j'ai proprement choisi d'y être et il n'est pas dans mes projets d'en sortir. Qui plus est, je crois bien, que je me ferais un plaisir de torturer celui qui oserait ne serait ce que soumettre l'idée à mes chers compagnons d'emprisonnements , car les temps s'assombrissent et l'aide des mages se fait de plus en plus ressentir. Mais peut on pardonner à un roi ce qu'un autre à fait ? Ne devrait-on pas le laisser s'enfoncer dans le marasme qu'à instiguer ses ancêtres. Oh ! Les biens pensants diront certainement que non, qu'il est bon d'aider son prochain, mais mon prochain n'est pas de ceux qui enfermèrent mes semblables, mon prochain n'est pas non plus celui qui voudra se servir de leur pouvoir. Mon prochain sera celui que je choisirais, et il n'est pas encore sorti, il ne s'est pas encore montré.

ɤ  La forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? Le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ?

Vous savez ce que dit l’adage « loin des yeux, loin du coeur », je me fiche pas mal de ce qui se passe dans cette forêt, comme je me fiche des décisions de ce petit roi. Peu m'importe que les plantes y crèvent et que les hommes s'y fassent dévorer tant que cela ne vient pas déranger mon repos.

A mon âge, il est de nombreux souvenirs que l'on a oublié, effacés par le temps, écrasés par les failles de la mémoire humaine qui se fane autant que le corps se meurt. Mais il est une chose que je ne peux oublier pour l'avoir entendu à de maintes reprises de la bouche de ma mère alors que je n'étais qu'un enfant qui regardait le monde avec des yeux innocents. Si son visage m'échappe, je me souviendrais toujours de cette voix, grave et mélancolique, divine pour le petit garçon maigrelet que j'étais. Je buvais ces histoires qu'elle n'avait de cesse de répéter et qui par son insistance la faisait passer, par trop de fois, pour une folle qui restait enfermée dans son passé. Délicat oiseau dans sa cage dorée, elle passait de longues heures à regarder dehors, surveillant la rue, et attendant le retour de cet être aimé trop rapidement, trop intensément. Amour éphémère, souvenir d'une étreinte d'une nuit alors qu'elle se donnait à cet homme qui n'en était pas vraiment un, lui offrant sur un plateau d'argent son corps et son âme qu'il lui déroba à jamais.
Sans cœur. Sans âme. Sans espoir. Elle mourrait à petit feu, ses yeux vides se posant tristement sur un monde qui l'avait rejeté et il n'y avait plus que moi pour la retenir. Mais moi je n'étais qu'un enfant, un de ces enfants turbulents qui ne voient pas toujours les choses de la bonne façon, et qui dans leur innocence enfantine, se montre bien trop cruel. Je les étais, si cruel, si infâme, et dans ses yeux je pouvais lire la tristesse que je remuais en elle, sans pour autant y porter une grande attention. Elle me murmurait alors dans ces moments que j'étais la raison de sa souffrance, et qu'à chaque fois qu'elle posait ses yeux sur moi, elle se remémorait tout ce qu'elle avait perdu dans son abandon. Aussi cruelle que moi, elle me blessait au cœur et me laissait m'enfuir plus loin encore, jusqu'à ce que plus jamais je n'éprouve l'envie de trouver refuge entre ses bras.
J'ai couru dans les rues de la ville qui m'avait vu naître, j'ai couru au travers des champs dans lesquels je jouais depuis ma plus tendre enfance, et je me perdais dans les méandres de la forêt. Et plus jamais je ne su, ni ne voulu retrouver les bras de ma mère. Je goûtais à une nouvelle vie, pleine d'une liberté qui semblait m'avoir, jusqu'ici, totalement échappé alors que j'étais prisonnier des yeux triste de ma mère. Prisonnier des histoires dans lesquelles elle s'était elle-même enfermée. Oiseau désormais libre, sans fils à la patte pour le retenir, je m'exerçais ainsi à vivre ce que je n'aurais jamais dû pouvoir voir de mes propres yeux, me mêlant à un monde que je n'aurais pu toucher de mes propres doigts si dans un ultime effort elle ne m'avait pas chassé de son cœur. Je ne la remerciais pas pour autant, je me contentais de ne pas lui en vouloir pour ce vide qu'elle avait ainsi fait naître en moi.
La seule haine qui me rongeait était celle que je cultivais envers cet être que je n'avais jamais connu qu'au travers des histoires que la tristesse racontait dans sa mélancolie. Je ne m'en rendis pourtant pas compte immédiatement, tout commença lentement, insidieusement dans cette liberté qu'on m'avait offerte. De jeune garçon rêveur, je devins un jeune homme avec des capacités que j'enraillais, préférant me fondre dans la foule plutôt que d'oser regarder en face ce que j'étais vraiment. Je me rapprochais de ce que j'avais souhaité, et j'aimais à penser que je pourrais faire mieux que ma mère, j'imaginais du haut de mon idéal empreint de naïveté que je pourrais un jour former mon propre avenir, et ce même avenir je le rencontrais dans les grands yeux de cette femme. Le nom de cette femme, je ne saurais plus le dire sans éprouver la douleur des sens embrasés par les feux de la culpabilité, les années auront beau passer elle m'a marqué à jamais de ce regard perçant qu'elle avait. Dans ses yeux clairs je m'étais noyés, et tout contre son corps je m'étais surpris à rêver, elle me hantait moi, autant que j'étais l'ombre de ses rêves. Flamboyante demoiselle à laquelle ma vie fut bientôt liée sous la protection des dieux en vigueurs, mais cet attachement me conduit à ma perte.
Moi qui m'étais évertué à ignorer quelques détails de ma vie, je fus  pourtant bien obligé de me rendre compte qu'il en était quelques un qui faisaient partis intégrante de ma personne et que par ces détails, aussi infimes qu'ils avaient jamais pu me paraître, donnaient à ma vie un tout autre sens. Je n'imaginais pas mon existence comme une longue suite de désillusions et pourtant c'est ce qu'elle fut alors qu'on me condamnait à voir les autres dépérir sous mes yeux. Et elle, ma belle, ne fut pas si différente des autres. Coeur brisé et âme en défaut, je la regardais mourir à petit feu alors que mon corps semblait implacable face au temps qui passait en lui ravissant ses plus belles années. Je la regardais vieillir sans me résigner à la quitter, mais ce fut elle qui me quitta dans un dernier soupir de vie. Dans sa mort, elle emporta mes larmes et transforma mon cœur en un désert arides que j'aurais préféré m'arracher de la poitrine plutôt que d'un jour ressentir battre au fond de ma cage thoracique.
Et les hommes sans cœur se muent rapidement en monstre, seulement qu'en est il des monstres qui ont toujours souhaité avoir un visage humain ? Rien. Ils perdent comme j'ai perdu, et jamais plus ils ne peuvent revenir en arrière. Je me suis perdu sur les sentiers, laissant traîner ma peine dans la violence et le sang que je faisais couler dans un besoin terrible d'une vengeance que je ne pouvais assouvir. Et les seuls moments où je pouvais m'enfuir sans craindre d'être rattrapé par qui que ce soit où que ce soit, étaient du domaine du songe. J'avais oublié le temps d'une vie à quel point il était bon de s'évader le temps d'un instant, de courir au travers de rêveries diverses, et de sombrer dans les méandres de l'imaginaire pour oublier l'horreur du quotidien. J'avais oublié parce que je n'en avais pas eu besoin, j'avais oublié parce qu'elle avait été à mes cotés , seulement il ne restait désormais plus qu'un souvenir, chimère faite de brume qui me hantait. Et puis, un jour, ou peut être était ce une nuit, alors que mon esprit s'était envolé, je l'ai remarqué.
Fantôme de mes pensées, il me suivait à la trace, et je me demandais comment j'avais pu ignorer sa présence jusqu'à présent. Ombre maligne et maladive dont la pâleur le faisait ressembler à tous les spectres dont on pouvait entendre les histoires, il m'observait silencieusement éveillant mes sens alors que le nuage de mystères qui l'entourait devenait de plus en plus opaque. Je n'aurais pas dû m'inquiéter, ce n'était qu'un rêve, rien d'autre que le fruit de mes pensées et de mes peurs les plus profondes.  Mais les peurs ont ce pouvoir, celui de vous rendre irrationnel et tout cela avait l'air si réel. Si réel que sa présence me hérissait le poil, et je sentais chaque parcelle de mon corps ressentir le danger qui émanait de cet homme dont les yeux me paraissait désormais plus noir que les desseins que je pouvais l'imaginer fomenter. Je m'adressais à lui, et il souriait provoquant en moi des vagues d'incompréhension, avant de disparaître tout bonnement de ma tête. Cela dura de longues nuits, et je sautais de rêves en rêves, changeant de décors en espérant le semer dans les méandres des songes et pourtant rien n'y faisait. Ombre de mon ombre, il m'effrayait et pourtant il éveillait en moi cette soif de connaissance, ce besoin de savoir ce qu'il était, ce qui le rendait si réel et la raison de sa présence.  
Et un jour, alors que j'ouvrais les yeux, perdu au pied d'un arbre où je m'étais endormi, il était là. Aussi réel qu'il m'avait toujours semblait l'être. Avançant une main vers lui, j’espérais pouvoir le toucher comme pour me prouver de sa réelle existence, ce qu'il me laissait faire avait ce même air lointain qu'il avait toujours arboré. « Tu penses vraiment qu'en me touchant tu pourras dissocier la réalité du rêve ? Mais pour toi comme pour moi, la réalité est du domaine du rêve. », voix sortie d'outre tombe qui laissait à penser que les mots dont il me dispensait se trouvaient être d'une rareté dont il fallait savourer le sens. Seulement le sens me manquait, et restant inerte face à cet homme dont je gardais en main le pan sombre de sa cape sans savoir trop quoi penser de ce qu'il me comptait. Et quand je me décidais enfin à reprendre mes esprits, c'était pour mieux nier ce que j'avais toujours su et vécu sans pour autant souhaiter l'avouer. Mieux valait fuir qu'affronter cette réalité, mieux valait partir au plus vite sans jamais se retourner... Stupide. Merveille d'idiotie à laquelle je m'adonnais, sachant pourtant pertinemment que je ne pourrais échapper à celui qui marchait dans les rêves. « Sombre démon des rêves, tu as ça en toi ! Je t'ai regardé faire comme si de rien n'était, sauter de rêves en rêves, t'amuser des autres, et te perdre dans les pensées de ce que tu pensais être tien. », cessant ma fuite, je m’arrêtais net alors que lui ne m'avait pas même lancer un regard.  « Tu es un marcheur de rêves, et il te faut désormais apprendre. Je te montrerais. Je t'apprendrais. ».
Je ne su pas vraiment ce qui me fit revenir en arrière, je ne sais pas non plus pourquoi j'acceptais sa demande, peut être étais-je juste sujet à une détresse qu'il semblait pouvoir me faire oublier. Quant à lui, si les desseins de mon maître ne m'apparurent pas immédiatement, je pus remarquer avec le temps qu'il se mourrait, rongé par un mal que je ne connaissais ni ne voulait connaître et que sa seule joie était de voir son monde baigner dans l'horreur. Il était de ces hommes qui aiment semer la mort, la terreur, et se noyer dans la luxure, je ne pouvais lui en vouloir car cette voie qu'il avait jusqu'alors suivi me tendait les bras et sans vergogne je m'y jetais. Et ainsi commença réellement la vie de Veleryan Oriliyë. Une suite logique pour un être qui avait laissé son corps de coté sans pour autant pouvoir s'en débarrasser, une suite programmée qui me conduis jusqu'aux sentiers de l'égoïste plaisir. J'ai vu les gens mourir, j'ai senti l'air se charger en fer, mais jamais, au grand jamais, je ne me suis plus amusé que ses cinq derniers siècles.
Je suis un monstre, de ces monstres qui vivent sous les lits et font peur aux enfants. Je suis le monstre qui fait battre les cœurs plus vite que jamais, projetant les âmes dans leurs plus terribles tourments. Je suis un monstre et pourtant, j'ai été témoin de bien pire vilenies que celles que j'avais pu semer sur mon passage, jamais l'idée de conquérir un monde en le faisant sombrer ne m'avait effleuré l'esprit, et je préférais le plaisir coupable de mes cauchemars face à l'horreur que semait l'engeance sur le monde. Je n'étais qu'un observateur silencieux du désastre qui se profilait, rien d'autre qu'un fantôme de passage qui n'était visible pour personne. Jouant des illusions, ce fut entre autre à cette période, où même les plus terribles rêves ne faisaient plus peur, que je me permis l’acquisition de nouvelles compétences. Si la peur pouvait subsister au delà du songe, il fallait voir les limites de ce que l'on pouvait faire au travers des rêves, j'ai joué des illusions et fait naître les désillusions, me faisant passer pour ce que je n'étais pas, tour à tour enfant, adolescent, femme, monstre, et j'encrais mon image dans la mémoire de mes victimes jusqu'à ce qu'elles en oublient ma véritable apparence. Je devenais autre que ce que j'étais, un mirage, ni plus ni moins.
Et je me suis évertué durant les siècles qui suivirent à rester ce mirage que personne ne pouvait ni ne voulait remarquer, juste un élément de plus dans un rêve, juste un tournant décisif dans un cauchemars. Juste un monstre tapis dans l'ombre, rien d'autre qu'un prédateur nocturne qui attendait une proie. Mon esprit s'en allant vers des contrées toujours plus lointaines, et toujours plus dangereuses, alors que mon corps ne cessait de se jouer du commun des mortels qu'il croisait. J'aurais pu encore me jouer longtemps des apparences, j'aurais pu continuer à traverser notre monte de part en part comme si de rien n'était, ne m'accrochant à rien, laissant juste mon plaisir éphémère se nourrir des vies et des peurs, pourtant après près de six siècles d'errances, je me décidais enfin à cesser ce voyage. Loin de moi l'idée de mourir, non, j'avais juste besoin de repos, et de calme. Et je me retirais de mon propre chef dans la tour, me laissant condamner à l'enfermement par simple besoin de quiétude, et peut être parce que je savais, au fond de moi, qu'aucun mur ne sauraient jamais me retenir.

ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Tchapalow/24ans/féminin. ɤ Fréquence de connexion ; Tous les jours, tu vois bien que je suis là tout le temps! ɤ Que pensez-vous du forum? ; Bah c'est sympas, j'ai décidé de m'y installer pour la seconde fois, c'est que ça me plait quand même bien bien! ɤ Comment l'avez-vous découvert ? Euh je ne sais plus trop!  ɤ Code du règlement ; Attends j'ai oublié! Promis je cherche demain, parce que là je te jure que je sais plus!ɤ Célébrité choisie ; Vincent Cassel ɤ Credits (avatar, icon etc.) ;Moi-même et ce chenapan de Tumblr.

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE JUGGLER.

Encore une super fiche, avec en plus un perso bien taré comme on les aime, bref, éclate-toi bien avec le vieux pervers.

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

N'oublie pas une chose ; amuse toi bien !