nom et prénom : Jacqueline Theirin Parvallen, mais elle est connue sous le surnom de Jack par ses espions. En fait, tout le monde pense que le maître des espions est un homme nommé Jack, mais c'est bien elle. âge : 33 ans, une adulte accomplie, une dame fière et droite qui a laissé l'enfance loin derrière elle. contrée de naissance : Tameriel, elle a vécu la plupart de sa vie dans la chaleur de ce pays, mais habite la Cahoridie depuis 8 ans environ. allégeance : À elle-même, tout pour monter de plus en plus haut. Elle sera noble un jour, elle le souhaite, elle en rêve et tous les moyens sont bons. statut du sang : Elle n'est pas noble, ni de basse naissance, étant née dans une famille de marchands influents. C'est une dame de la cour, mais elle n'a pas le sang bleu. race : Simple humaine, elle est mortelle comme tout le monde et mourra de vieillesse un jour. statut civil : Veuve, elle a tué son mari qui était violent avec elle. Et maintenant qu'elle est libre, elle compte bien marier un noble. orientation sexuelle : Hétérosexuelle, elle n'a aucune attirance pour le même sexe préférant de loin la masculinité et les hommes avec du pouvoir. métier ou fonction : Aux yeux de tous, elle est une simple marchande qui vend des vêtements féminins pour les dames de la cour, mais est en réalité ; maîtresse des espions. faction ou guilde : Aucune rang : Aucune. armes possédées : Principalement une dague, mais aussi une épée et un arc à flèches. Durant les années qu'elle a passé sur la route, elle a apprit à se battre comme un homme et est une redoutable guerrière... mais ça, elle ne le laisse pas paraître.

ɤ que pensez vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Ce que j'en pense ou ce que je sais? Disons seulement que la mort du roi est suspecte et que mes yeux et mes oreilles ont été témoins de bien des choses. Mais ça, c'est un secret et je ne serais pas digne de ma réputation si je vous disais tout, non? Alors, je joue l'innocente et fait mine d'être au service de ce jeune roi qui assez manipulable. Certes, il est bien entouré ce qui le rend plus dur d'atteinte, mais il y a des vipères dans les parages... c'est un jeu dangereux qui se passe présentement à la cour et je suis aux premières loges. ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Si je me tiens au courant de ce qui se passe à la cour, il fait aussi que mes yeux se tournent vers les autres royaumes dont le repère des Gardes des Ombres à Forgenerg. Ce que j'y découvre m'inquiète. Des rumeurs courent mais je préfère la vérité et malheureusement, elle ne plaît pas toujours. Et là, c'est le cas car le retour d'un Enclin inquiète et fait de plus en plus parler les Gardes. Mais yeux sont rivés sur les histoires de la cour, mais mon esprit se concentre aussi sur le cas des Engeances. Pour le moment, il faut faire confiance à la Garde et l'Ordre ne doit pas être dissout, mais leurs rangs sont faibles et cela me fait craindre le pire. ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. a vos yeux était-ce juste ? la magie est elle une chose à proscrire ? La magie me rend plutôt indifférente. Ce pouvoir est redoutable, mais il y a toujours moyen de se battre, même contre la magie. Que ce soit avec l'aide des Templiers ou celle de la lame de mon épée. Les mages ne sont pas invincibles, pourquoi les craindre autant? Certes, ils sont la cause de l'Enclin, mais ce sont aussi des mages qui se sont sacrifiés pour arrêter les Engeances. Il y a le Bien et le Mal partout, pas juste chez les mages. Le sort de ces derniers ne me préoccupe pas. Tout ce que je veux c'est le pouvoir. ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Des rumeurs... encore des rumeurs... moi, tout ce que je veux c'est la vérité. Et pour se faire, il faut voir par soi-même. Alors, j'ai voyagé dans ce bois pour y découvrir ce qui se passe et c'est effectivement inquiétant. Il semble que la corruption se propage. Dommage car cette forêt est si belle et paisible. Mais est-ce que c'est un signe du retour d'un Enclin ou d'un autre Mal aussi terrible? Je ne saurais le dire, mais il est préférable en effet de garder un oeil sur ce cas. J'ai plusieurs espions dans les parages et si la corruption évolue, j'en serai immédiatement mise au courant.

Je regarde le reflet de la jeune fille dans le miroir. Elle est belle, des longs cheveux blonds, des yeux verts comme les forêts entourant Aubétoile. Elle est jeune, bien plus jeune que moi, probablement courtisée par les nobles de la cour en quête de leur prochaine aimée. Pourtant, elle n’a rien de spécial. C’est la fille d’un noble, oui, mais elle n’a rien fait pour mériter ce titre. Simplement le droit de naissance, la puissance d’un nom de famille. Le mien ne veut rien dire et pourtant, me voici à la cour du roi. Je suis arrivée là par moi-même, pas grâce à mes parents ou une quelconque faveur. Pendant que je mesure sa taille, je la fixe. Un faux sourire sur les lèvres car au plus profond de moi, elle me dégoûte. Si parfaite, si fragile… elle qui n’a pas besoin de faire d’efforts pour améliorer sa vie ou sa renommée. Elle était née avec cette puissance alors que moi, je me débattais pour arriver ne serait-ce que près de son titre ou de sa noblesse. Elle n’avait à peine que quatorze ans et elle était déjà plus haute placée que moi, plus précieuse aux yeux de la cour. Ironie, tu te joues de moi. La mère de la jeune noble entre dans la chambre alors que je tâchais de l’habiller dignement pour le prochain bal. Elle pousse un cri de satisfaction, si heureuse de voir sa fille si belle, si resplendissante dans l’une de mes robes. Le tissu de soie venant de ma contrée natale lui va à merveille. Le vert ainsi que le bleu des dentelles et des plis font ressentir ses yeux. Ils brillent d’un éclat jeune et vif. La dame, sa mère, se tourne vers moi, un énorme sourire sur le visage.

« Vous êtes vraiment digne de votre réputation, ma chère. Grâce à vous, ma fille trouvera certainement un prétendant ce soir. » S’exclama-t-elle, visiblement comblée. « Mère… » Protesta timidement sa jeune fille qui ne voulait certainement pas parler de mariage ou d’époux.

« Mais c’est mon travail, milady. Transformer votre fille en princesse pour trouver le prince qui lui convient. » Je m’incline en signe de respect, même si j’en éprouve aucun.

Je suis douée. Douée pour manipuler les cœurs, manipuler les envies et la fierté des gens. Il faut croire que j’ai toujours eu ce don pour trouver les mots que les gens veulent entendre et ainsi plus facilement m’insinuer dans leur tête. Pas besoin de la magie des rêves pour cela. Aux yeux de cette dame, je n’étais qu’une marchande de robes et de broderies, mais je connaissais chacun de ses secrets, autant les plus insignifiants que les plus horribles. Je serais une très mauvaise maîtresse des espions si ce n’était pas le cas. La mère s’installe sur une chaise finement décorée et m’observe alors que je continue mon travail. Sa prochaine déclaration me surprend et me prend légèrement au dépourvu.

« Il est bien étonnant que vous n’ayez vous-même pas encore trouvé un nouveau mari depuis le départ atroce de votre époux… pauvre Monsieur Parvallen. »

Je m’arrête un instant pour ne pas planter une aiguille dans la peau de la pauvre jeune fille. Si elle avait connu cet homme que je l’avais connu, elle ne se sentirait pas aussi désolé pour lui. Je me retourne vers la mère avec un sourire attristé, mais au fond, le souvenir de mon défunt mari me laisse indifférente. Si tu savais… Je jouais la pauvre veuve éplorée même si j’étais la responsable de sa mort. Et je n’avais aucun regret…

QUELQUES MOIS PLUS TÔT...

Le serviteur tire la chaise vers lui pour me permettre de m’asseoir à la table, face à mon mari. Je me pose lentement sur le banc de bois que le serviteur pousse vers moi pour que je sois confortable. Une fois bien installée, j’entrelace mes doigts sur mes cuisses et je fixe droit devant moi pour observer mon époux. Il est un marchand comme moi mais lui, il est né dans le Nord alors que moi, j’ai vu le jour dans le Sud. Le chaud et le froid, voilà ce que nous étions. Je connaissais ses secrets. Il était violent, volage et vulgaire. Il s’était marié pour faire bonne figure et j’avais été la pauvre victime dans tout cela. Mais plus maintenant. Plus jamais je ne le laisserais me faire mal, que ce soit physiquement ou mentalement. Le silence tombe et il est brisé uniquement par les serviteurs qui viennent poser les plats de nourriture sur la table et le vin dans la coupe de mon mari. Aussitôt son verre rempli, il le termine en quelques secondes, en demandant un autre. Il me dégoûte. Il aime l’alcool, les femmes et la violence. Il n’a rien d’un marchand et rien de noble en lui. Il me croit stupide, faible et sans intérêt, mais je sais. Je sais qu’il visite les bordels de la ville quand il n’est pas avec moi. Et je ne doute pas une seconde qu’il tranche quelques têtes par ci et par là pour faire régner sa loi dans les rues marchandes de la ville. Je n’ai jamais voulu épouser un homme comme lui. Tout ce que je voulais, c’était la fortune, l’argent et une vie meilleure encore. Si j’avais su comment il était, j’aurais fui le plus loin possible, refusant de le prendre pour époux. Malheureusement, je n’étais pas la maîtresse des secrets à ce moment-là et je l’ai épousé, scellant mon destin au sien. Mais ce soir, tu ne me toucheras plus, tu ne toucheras plus jamais aucune femme d’ailleurs. Les serviteurs quittent la salle à manger, laissant le couple déguster cet excellent repas tranquille. Profite de ce repas car il serait le dernier. Il mange vite, boit sans arrêt, se remplissant le verre de vin un peu plus à chaque fois. Je reste silencieuse et je mange lentement, le regardant froidement. Il parle fort, il est grossier et lorsqu’il termine son repas, il se lève maladroitement. Il ne peut pas partir. Mais où vas-tu, j’en ai pas terminé avec toi. Il est visiblement affecté par l’alcool et il n’arrive pas à se tenir debout bien longtemps.

« J’vais aller voir un ami, on va s’éclater un peu en ville. » Une amie en fait et par s’éclater, il veut dire s’envoyer en l’air. Je fais une moue de dégoût. Mais, il me croit idiote ou quoi?

Il essaie de se relever de nouveau, mais je suis plus rapide. Je viens me placer derrière lui, passant mes mains de chaque côté de sa tête et je viens caresser son torse. Je pose mes lèvres dans le creux de son cou, lui soufflant quelques mots doux (plutôt sensuels en fait) à l’oreille. Je sais qu’il aime les femmes, et s’amuser un peu sous les draps. Sa faiblesse… et surtout, ce qui causera sa perte. Il sourit, niais. Trop aveuglé par sa nature d’homme et par l’alcool, il ne réalise pas que j’ai une petite lame dans la main à quelques centimètres de son cou.

« Reste avec moi ce soir. » Je lui dis. Il éclate de rire, heureux de ce qui l’attend, mais il n’a aucune idée…

Alors qu’il s’apprête à se lever pour me ramener dans notre chambre, je ne lui laisse pas le loisir. Je l’oblige à rester assis. Impatient de s'envoyer en l'air et mécontent, il agrippe mon poignet fermement. Une telle force qu’une douleur atroce me prend. Je sens ses ongles dans ma chair. Mais il a agrippé ma main vide, car c’est dans l’autre que je tiens la dague. Celle que j’espère plonger en lui depuis le début de la soirée, celle que je tiens fermement depuis plusieurs heures. Et à ce moment, il me donne le parfait prétexte pour lui montrer que je suis en contrôle. Que je suis plus brillante et plus forte que lui. Pour me venger. Aussitôt qu’il attrape mon poignet pour se faire violence, je lui plante la dague dans le cou d’un mouvement rapide de ma main libre. Le sang se met à couler à flots et je recule le plus possible. Pas parce que je suis bouleversée par ce que je viens de faire, mais pour m’assurer que le sang ne vienne pas tâcher ma belle robe de soie. La dague toujours plantée dans son cou, mon époux se met à convulser de douleur, incapable de crier. Et lentement, il succombe, l’air refusant de pénétrer ses poumons et le sang fuyant à toute vitesse de ses veines transpercées. Son agonie ne dure que quelques secondes. J’aurais voulu qu’il souffre pendant des heures pour lui faire ressentir toutes les fois où il avait levé la main sur moi, mais je savais que c’était impossible. Je préférais le tuer d’un coup fatal plutôt qu’il est une quelconque chance de s’en sortir. La surprise. Voilà mon arme secrète. Mais ce n’était pas ma seule arme ; les jeux de secrets, je les maîtrisais parfaitement. Je n’allais pas être accusée de ce meurtre car je n’avais pas l’intention d’aller en prison ou d’être exécutée. Je devais faire passer sa mort prématurée sur le dos de quelqu’un d’autre. Et je savais exactement qui.

Ce serviteur jaloux, celui qui disait haut et fort que Monsieur Parvallen était un monstre. Celui qui m’adorait, me vouait un culte et ne pouvait supporter de voir mon époux me traiter ainsi. Il était le parfait meurtrier et j’avais déjà tout planifié. Voyons, je n’allais pas tuer mon mari sans avoir un plan infaillible. Alors, quand le corps de mon époux fut trouvé, j’étais déjà loin de la salle à manger. Puis, quand on m’annonça la nouvelle, je fis mine de m’effondrer, les larmes coulant le long de mes joues. Je n’ai même pas eu besoin d’accuser le serviteur, tous les gens de la cour le suspectaient déjà. Je ne fis qu’aider quelques personnes à véritablement l’accuser. Et quelques jours pour tard, il fut pendu pour ce crime qu’il n’avait pas commis. Mais sa mort me laisse indifférente. Il n’est qu’une autre victime de mon violent époux. Et je ne regrette pas une seconde ce que j’ai fait.

FIN DU FLASHBACK

Je regarde la mère qui semble attendre une réponse. Que veut-elle savoir? Pourquoi je ne suis pas encore remarié. Une beauté comme moi, certes, certains trouvent cela étonnant, mais en y repensant, pas tant que cela. J’attends le moment parfait et surtout, le parfait candidat. Car je suis ambitieuse et je ne veux pas m’engager, donner ma main et promettre ma fidélité à un homme aussi facilement que la dernière fois. Cela avait été une erreur et j’ai appris… je ne commettrais pas encore cette erreur. Les jeux de la cour sont dangereux et je préfère observer ou analyser avant de me lancer.

« Je désire trouver le prince charmant, milady. » Je lui souris. Une excuse que la mère semble gober sans hésitations, éclatant de rire et venant tapoter mon épaule gentiment. Je souris faussement, reprenant mon travail sur la jeune fille.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; jack/23/damoiselle ɤ fréquence de connexion ; La moitié du temps, je dirais ɤ que pensez-vous du forum? ; Magnifique, je m'était inscrite il y a quelques semaines et je n'avais pas le temps, mais maintenant, je suis prête pour l'aventure ɤ comment l'avez-vous découvert ? Une amie^^ cette vilaine Luna.  ɤ code du règlement ; Validation par Astoria ɤ célébrité choisie ; Eva Green... je peux pas croire qu'elle n'a pas encore été prise ɤ credits (avatar, icon etc.) ;Gifs sur Tumblr et avatars sur Echo des Plaines la plupart du temps ou sur Bazzart.

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE EMPEROR.

Une jolie fiche et un personnage tip top ! Nous te classons dans les Emperor à cause de ta véritable position, malgré tes origines. Amuse-toi bien parmi nous !

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

N'oublie pas une chose ; amuse toi bien !