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 comme des enfants

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MessageSujet: comme des enfants   comme des enfants EmptyVen 7 Fév - 12:32


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L'aube répandait une lumière douce sur le pays. Une brise  hivernale balayait les champs, les forêts, les bannières que les nobles dressaient fièrement au-dessus de leurs demeures de pierre. La nature s'éveillait, plus prompte et à l'écoute que tous les hommes qui avaient pris l'habitude de se lever dès l'apparition des premiers rayons de soleil. Elle regorgeait de bêtes qui parcouraient déjà leur territoire à la recherche de nourriture ou d'un abri contre les prédateurs. Les hommes enfilaient à peine leurs vêtements que déjà, les bois grouillaient d'une activité invisible à l’œil inexpérimenté. De ce renard qui creusait son terrier à la mésange qui survolait les cimes en quête de son prochain repas. Les sifflements d'oiseaux résonnaient déjà, mélodie douce et familière. Isil, ne faisant pas exception à la règle, avait ouvert les yeux quand l'obscurité s'était enfin dissipée, prête à entamer une longue journée. La perspective de parcourir le village et son marché afin de glaner quelques ingrédients pour ses onguents la réjouissait, bien qu'elle préférait se rendre en forêt pour les avoir. Enfin, tout ne poussait pas à Sombrebois. Toutes ces distances à parcourir, c'était trop, elle ne pouvait pas se le permettre, encore moins maintenant que son grand-père devenait vieux et fatigué, que la charge de prodiguer des soins lui revenait. Isil rêvait de parcourir les terres de Kahanor, d'aller au-delà de ces montagnes au nord, de naviguer sur la mer et d'atteindre les déserts du sud dont les voyageurs parlaient. Elle avait envie d'en voir toujours d'avantage, d'apprendre plus qu'il n'était nécessaire, de rencontrer des personnes dont le quotidien était l'opposé du sien. Jamais elle n'avait dépassé les frontières de Sermar, si ce n'est pour en parcourir les abords, près de la Cahoridie ou d'Alcahar. Mais elle possédait cette curiosité, cette soif de connaissances qui, pourtant, ne coïncidait pas avec la vie qu'elle avait accepté de vivre. En tant que descendante d'une longue lignée de druides, son devoir était de venir en aide à ceux dans le besoin, à tous ceux qui le demandaient. Proche de la nature mais également des hommes, elle avait fait de cette tâche une responsabilité sérieuse. Mais elle restait jeune, insouciante par moments, et l'aventure était attirante pour les esprits libres.

Au marché de Librevent, ce matin-là, les étals proposaient déjà myriades de nourriture, de denrées en tout genre. Isil adressait des sourires à ceux qui croisaient son chemin, flânait le long de la place principale qui regroupait les villageois matinaux. Elle s'arrêtait çà et là pour quelques herbes, un peu de nourriture ou du tissu. Elle écoutait les conversations alentour plus qu'elle n'y participait, hochant simplement et poliment la tête si l'on s'adressait à elle pour lui demander son avis ; en vérité, personne ne s'intéressait à son avis, ils désiraient juste un encouragement pour poursuivre sur leur lancée. Des bavardages sur la mort du roi et les dernières rumeurs qui y étaient associées, quelques mots sur les choses étranges qui se passaient dans les bois et sur la chance qu'ils avaient que le gouvernement enferme les mages dans une tour. La jeune druide ne prenait même plus la peine de s'offenser en captant de tels propos. Seule l'ignorance les effrayait. Un jour, peut-être, comprendraient-ils. Mais ce jour était encore loin, alors il ne servait à rien d'essayer de les raisonner. Pourtant, au fil des discussions, elle perçut quelques paroles qui retinrent son attention. « Le Grand Line a accosté à Blancherive. On m'a dit que de vils pirates étaient à son bord, verrouillez vos portes ce soir, on ne peut savoir quels sombres desseins ils ont à l'esprit. » Des murmures d'approbation retentirent tout autour et Isil dissimula son sourire sous son manteau qu'elle referma, faisant mine de se protéger du vent qui n'avait diminué en force depuis le matin. Ils étaient drôles ces villageois, à penser que tous les étrangers leur voulaient du mal. Certes, le Grand Line abritait des pirates, mais tous ne vous coupaient pas la gorge pendant votre sommeil. Isil termina d'acheter ce dont elle avait besoin et repartit en direction de la maison de son grand-père, à l'extrémité du village, à l'orée de Sombrebois, son panier au bras. La petite bâtisse avait été construite à l'écart des autres intentionnellement, afin de garder au mieux le secret de leur famille et de rester proche des bois qui leur fournissaient la majorité des denrées nécessaires à la confection des remèdes. Isil aimait cet endroit. Entouré de pâturages, aux abords de la forêt, son foyer se dressait, modeste et chaleureux.

Au pas de la porte, elle déposa son panier et fit le tour de la maison pour voir comment se portaient son poney et le cheval de son grand-père. Deux bêtes à l'apparence sauvage mais qui leur obéissaient sans broncher – ou presque. Elle caressa l'encolure de l'animal le plus proche lorsque celui-ci émit un hennissement nerveux. Isil se retourna et aperçut une silhouette de petite taille – approximativement la sienne – emmitouflée également contre les assauts du vent. Un sourire fendit le visage de la jeune femme. « Viens-tu pour une visite de courtoisie ou est-ce pour voler mes richesses, pirate ? » demanda-t-elle d'une voix qui trahissait son amusement. Nul besoin de demander ; elle reconnaissait ce visage, même si des mois avaient passé depuis leur dernière rencontre.
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MessageSujet: Re: comme des enfants   comme des enfants EmptyDim 9 Fév - 18:29

Llewelyn & Isil
So long, long time ago ...



Le vent fouettait ses joues, fouettait ses jambes et faisant claquer son pantalon contre ses cuisses. Elle frissonnait en serrant un peu plus fort la lanière de son sac contre l’épaule. Dedans on pouvait trouver plusieurs herbes rares qu’on ne pouvait cultiver qu’en Cahoride, un change, une arme, des parchemins, un livre « emprunté » à la bibliothèque ainsi qu’un bijou qu’elle avait volé sur le marché de la cité. Elle avait la main leste, la faute à son passé dans la piraterie et elle s’était déjà faite attrapée plusieurs fois, mais ce n’était pas pour autant qu’elle allait arrêter cette sale habitude. Le seul salaire qu’elle touchait était bien bas, et tout cas qu’elle avait de garantis, c’était une chambre dans les combles du château royale, rien de plus, en échange de quoi elle promettait de revenir à chaque fois qu’on avait besoin d’elle. On la laissait quitter le château quand bon lui semblait, mais elle n’avait que de bas revenus et la plupart des choses qu’elle utilisait ou portait, elle l’avait volé. Aucun remord, simplement de la débrouillardise.

Llewelyn marchait sur la route, les pavés humides glissant très légèrement sous ses chaussures. Ce chemin justement devait la mener jusqu’à un endroit bien précis, jusqu’à un des villages avoisinant la mer. Cette route était agréable pour la marche, certes, mais elle était située dans la lande, si bien que le vent la fouettait encore et encore de toute part. Elle aurait pu se mettre à l’abris dans la forêt mais étant donné les rumeurs qui courraient sur cet endroit depuis quelques temps, elle préfèrait éviter d’un mettre un pied. Comment en avait-elle eut connaissance ? Oh vous savez, il était, est et sera toujours fort utile d’avoir dans ses amis la fille de la main du roi, la tante du souverain. La bonne royale a très souvent accès à tout un tas d’info, que ce soit lorsqu’Ysmira lui révèle d’elle-même ou lorsqu’elle intercepte des conversations. Elle a souvent été approchée pour devenir espionne à vrai dire, elle en aurait toutes les capacités. Elle fixa ses pieds. Un court instant, elle crut que la tête de son père roulait jusqu’à ceux-ci, encore une fois. Tête découpée car il en savait trop. Douce ironie. Alors non, elle ne deviendra certainement pas espionne.

Si le début de journée avait été lumineux et ensoleillé pour un jour de Novembre, il n’avait pas été de même pour l’après-midi qui avait été venteux et couvert. Si elle n’avait pas été retenu par de fortes bourrasques en provenance de la mer, elle aurait sans doute réussi à atteindre son objectif dans l’après midi, ce qui n’avait pas été le cas et résultat, le soleil n’allait pas tarder à entamer sa course contre la lune qu’elle n’avait toujours pas le moindre village en vue. Elle remonta la capuche au sommet de son crâne en pestant contre le mauvais temps et le froid qui perçait le rempart de ses habits. Elle grimaçait à mesure que le vent se glissait sournoisement entre ses vêtements et elle resserra, par simple réflexe, la prise de ses mains sur sa cape. Cape qu’Ysmira lui avait gracieusement prêtée lorsqu’elle avait appris que la jeunette souhaitait se rendre en Sermar. A vrai dire, Llewelyn aurait sans doute du rester pour soutenir la tante du roi car elle n’était pas seulement sa maîtresse, la bonne à tout faire n’était pas simplement sa femme de chambre, elle avait conscience qu’elle était bien plus que cela au yeux de la noble. Mais sa décision était prise, elle devait se rendre en Sermar et ça ne pouvait plus attendre. Cela faisait déjà un mois que le roi avait été tué, il aurait été stupide d’attendre plus.

La jeune fille regarda le ciel. Une masse menaçant de nuage commençait à s’amasser au dessus de sa tête, annonçant sans doute un orage. Elle devait se dépêcher de rejoindre son point de ralliment, que n’aurait pas du tarder à pointer le bout de son nez. Au moment où elle pensait justement au temps restant pour rallier son lieu de rendez-vous, elle eut enfin en vue quelque chose. C’était un village, composé de plusieurs petites maisonnettes rassemblées en étoile autour d’un puits. Il y en avait peut-être une cinquantaine, sans compter trois ou quatre bâtiments un peu plus imposants, mais quoi qu’il en soit cet endroit restait un lieu de passage et de résidence, peu d’affaires devaient être conclues ici. Le voisinage était accolé à la forêt de sombrebois, la chasse était la principale activité des gens d’ici. Llewelyn remonta la capuche sur le sommet de son crâne, de manière à ce que personne ne la reconnaisse. Non pas qu’elle avait un visage connu ou qu’elle soit remarquée, elle avait simplement envie d’être discrète. Du coin de l’œil, elle repéra son objectif. Une petite chaumière, légèrement détachée du groupe qui était plus accolée à la forêt encore, comme si les branches des premiers arbres faisaient partie du toit. La rousse eut un sourire et se dirigea un peu plus vite vers la chaumière, sentant que la pluie n’allait pas tarder à tomber. Elle voulut entrer par la porte qui lui faisait face, devant la route, lorsqu’elle vit une silhouette jumelle à la sienne se diriger rapidement vers l’écurie. Elle eut un sourire amusé et décida de suivre cette silhouette. Rapidement, elle poussa la porte de l’enclot, au moment même où un hénissement caractéristique retentit.

Llewelyn vit la main de la jeune fille se poser sur l’encolure de la bête, pour la calmer. La brune se tourna vers elle, et, avant même qu’elle n’ait pu abaisser sa capuche pour découvrir son visage, l’autre lâcha, dans un souffle qui trahissait son étonnement :

« Viens-tu pour une visite de courtoisie ou est-ce pour voler mes richesses, pirate ? »

Elle eut un éclat de rire en abaissant son capuchon. Dans un sourire amusé et ravi, la plus jeune déclara :

« Voyons je ne suis plus pirate qu’à temps partiels ma chère amie … Tu es en bonne position pour le savoir n’est-ce pas ? »

Un éclair de complicité brilla entre les deux jeunes filles, et, elle ajouta, sur le même ton :

« Ma venue est courtoise, rassure toi donc, j’ai pensé que tu aimerais connaître les derniers potins de la cour, notamment ceux courants sur la mort du roi. Mais … Mais avant tout … »

Sans attendre une quelconque permission, Llewelyn s’avança vers son ami avant de la serrer dans ses bras, enfin réchauffée par une chaleur humaine, pour la première fois depuis le début de son voyage. Elle murmura, pour qu’elle seule puisse l’entendre, dans un léger souffle :

« Il me tardait sincèrement de te revoir Isil … »


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MessageSujet: Re: comme des enfants   comme des enfants EmptyDim 16 Fév - 13:54

Dans la pénombre grandissante, il n'y avait que cette pâle lueur, celle d'une flamme, qui parvenait à éclairer le chemin. La lune était déjà dissimulée derrière d'épais nuages emportés par un vent qui ne semblait apporter que du froid en ce mois de novembre. L'orage n'était pas loin, elle le sentait. L'air était lourd, chargé d'électricité. Les ténèbres grandissaient. La pluie ne tarderait pas et les bêtes le sentaient aussi. La forêt, qui ce matin grouillait des créatures en tout genre, redevenait silencieuse alors que chacun se mettait à l'abri. Le magnifique étalon de son grand-père, ainsi que son poney, n'étaient pas en reste. Mais avec un toit au-dessus de leur tête, ils restaient calmes, apaisés sous les doigts de la jeune femme qui leur caressait l'encolure. Il n'y avait que le sifflement du vent qui venait interrompre le silence environnant, jusqu'à ce que des pas pénètrent dans l'humble écurie. D'aucuns auraient pu croire à un voleur ou à un brigand, avec l'obscurité en sa faveur et l'isolement de la bâtisse. Pourtant, Isil n'avait pas à avoir peur, car elle avait reconnu une amie, une sœur de cœur. « Voyons je ne suis plus pirate qu’à temps partiels ma chère amie … Tu es en bonne position pour le savoir n’est-ce pas ? » La réplique mua ses lèvres en un sourire sincère. La pirate à temps partiel comptait parmi les personnes les plus proches de son entourage – façon de parler, car la demoiselle parcourait souvent Kahanor alors qu'elle-même restait coincée à Sermar. Néanmoins, c'était assez rare pour être mentionné. Depuis son arrivée dans ce petite village de Sermar, Isil avait été cette jeune fille timide et discrète qui avait du mal à s'intégrer aux autres enfants de son âge. Mettez cela sur la faute d'un secret récent difficile à porter ou le fait qu'elle vive avec le guérisseur un peu mystérieux à l'extérieur du village, celui qu'on prenait un peu pour un fou même s'il accomplissait des miracles. Peu importe, malgré sa gentillesse et sa générosité, il était rare que ses connaissances deviennent plus que cela. De ce fait, elle passait une grande partie de son temps à pratiquer les connaissances que son grand-père lui inculquait, à se balader dans les bois sachant pertinemment qu'ils pouvaient être dangereux ou à s'occuper de leurs bêtes dans leur enclos ou en les emmenant se dégourdir les pattes sur les chemins. Au final, elle restait cette jeune fille solitaire qui ne révélait presque rien de son quotidien, même si les curieux ne manquaient pas. Et des rumeurs naissaient rapidement au sein de ces petits villages. Ils prenaient plus vite qu'un feu de paille et se répandait tout aussi rapidement. Il y avait pourtant quelques exceptions et Llewellyn en faisait partie. Blessée, fatiguée par ses voyages, elle était tombée entre les mains expertes des Greywolf. Les deux jeunes femmes s'étaient rapidement liées d'amitié et, Isil, désireuse d'en savoir plus sur ses voyages, l'avait bombardée de questions. Tant et si bien qu'à chacun de ses passages en Sermar, elle revenait rendre visite à l'apprentie guérisseuse, apportant avec elle nouvelles et plantes exotiques.

« Ma venue est courtoise, rassure toi donc, j’ai pensé que tu aimerais connaître les derniers potins de la cour, notamment ceux courants sur la mort du roi. Mais … Mais avant tout … » Lorsque Llewellyn se mit à avancer dans sa direction, elle ouvrit sans hésiter les bras, laissant le canasson en reste, afin de serrer son amie dans une étreinte affectueuse. « Il me tardait sincèrement de te revoir Isil … » Elle ne relâcha pas son amie avant plusieurs secondes, heureuse de la savoir à ses côtés, au moins pendant quelques temps, si courte soit sa visite. Finalement, elle abaissa les bras sans se départir d'un sourire radieux. « Je suis heureuse que tu sois là. » lui dit-elle d'une voix douce. Avant d'ajouter sur le ton de la plaisanterie : « On peut dire que tu sais te faire désirer. » Des semaines, des mois avaient passé depuis leur dernière visite. Mais elle ne lui en tenait nullement rigueur. Elle avait elle aussi des responsabilités, sans compter les voyages qui prenaient un temps considérable. « Je me réjouis d'entendre ton récit, mais avant ça, viens donc te réchauffer à l'intérieur, tu as l'air glacée. » Alliant les gestes à la parole, Isil entraîna son amie à l'extérieur de l'écurie. Dehors, elles sentirent quelques gouttes de pluie timides s'attarder sur leurs visages à découvert. Elles contournèrent la chaumière et pénétrèrent à l'intérieur où un feu ronflait déjà dans la cheminée. Les lieux étaient sans prétention. La seule chose qui se détachait des autres habitations, c'était les quelques livres sur les plantes et l'art de la guérison, ainsi qu'un lit pour les patients – leurs propres matelas se trouvant dans deux autres petites pièces isolées. Il n'y avait personne dans la pièce  ; son grand-père était probablement allé se coucher. Son âge avancé le fatiguait beaucoup dernièrement et Isil préférait ne pas s'attarder sur de telles pensées. Elle songeait souvent à l'impuissance qui était la sienne malgré tous les pouvoirs qu'ils possédaient à eux deux. Mais l'instant était mal choisi pour s'aventurer vers de si sombres pensées. Elle invita Llewellyn à s'asseoir près du feu avant de mettre un peu d'eau à chauffer au-dessus des flammes et d'y ajouter quelques herbes à infuser. Isil s'assit finalement à ses côtés, un sourire rayonnant sur le visage. « Alors, raconte-moi tout. Comment ça se passe pour toi au château ? Et comment est ce nouveau roi ? Les nouvelles parviennent tard ici, je suis certaine de ne pas en connaître la moitié. » Et c'était peu dire. Malgré un nombre incroyable de rumeurs rapportées par les voyageurs, ils étaient peu nombreux à passer par ce petit village éloigné, surtout à cause de sa proximité avec Sombrebois.
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