Nom et Prénom : Son père qui ne désirait qu'un garçon, la renia dès son premier souffle. Sa mère qui la considérait comme le plus beau des joyaux, qu'elle ne pourrait jamais avoir, l'appela Kara et lui donna le nom de la famille Kindhelm.Âge : 21 ans de bataille avec son père Contrée de naissance : Lordaeron Allégeance : Au Roi et à la Reine. Statut du sang : Paysanne. Race : Humaine Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Métier ou fonction :  Eleveuse de chevaux, comme le veut la famille depuis la nuit des temps.Faction ou Guilde : Elle aimerait rentrer dans la guilde des marchands pour montrer ce qu'elle vaut à son père. Rang : En temps que membre elle va pouvoir étendre son élevage et faire connaitre son nom.Armes possédées : Une épée offerte par sa mère pour ses 15 ans, longue et lourde, mais qu'elle sait manier comme son père le lui a apprit.

ɤ Que pensez vous de la mort du roi ? L’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ?  Comment puis-je en penser quoique ce soit ? Je ne les aient jamais rencontré! La mort d'un homme est toujours tragique, surtout pour sa famille. Néanmoins sa mort amène la discorde et la corruption. L'héritier n'hérite pas du plus pur des royaumes... Il est jeune, très jeune pour gouverner. Mais si j'ai pris ma maison en main vers le même âge, il est très bien capable de gouverner. N'importe qui a droit à sa chance. Seulement la tâche ne sera pas de tout repos pour lui... Espérons qu'il est le courage de montrer, lui aussi, ce qu'il vaut.ɤ  A votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? Les Engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? J'ai une grande confiance en la garde des ombres. J'admire leur courage et leur bravoure. Si les engeances reviennent et ils reviendront ! Ils seront les premiers à les repousser. Car les engeances n'ont pas disparu, tout comme la magie reste éternelle, les engeances le sont aussi. Et plus ils restent en retrait plus ils sont à craindre . ɤ Les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'Alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. A vos yeux était-ce juste ? La magie est elle une chose à proscrire ? Si la magie a été bannie, n'est-il pas normal de bannir ceux qui la possèdent ? Néanmoins si la magie placer entre certaines mains devient mauvaise, entre d'autres, elle peut devenir le bien. Il faut seulement voir si ceux qui la possèdent, on soif de pouvoir ou non. La magie à été proscrite car les hommes on peur de ce qu'ils ne peuvent pas contrôler. C'est normal, mais peut-être faudrait-il la reconsidérer. Après tout, dans un certain sens, la magie ne nous a-t-elle pas sauvé des engeances ? ɤ  La forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? Le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Lorsque j'y réfléchis je ne me sens pas du tout en sécurité, mais il ne m'est encore jamais rien arriver. Je ne m'aventurerais jamais dans cette forêt. Les choses qui s'y passent, sont bien étranges ,donc je pense que le royaume s'en préoccupe. Afin de protéger son palais tout comme ses terres. Je pense que si les engeances doivent revenir ce sera par là. Selon moi, le Royaume est déjà bien au courant de ce qu'il s'y passe. Cependant j'ai peur qu'avec la course au trône, le royaume se concentre plus sur la sécurité de l'héritier que sur ce qui se passe à sombrebois.  ɤ Quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? La guilde apporterait la prospérité à son élevage. Mais aussi un peu de renommé. Elle le gère seule depuis peu et à besoin que son élevage soit reconnu afin de mieux vendre et de pouvoir vivre correctement avec son père. Qui n'a plus toute sa tête. Il n'est pas facile pour une femme de se faire entendre. Mais avec la guilde, elle pourra montrer de quoi elle est capable et vivre de l'élevage qui se transmet de génération en génération. Elle souhaite être la femme qui aura pris en main l'élevage et l'aura fait prospérer.

Kara ou l’histoire d’une fille qui s’est toujours battue avec son père. Gagner sa place dans la famille, son droit d’exister, mais aussi prouver ce qu’elle vaut et gagner l’affection de son père même si elle ne veut pas se l’avouer.  Sa mère l’avait toujours aimé, à ses yeux elle représentait tous les joyaux du monde.  Mais la maladie gagnait cette dernière et elle l’emportait alors qu’elle n’avait que 10 ans. Le chagrin éloignait encore plus le père et la fille, qui ne pouvait s’adresser la parole qu’en haussant la voix.  Un jour son père la réveillait aux aurores, en lui jetant une épée au pied du lit elle avait alors quatorze ans. Il la tirait du lit et l’emmenait dehors, prétextant qu’il allait parfaire son éducation. Du jour au lendemain, alors qu’il ne voyait en elle qu’un échec. Kara lui avait comme à son habitude, jeter un regard froid plein de haine, elle avait lâché l’épée et s’était rendue vers la porte. « Ne crois pas que j’y tienne, mais ta mère m’as fait jurer de t’aimer et de t’apprendre la vie. Et j’ai l’intention de m’y tenir, au moins sur une partie. Et tu vas apprendre que dans la vie, il faut savoir se battre. » Bien que ce soit le souhait de sa mère, jamais elle n’accepterait de coopérer. Non pas après toutes ces années de haine et de guerre. «  Ne crois pas que cela me fasse plaisir de t’apprendre ce que j’aurais dû apprendre à mon fils ! Mais c’est la seule chose que je peux t’apprendre, fille ou pas, tu le feras ! » Elle avait bien su déceler la colère et le dégout dans ses paroles. Cet air rempli de rage qui signifiait qu’il la détestait et qu’il aurait préféré ne jamais  passer par là, car cela voulait dire qu’il allait devoir la considérer, comme sa chair, bien qu’il ne le faisait jamais. Le simple fait de lui adresser la parole, lui écorchait la langue. C’est ainsi, qu’uniquement dans le but de faire enrager son père qu’elle apprenait avec lui à manier les armes. Pour le jour de ses quinze ans, il lui offrait l’épée que sa mère lui avait réservé avant sa mort. Kara maniait les armes comme un homme, même parfois mieux, car son père lui à enseigner à ses dépens, à se méfier, à anticiper chaque mouvement et chaque décision.
L’élevage de ses parents se transmet de père en fils, c’est un héritage qui perdurait depuis la nuit des temps. Sa mère lui avait apprit à chevaucher dès qu’elle put marcher. Et elle adorait ça, autant pour faire enrager son père qui ne voulait pas la voir monter, que pour éprouver cette merveilleuse sensation de liberté, de passion, d’évasion, de pouvoir ! La jeune fille chevauchait des journées entières pour s’éloigner de cet homme qu’elle méprisait et qu’elle aimerait ne jamais avoir à appeler  « papa ».  Un jour que sa robe ne s’ajustait plus à la croupe de ses chevaux, elle prit un pantalon. Lorsque son père la voyait, il la dédaignait. Elle montait ainsi deux jours, puis son père la saisissait par les cheveux et la tirait vers le sol. Elle tombait de cheval, la main dans ses cheveux endoloris par la pression. « Non mais ça va pas ?! » Son père la jugeait de toute sa hauteur et lui crachait «  Bon sang tu es une fille je refuse de te voir en garçon ! Imagine ce que dirait ta mère si elle te voyait ainsi ! » «  Je ne peux pas monter à  cheval avec cette robe, le jupon est trop étroit ! Mais si cela t’ennuie je peux toujours monter sans jupons, les jambes à l’air ! » Son père serrait les poings, il aurait aimé la corriger plus d’une fois, mais dès qu’il l’envisageait il revoyait sa mère. Il s’était ensuite dirigé d’un pas tendu de colère vers l’épée de sa fille et la lui avait jetée devant elle. « Tu veux monter en pantalon ? Pas de problème, mais tu devras gagner ce droit » C’était comme cela que ça fonctionnait, quand elle demandait quelque chose elle devait gagner un duel avec son père. Tel la loi du plus fort, c’était ainsi qu’elle avait gagné le droit de continuer à monter à cheval et c’est ainsi qu’elle comptait monter en pantalon. Elle dégainait, sautait sur ses pieds et se jeta sur son père qui contrait. Le combat fut violent, mais le but de chacun n’était pas de blesser ou de tuer. Il était que l’un d'eux se rendait ou restait à terre. Son père était fort et se contentait de battre le fer mais la jeune fille laissait exploser toute sa rage et sa haine. Les épées se frappaient encore et encore. Elle se souvint encore du regard de son père quand il perdait du terrain, celui de l’étonnement, du doute et finalement de l’échec. Sa fille venait de le faire reculer jusqu’aux fagots de bois ou il s’était renversé, elle déposait l’épée sur sa gorge. « Alors ? » Son père s’était contenté de la regarder avec ce regard hébété et stupéfait.  Kara détestait ce regard qui laissait supposer qu’il avait un quelconque intérêt envers elle. Elle avait criée de colère en claquant la porte de la maison. Le lendemain alors qu’elle s’apprêtait à enfiler son pantalon. Son père était rentré en lui arrachant le pantalon. Elle s’était jeté dessus en tirant l’autre extrémité. « J’ai gagné le droit de le mettre ! Rend-le moi ! » Son père le lui retirait et ajoutait « C’est vrai, mais ta mère et moi-même refusons de te voir monter comme cela tu imagines si quelqu’un te voyais? Alors voilà j’ai vendu un cheval de plus, en voici l’argent, tu iras en ville et tu t’achèteras une robe pour monter. » C’est ainsi qu’elle eut sa robe de cheval. Un jupon assez large qui retombait sur la croupe des chevaux. Elle lui allait si bien que certains la prenaient pour une fille de sang royale. Mais c’est aussi à partir de ce jour que son père commença à perdre son assurance et tomba dans la dépression. Certainement le chagrin l’y avait mené. Puis Kara décida de prendre la maison en main. Son père n’étant plus en état de gérer quoi que ce soit. La jeune fille s’était forgé un caractère et dirigeait sa maison en tentant de contenir son père. Elle entrainait ses chevaux, en leurs apprenant leurs vies futurs, puis tentait de soigner son père, le chemin était long mais c’était sa vie. Kara était sûre d’elle, déterminée et ne se laissait pas abattre facilement. Elle était telle que sa mère l’aurait voulue…
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ɤ Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Emeline, 18 ans, F ɤ Fréquence de connexion ; Tout les jours ! ɤ Que pensez-vous du forum? ; Une histoire mêlant, magie, temps médiéval, complot et aventure ? Mais j'adore !!!!! ɤ Comment l'avez-vous découvert ? Bazzart ɤ Code du règlement ; Validation par Avalon ! ɤ Célébrité choisie ; Nora Arnezeder ɤ Credits (avatar, icon etc.) ;Bazzart

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE WORLD.

Un sacré caractère pour une jeune demoiselle ! Fais bien attention à tes fautes en RP et tout ira pour le mieux ! Amuse-toi bien parmi nous ! .

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !