nom et prénom : Moss, Liara Nymeria âge : 27 ans. contrée de naissance : Sermar allégeance : Je serais désormais incapable de me soumettre  statut du sang : Noble oui, enfin, plus ou moins race : Humaine. statut civil : Célibataire. orientation sexuelle : Hétérosexuelle. métier ou fonction : Pirate. faction ou guilde : Confrérie des Pirates. rang : Je ne suis pour l'instant que simple membre. armes possédées : J'ai un arc long très orné et décoré, qui a un équilibre parfait et me permet une bonne visée à longue distance. Il porte les armoiries de ma famille. Et puis, je porte aussi à ma taille un cimeterre très aiguisé, dont la lame est conservée en bon état et la poignée est sobre, mais jolie.

ɤ une tentative d'assassinat a eu lieu durant le tournoi organisé en l'honneur du roi halbarad ii, les rumeurs disent qu'il s'agissait d'un membre du conseil des sombrelames, pensez-vous que la guilde soit devenue une menace pour le royaume ? Plus le temps passe, plus je me persuade que donner trop de pouvoir à une seule personne est nocif. Et c'est la raison pour laquelle le roi a été assassiné. Il est censé régner sur des personnes qu'il ne connait pas, dont les coutumes le dépassent parfois, une grande partie qu'il est incapable de comprendre. Que sait-il de la pauvreté? D'une mauvaise chasse, d'une mauvaise péche? Si vous volez savoir ce que je pense, c'est que les hommes devraient etre libres et on devrait trouver un moyen de régner par consensus et non juste parce qu'on estime qu'un sang vaut mieux qu'un autre. Quant aux Sombrelames.... Ce sont des assassins. Mais les assassins sont rarement à la solde d'eux-memes et s'ils se sont engagés dans un assassinat, c'est qu'il y avait d'autres intérets derrière. Plutot que de me pencher sur les Sombrelames, je tenterais plutot de voir qui sont les personnes qui en tirent les ficelles. Une fois de plus, je ne doute pas que nous arrivions d'une manière ou d'une autre à la noblesse.ɤ  les animaux qui peuplent la forêt de pestebois semblent être devenus fous. des villages entiers ont subis des attaques de loups géants, une odeur nauséabonde se dégage de pestebois, tout semble pourrir et n'être que chaos, jusque dans le cœur des hommes. pensez-vous que cela annonce le retour d'un enclin ? J'ai grandi près de la foret et meme si désormais mes contacts avec elle sont limités, ces nouvelles suscitent ma méfiance. Il n'était pas rare qu'on découvre une nouvelle maladie auprès des animaux, néanmoins... Néanmoins cette pestilence est inquiétante et avec mon père j'ai appris à croire à tout ce qu'on traite de légende dans le monde de la noblesse. Alors oui, je pense que l'Enclin peut revenir. On ne peut jamais totalement éradiquer le mal, n'est-ce pas? Ce serait tellement facile autrement. ɤ suite à la destruction d'une partie de la tour du cercle, des mages ont tenté de s'enfuir et ont été violemment abattus par les templiers, un vent de révolte souffle parmi les mages, qu'en pensez-vous ? Ils ont raison! Les mages ont été suffisamment emprisonnés et asservis, sous prétexte qu'il y a de mauvaises graines et surtout sous prétexte d'oublier le passé plutot que d'en tirer les leçons. Les mages ont toujours été une partie importante de notre société, selon ce qu'en dit mon père. Meme s'ils ne l'étaient pas, toute personne devrait etre libre de choisir son destin et non seulement quel chemin il empruntera pour atteindre le prochain étage de la tour. ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? Je n'ai pas vraiment le choix en tant que pirate. Je dois me soumettre à la Confrérie pour assurer un minimum de controle auprès des pirates. Mais j'ai d'autres raisons aussi... Mon père n'a pas de garçons, du moins pas qu'il connaisse. Pour lui, pour son honneur et pour sa fierté, j'aimerais que son nom reste au sein des Maitres et prendre sa place. J'ai de l'ambition et j'ai du talent, je compte bien prendre la place de mon père lorsqu'il sera l'heure pour lui de se retirer. Jusque là, je gagnerai le respect des pirates qui croisent mon chemin et je prouverai que ma chevelure dorée  est loin de faire trembler ma main lorsqu'il s'agit d'égorger un homme.

Quoi que vous puissiez imaginer en me voyant, c'est sans doute pas ça. Et quand je dis sans doute, je pense assurément. Mes longs cheveux blonds lâchés sur mes épaules, j'observe l'équipage de mon père boire et se soûler, pendant que mon père lui-même entame une chanson des plus vulgaires. Au début il n'osait pas le faire devant moi, mais vu comment je m'étais fait à la vie de pirate, il avait fini par arrêter de me considérer comme une fleur délicate et avait commencé à me considérer comme le fils solide sur lequel il pouvait compter. Un homme me regarda avec désir et curiosité. Une fille comme moi, je devais sans doute être la prostituée de bord, là pour satisfaire les désirs de l'équipage. Oh, il n'était pas le premier et ne serait sans doute pas le dernier. Mais la question que je me posais était surtout: Ai-je envie de commencer une bagarre dans le bar ce soir? Je regardai mon verre et décidai que je n'avais pas assez bu. Je me contentai de lui adresser un sourire en coin. Son heure viendrait aussi. Comme elle vient pour tout le monde, comme elle est venue pour moi.

J'avais 14 ans. Fille d'Akiena et Rand Moss, petite soeur de leurs trois garçons, j'étais promise à un brillant avenir. Je devais monter les échelons de la société, je devais faire briller l'honneur de ma famille grace à mes longs cheveux blonds et mes brillants yeux verts. Ma mère m'offrait l'éducation la plus parfaite et dès que j'avais un moment de libre, je partais jouer avec mes grands frères. Ils ne m'avaient jamais considérée comme une fille, loin de là. Ils se plaignaient sans arret de l'injustice que c'était que de les obliger eux à apprendre à se battre et pas à moi. Mon père avait donc également fini par accepter que je poursuive un entrainement de tir à l'arc, au moins pour faire honneur à la famille. C'était la seule concession qu'il avait faite, mais cela me suffisait, car j'adorais ça. Bien que j'eusse la possibilité de toujours apprendre à tirer à l'arc à la maison, mon père refusait que je les accompagne à la chasse et je me sentais perpétuellement enfermée dans ce lieu ou on m'habillait des plus belles robes et me sertissait des plus beaux bijoux. J'avais l'impression d'etre un instrument, d'etre une poupée qu'on utilisait à sa guise, tout comme j'utilisais la poupée que ma mère m'avait offerte à ma naissance. J'étais malheureuse, j'étais une jeune fille qui revait de vivre les aventures de mes frères et chaque jour était une frustration supplémentaire. Surtout lorsque j'appris que mon père commençait à arranger mes fiançailles... Le pire, c'était que je ne l'avais meme pas entendu de mes parents. Je l'avais entendu de domestiques qui disaient à quel point cela les attristait que je doive subir ce sort. C'était la goutte de trop. J'avais soif d'aventures et je ne comptais pas rester enfermée à attendre que mes parents me marient à un homme plus agé que moi qui ferait de moi un misérable trophée.

Je fis alors ce que toute fille riche fait dans ces cas là... Je pris la fuite. Je revetis la cape la plus sobre que j'avais et me faufilai hors du domaine. J'allai sentir les marasmes du marché, l'écoeurante odeur des hommes du peuple qui ne bénéficiaient de nos moyens. Mais très rapidement, je dus me rendre à l'évidence que mon plan avait une faille, car je ne savais que faire maintenant que j'avais quitté la ville. Une enseigne attira mon attention et je la suivis. Si je me rendais à l'étable de la Taverne, je pourrais sans doute voler un cheval et m'en aller... Je me faufilai donc discrètement, entendant mes souliers délicats s'enfoncer dans la saleté de la rue, sentant la saleté pénétrer et atteindre mes pieds. Mais je repérai deux ombres qui se mouvaient dans l'étable et me cachai avant quu'ils ne puissent me repérer. C'est là que j'entendis les voix. Une voix inconnue, mais une autre que j'aurais repérée entre mille. Une autre que je n'aurais confondue pour rien au monde, car elle m'avait chanté des berceuses depuis ma naissance et elle me rassurait tous les soirs en tressant mes cheveux. L'homme lui demandait pourquoi elle avait pris tant de temps et elle répliquait qu'elle l'avait attendu trois ans, alors qu'il n'avait rien à dire. Et puis suivirent des bruits de baisers, et puis des murmures, et ils parlaient encore. Il demandait des nouvelles de l'enfant et ma mère ne parla que de moi, en regrettant en un murmure que mon caractère ressemble autant à celui du propriétaire de la voix, en regrettant que je sois tellement sa fille à lui que je devenais difficile à controler.

Rien ne prépare une jeune fille à ce genre de surprises. Rien ne prépare une demoiselle à apprendre que toute sa vie était un mensonge. J'écoutais d'une oreille ma mère parler de moi et l'homme dire qu'il aimerait me rencontrer, m'expliquer qui il est vraiment et ma mère supplier de ne pas le faire, de me laisser vivre ma vie, de me laisser dans une ignorance qui serait ma sécurité. Ma tete tournait et j'entendais les bruits de baisers encore et je voulus me tourner, au moins voir qui était cet homme à qui ma mère parlait de moi comme si je n'étais pas la fille de mon père. Mais ce que je vis m'alarma, car une autre ombre observait la scène et c'était un des hommes de confiance de mon père. Je hurlai pour alerter ma mère, qui se releva et vit l'ombre courir, avant de se précipiter vers moi et m'enlacer, me murmurer des mots rassurants et m'entrainer ailleurs. L'homme s'était relevé d'un bond et avait attrapé un cimeterre, mais son regard s'était fixé sur moi, comme si j'étais une merveille. Ma mère m'entraina avec elle sur un cheval et dit à l'homme qu'il devait partir, tout en faisant démarrer le cheval. L'homme hurla au cheval s'éloignant qu'il ne partirait pas avant de nous savoir en sécurité.

Ce fut la semaine ou toute ma ie changea, et sans doute aurait-elle du etre un brouillard de souvenirs... Pourtant, tout me semblait si clair. Je ne me souvenais pas avec autant de clarté de ma dernière bataille, mais tous ces évènements étaient écrits dans ma mémoire et ne semblaient pouvoir s'effacer... Je me souvenais du retour à cheval et du discours de ma mère mot à mot. De comment elle m'expliquait qu'elle avait pris la fuite pour ne pas se marier, de comment elle était tombée sur ce pirate et lui avait demandé de la prendre dans son équipage, de comment ce pirate l'avait regardée de haut et avait accepté pour mieux se moquer d'elle, de comment elle s'était donnée corps et ame aux taches sur le navire et de comment elle était tombée amoureuse de ce pirate et le sentiment était mutuel. Et que c'est pour cette raison pour le pirate l'avait lachée dans la ville la plus proche, après trois mois, pour lui offrir la meilleure chance. Elle avait du partir, mais elle savait que c'était pour le mieux pour elle. Mais cela ne l'avait pas empechée d'aller le rechercher à chaque fois que son bateau faisait port dans sa ville, ça ne l'avait pas empechée de l'aimer encore et encore, et puis d'entretenir avec lui une relation irrégulière et pourtant puissante. Et que cela ne l'avait pas empechée de porter son enfant, qui fut la plus belle chose qui lui fut offerte. Elle pleurait en me racontant son histoire et je ne comprenais toujours rien. Je ne comprenais pas pourquoi elle n'était pas partie plus tot, je ne comprenais pas pourquoi elle n'avait pas pris la fuite pour vivre son amour, je ne comprenais pas pourquoi elle me le disait maintenant. Mais elle m'expliqua qu'une fois qu'elle avait eu mon premier frère, il n'était plus question de s'éloigner. Et puis que je n'aurais pas du l'apprendre, mais que maintenant, elle ne pouvait plus me mentir, au vu de ce à quoi j'avais assisté et tout ce qu'elle avait dit. Elle s'excusa platement, une fois, deux fois, trois fois, elle me demanda pardon. Mais cela ne me servait à rien, car je ne lui en voulais pas. Loin de là, je n'avais pas le temps de lui en vouloir. Je pensais à cet homme que j'avais vu et à la manière dont il me regardait. Je pensais à la manière dont celui qui était censé etre mon père me regardait comme un parasite, comme un objet. Je pensais à ce qui était vrai et ce qui était faux et je ne savais plus rien. Je vécus dans un brouillard le retour. Le bain, le diner, le coucher, tout cela se passa dans le brouillard le plus complet pour moi. J'étais beaucoup trop perdue dans mes pensées... Et je l'étais encore, lorsque mon grand frère entra en trombe dans ma chambre pour me réveiller, m'habiller et m'emporter.

Il m'expliqua que je devais partir, que Père avait tué Mère et qu'il allait me tuer aussi, car il ne pouvait pas admettre cette trahison et que jamais une femme ne devrait avoir de batards. J'exécutai les ordres de mon frère, sans comprendre, je n'avais dans la tete que la réflexion que ma mère était morte et que je ne la verrais plus. Que c'était fini. Je demandai à mon frère ou nous allions et il me dit que le moins j'en savais, le mieux je me porterais. C'est ainsi que j'arrivai aux bras de ce pirate, je le découvrais maintenant. C'est ainsi que je fus laissée à la charge de celui qui m'avait créée, par mon frère qui le regardai de manière méprisante en disant que comme le pirate avait tué sa mère, il devait sauver sa fille. Je me mis à pleurer et à m'accrocher à mon frère en disant que je ne voulais pas partir. Mais il me prit par les épaules et me dit qu'il serait toujours mon frère, mais qu'il voulait que je vive. Il m'offrit son arc et me dit de m'en aller, me laissant aux soins du pirate qui était mon père. Que je ne savais encore appeler père, mais que j'apprendrais rapidement à apprécier comme tel.

Perdue dans mes souvenirs, je n'avais pas vu le temps passer et je vis maintenant l'homme du bar s'approcher de moi, me demander mon nom et poser sa main sur ma cuisse. Ce n'était pas le premier et ce ne serait pas le dernier. Brutalement, j'attrapai son poignet et la pliai dans son dos, avec mon autre main, collant sa tete contre la table. Je suis Liara, fille de Arn le Danseur et personne ne pose ses sales pattes sur moi. Au début, mon père me protégeait. Ce fut le cas la première année de ma présence sur le bateau. L'équipage avait l'ordre formel de ne pas me toucher et de ne pas me regarder. Je commençais à etre une femme, j'étais une distraction pour une partie de l'équipage. Mais jamais mon père ne leur permit de me toucher. Il me prit sous son aile et me laissa le temps qu'il fallait pour faire le deuil de ma mère, car lui-meme était en deuil. Mais après, il ne me laissa aucun répit. Dès qu'il me vit prete, il m'apprit tout ce que je devais savoir. Comment naviguer, comment me battre, comment mener une stratégie. Je compris rapidement pourquoi on l'appelait le Danseur lorsque je le vis se battre. La fluidité de ses mouvements et son agilité hypnotisaient. Il se battait avec ses deux cimeterres avec la grace d'une danseuse et tuait avec une efficacité redoutable. Et il me transmit tous ses secrets et toute ses méthodes, m'expliquant la loi du pirate qui était de tuer ou de se faire tuer. Il était sans merci lorsqu'il m'entrainait et cela paya... Lors de notre premier abordage, je soutins l'équipage grace à l'arc que mon frère m'avait laissé. Mais c'est alors que je les suivis à terre, un an et demi après mon arrivée, que je gagnai le respect des hommes. Lorsqu'un moins que rien comme celui qui venait de m'aborder tenta sa chance, il finit castré, car personne ne me touchait.

Cet évènement permit aux hommes de me voir comme plus que la fragile fille du Capitaine et cela permit aussi au Capitaine de me prendre plus au sérieux. Je voyais la fierté dans ses yeux à chaque fois que mon cimeterre tranchait la chair, à chaque fois que ma flèche transperçait un organe, mais aussi simplement à chaque fois que je souriais. Je lui rappelais ma mère, je le savais. Mais je savais aussi qu'il m'aimait au moins autant que je l'aimais. Alors je faisais de mon mieux. Il était la seule personne à m'avoir acceptée comme j'étais et j'avais dans l'idée de lui rendre honneur. Je continuai à me faire une place parmi les pirates et non seulement parmi l'équipage. Voilà 13 ans que ma maison était la Perle de Jara, voilà 6 ans que j'opérais en tant que second de mon père et j'espérais qu'un jour je pourrais prendre sa place au sein de la Confrérie. En attendant, il éclata de rire en me voyant continuer à frapper sur la tete du malotru qui m'avait touchée, pendant que les autres hommes commençaient à s'offenser. C'était reparti pour un tour et il sortit ses cimeterres pour offrir un nouveau spectacle de danse.

Quant à la famille Moss, me direz-vous? Ils ont déclaré la mort de ma mère et de moi-meme et continuent à vivre leur petite vie. Ils n'auraient jamais avoué à qui que ce soit la trahison de ma mère, car cela mettrait en doute la famille au complet. Jamais je n'ai pu revoir mon frère, mais j'espérais un jour pouvoir avoir la tete de celui qui avait été mon père. Oeil pour oeil, dent pour dent, cet homme me devait encore un parent.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Malow, 24 ans, femme je crois. ɤ fréquence de connexion ; Mettons 3/7 pour commencer. ɤ que pensez-vous du forum? ; Un parfait mélange de mes jeux et des mes histoires préférées sur un décor sombre. J'adore!  ɤ comment l'avez-vous découvert ? Aandy (ou Harlew Sno?)  ɤ code du règlement ; Validation par Ava ɤ célébrité choisie ; La magnifique Jennifer Morrison. ɤ credits (avatar, icon etc.) ;Aandy & Tumblr pour le montage

Bravo l'ami ! T'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! Pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE WHEEL OF FORTUNE.

Encore milles excuses pour le retard, j'ai vraiment honte ! >< En tout cas, joli personnage et fiche agréable à lire alors, amuse-toi bien sur le forum belle pirate.

Par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! Tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. Rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. Ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de RPs. C'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit RP. Pour nous aider à mettre à jour rapidement les annexes, n'oublie pas de remplir ce formulaire ici !

Encore avec nous ? Parfait ! Si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. Ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? C'est ici qu'il faut aller demander. Maintenant, ton personnage est bien installé ! Aaahn dernière petite chose. Si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. Encore de l'inspiration ? N'hésite pas à lier ton personnage à des PVs déjà écrits. C'est par là que ça se passe !

Néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le RP. C'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. Tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? N'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

N'oublie pas une chose ; amuse toi bien !