Alizarine Khan ɤ REGISTRATION : 29/12/2013 ɤ PARCHEMINS : 322 ɤ STATUT DU SANG : la roture, sans passer par la case savonnette à vilains, merci ɤ CONTRÉE DE NAISSANCE : née à Brenwall, en Alcahar ɤ METIER OU FONCTION : alleresse (servante de Gilraen & la Mère, dans un sens) & maître assassin, ça va bien ensemble ɤ INVENTAIRE : (toujours avec elle) un prénom de merde • un nom de famille inventé (qu'importe) • une vie de merde • des fringues rouges • deux poignards • des onguents • une paire de ciseaux • quelques rares bijoux • une sacoche dans laquelle elle pourrait presque transporter toute sa vie
(caché à Brenwall) un bocal de conservation longue durée (une sorte de formol médiéval) où un bébé mort-né attend patiemment qu'elle remplisse le contrat qu'elle a avec les déesses Mère & Gilraen.
| Sujet: (M) CHRISTOPHER LEE ㄨ alchimiste / vieux fou / ami des bêtes Sam 15 Mar - 15:06 | |
| greybeard "le fou" aranorlibre • christopher lee carte d'identité nom et prénom : greybeard, une famille de noblesse souillée par la roture, sans que ça ne dérange grand monde. aranor, prénom pas forcément porteur de chance. âge : 80 ans. contrée de naissance : sermar. allégeance : à celui qui lui sauvera la peau. statut du sang : famille issue de mésalliance, bourgeois race : humain. statut civil : veuf, deux filles, et plusieurs petits-enfants. orientation sexuelle : fut un temps, les femmes l'intéressaient. Et puis son épouse est morte, et il a cessé toute activité sexuelle. métier ou fonction : alchimiste & apothicaire (faut bien donner l'impression que tout est net). faction ou guilde : guilde des alchimistes… le problème, c'est qu'ils sont à ses trousses, depuis maintenant dix ans. tout ça parce que le brave homme a décidé de trouver une forme diablement plus efficace du feu grégeois. rang : maître alchimiste qui a chaud au cul (pas dans le sens douteux, hein). armes possédées : foncièrement, il n'en possède pas de physiquement repérable. mais les fioles qu'il trimballe dans ses sacoches sont tout aussi létales qu'une lame aiguisée.. | attentes & exigencesAlors, si vous êtes là, c'est que vous vous demandez ce qu'un vieux fou peut avoir de marrant dans sa vie. Eh bien c'est simple : Aranor est un alchimiste qui est persuadé qu'il peut faire changer les choses en trouvant un dérivé du feu grégeois plus puissant et plus concentré. La Guilde a moyennement apprécié qu'il se lance dans des recherches pareilles, et certains ont tenté de le discréditer en le cataloguant comme un vieux timbré. Il sera d'ailleurs possible d'exploiter le côté frappadingue si ça vous amuse. Mais sinon, plus précisément, j'attends de vous un RP de qualité (meaning orthographe & grammaire nickel —les fautes d'inattention peuvent passer, mais vous voyez, quoi ; + capacité à relancer l'action & amour des plans foireux). Parce qu'Aranor n'a peut-être pas l'air comme ça, mais c'est un nid à plans foireux :cretin:et c'est pour ça que je voudrais le voir joué | histoire d'un aller et retour En quelques points rapides : il est né en Sermar, là où vous voulez. Il a voyagé un peu et connait très bien les recoins planqués de Cahoridie. Son père était alchimiste avant lui, et c'est lui qui lui a appris les rudiments de l'art avant de le faire entrer dans la Guilde, en apprentissage chez un de ses amis. Aranor avait environ quinze ans. À cause du Culte des Trois, il a quand même appris à faire semblant d'être autre chose que ce qu'il était, et a officié pendant longtemps comme apothicaire là où vous voulez. En 1592 (20 ans avant le début de l'intrigue), il a commencé à perdre la boule et à se dire qu'il fallait qu'il réalise des exploits en alchimie. Il a réussi à se mettre la Guilde des Alchimistes sur le dos avec cette histoire, et il s'est fait la malle en Yelderhil, et a fait la navette entre la Cité Libre et Sermar pendant une quinzaine d'années. Le problème, c'est qu'avec le retour de créatures étranges en Pestebois et Sombrebois, il se dit que ça serait peut-être le temps de trouver ce qu'il cherche, soit une arme alchimique qui remettrait la Guilde sur son piédestal.
Ce qui suit est un ensemble de racontars sur Aranor. À vous de décider si vous choisissez de leur donner un fondement, ou pas. En somme, j'vous file des pistes, et je vous laisse vous approprier le vieux grigou. « Sa femme était aussi lumineuse qu'il est sombre. - Arrête, elle était constamment déprimée. Et puis Aranor est pas particulièrement enjoué, hein. » « Pourquoi est-ce qu'on doit le tuer, déjà ? - Ce vieil imbécile veut inventer un truc encore plus dangereux que le feu grégeois. - Ah oui, ça explique qu'on le poursuive. J'pensais pas ça de lui. » « Il a commencé à perdre la boule il y a vingt ans. Il est devenu sénile. Il sait plus ce qu'il fait. Ça sert à rien de le zigouiller. » « Quand il était gosse, il parait qu'il se prenait pour une grenouille et croassait à chaque fois qu'un passant l'approchait. » « Il sait lire, écrire, et compter. - C'est un apothicaire, vaut mieux qu'il soit instruit, non ? » « Des longs cheveux blancs et une barbe fournie, tu peux pas le rater. - L'air fou qui va avec ? - Il n'est pas si fou que ça, tu sais. Pour un peu, des fois, c'est vrai, il me ferait presque peur, mais quand même. » carnet d'adressesalizarine khan ɤ dette payée Il y a quinze ans, l'alleresse est passée en Sermar et a aidé une des filles d'Aranor à accoucher. L'alchimiste n'avait pas de quoi payer, et sa fille était à sa charge (fille-mère, bravo la famille !). Ils se sont entendus tous les deux, Alizarine considérant qu'il s'agissait d'une simple dette qu'il paierait par la suite, si elle avait besoin d'un onguent. Et puis, un jour, elle est arrivée et lui a demandé un bocal de conservation très longue durée, comme ce qu'il avait pour ses bocaux de salamandre et autres étrangetés. (suite au prochain onglet) alizarine khan ɤ (suite du lien) Elle n'a jamais cherché à préciser pourquoi et comment, et il s'est bien gardé de le lui demander. Il avait des problèmes propres et ne moquait bien de ce qu'elle voulait conserver. Et pourtant, quelque chose lui dit qu'il aurait sans doute mieux fait de refuser de rembourser cette dette. Il l'a entrevue, une fois, à Yelderhil, sans qu'elle ne le voit. Le fou reconnait ses semblables, et ce qu'il a vu, les ravages de la folie sur le visage de la femme rouge, l'a pétrifié. prénom p. nom ɤ type de lien textetextetexte. prénom p. nom ɤ type de lien textetextetexte. prénom p. nom ɤ type de lien textetextetexte. prénom p. nom ɤ type de lien textetextetexte. |
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