nom et prénom : Eponine Diana Serexos. âge : vingt-deux ans. contrée de naissance : Terremer. allégeance : Elle n'obéit à personne. statut du sang : Eponine est noble de naissance, mais elle ne le sait pas. race : Humaine. statut civil : célibataire. orientation sexuelle : Bi-sexuelle, bien qu'elle est une préférence pour les hommes. métier ou fonction : Prostituée. faction ou guilde : facultatif. rang : votre rang au sein de la faction ou de la guilde. armes possédées : Eponine a toujours une arme sur elle et ce depuis toujours. C'est une dague assez pointu et coupante pour asséner un coup fatale.

ɤ que pensez vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Ayant toujours vécu en Yelderhil, cet endroit où ne règne ni foi ni loi, je serais bien incapable de donner un avis quelconque sur la question. Bien que mon protecteur me soit souvent parlé de Cahoridie et de la famille Hammer, la branche royale j'entends, il m'est impossible de vous dire que selon moi Halbarad II sera plus à même de régner aujourd'hui plutôt que dans quelques années et vice-versa. Je verrais dans les mois qui suivront si ce jeune prince, aujourd'hui Roi, est capable de diriger un Royaume ou non. Et puis, sa mère est régente, je pense que cela devrait suffire. ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Nous n'avons pas entendu parler des engeances depuis des siècles, à dire vrai, les vieilles utilisent ces histoires pour faire peur aux enfants qui ne sont pas sages. Mais, parce qu'il y a toujours un mais, je pense qu'elles peuvent toujours être une menace. Qui sait ? Elles n'ont peut-être pas disparu, ce n'est peut-être pas qu'un mythe ... Du coup, la garde des ombres est-elle encore nécessaire ? Oui si les engeances existaient toujours ... ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. a vos yeux était-ce juste ? la magie est elle une chose à proscrire ? Tous les mages ne sont pas méchants, il y en a qui ont aidé le monde. Est-ce juste de juger tout un peuple sur l'acte d'une seule personne ? Je ne pense pas ... On raconte que la magie pouvait accomplir des miracles, qu'elle pouvait être belle, pure et bonne, je crois qu'elle fait partie de notre monde et bien que certains veulent s'en débarrasser, je pense qu'ils n'y arriveront jamais. C'est l'essence même de Kahanor ! ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? Je ne connais pas la forêt de Sombrebois, j'ai entendu, vaguement, parler de ce qui s'y passer, mais je n'ai pas de réel opinion. Je me suis toujours sentie en sécurité, bien que je sache que ce n'est pas toujours le cas. Peut-être que le gouvernement devrait s'en préoccuper, mais qui suis-je pour donner mon avis à ces gens-là ?ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre votre faction/guilde plutôt qu'une autre ? ne répondez que si vous appartenez à une guilde/faction. merci de détailler un maximum votre réponse !

ɤ  An 1 612, Yelderhil, la Cité Libre, quelques semaines plus tôt :

« Eponine, ma douce Éponine ... Quand te décideras-tu à m’épouser ? » sa main est posée sur la cuisse de la jeune femme. Il vient de lui faire l’amour, de la posséder. Elle ferme les yeux et respire calmement. « Je t’aime, tu ne comprends pas ? » la belle Éponine ouvre ses yeux et pose son regard de glace sur l’homme. « Tu ne m’aimes pas Tristan ! Tu aimes me posséder, tu aimes le fait que je t’appartienne ! L’attention que tu me portes n’est en aucun cas de l’amour et c’est pourquoi je refuserais toujours de t’épouser. » Il la regarde se lever et se diriger vers le paravent, il devine sa silhouette à travers les panneaux de soie. Eponine enfile une robe légère de voile vert d’eau et relève ses cheveux bouclés au-dessus de sa nuque. Elle a chaud, d’autant plus après les ébats de cet après-midi. Tristan se lève à son tour et se dirige vers elle, l’enserrant à la taille d’une main, il attrape sa crinière avec l’autre. « Tu ne manquerais de rien avec moi, je t’offre déjà tout ce que tu veux. Tu as une demeure, des gardes, des bijoux, des soieries. Regardes-toi, tu es plus riche qu’une noble de n’importe lequel des sept Royaumes. » Éponine se retourne pour lui faire face et plante son regard dans le sien. « Tu n’es pas assez riche pour faire de moi ce que tu dis... Bien que j’apprécie tous tes cadeaux à leur juste valeur et c’est bien pour cela que j’ai accepté de ne coucher qu’avec toi ! » Il l’embrasse tendrement, passionnément, avant qu’elle ne se dégage de l’étreinte et qu’elle ne quitte la chambre d’un pas décidé. Eponine a faim et Éponine ne se laisse pas marcher sur les pieds si facilement. Elle se dirige dans les cuisines et demande à l’une des cuisinières de lui préparer du jus et une salade de fruits. Elle se pose sur l’une des chaises longues qui ornent la terrasse. Elle sait qu’elle a beaucoup de chance d’être tombée sur Tristan, elle sait que sans lui, elle serait toujours dans l’un des bordels du centre-ville et qu’elle serait maltraitée une fois de plus. Elle sait aussi que sans lui, elle n’aurait peut-être pas survécu aussi longtemps. Elle jouit d’une protection sans failles et elle a même des gens sous ses ordres. Eponine n’aurait pas pu rêver mieux ! Mais Éponine n’est pas amoureuse, Éponine ne se leurre plus, elle reste de glace. Elle entend les pas de Tristan dans le corridor, il a mis ses chaussures, elle sait qu’il s’en va. Qu’il retourne sur le continent... Elle l’entend qui s’arrête et hésites à se retourner. Les bruits de pas reprennent et elle est surprise de les entendre se rapprocher. « veux-tu venir avec moi sur le continent . Je te montrerais comment je vis et comment tu pourrais vivre si tu m’épousais... » Éponine hésite, elle ne le regarde pas, son visage fixe l’eau calme qui dort dans le bassin. Elle a toujours rêvé de quitter la Cité libre et de se rendre sur le continent, elle a toujours voulu y aller. Son jus arrive et l’odeur des fruits fraichement coupés lui parviennent aux narines. Elle croque dans la chair juteuse de l’un d’entre eux, laissant couler un peu de jus sur les commissures elle se lève et se tourne vers Tristan. « Il y aura des consignes, alors dis-les-moi tout de suite. » ce n’est pas encore un oui, mais ce n’est pas un non. Tristan le sait, il sourit. « Tu ne pourras pas t’habiller ainsi et il faudra que tu te comportes en Lady. » Éponine soupire, elle tourne la tête d’un geste qui se veut désinvolte. « ne le suis-je pas déjà ? » Elle se dirige une nouvelle fois vers sa chambre, hélant au passage un des domestiques. Tristan l’entend donner ses directives et se rend au port afin de donner les siennes. Lady Éponine Serexos sera du voyage.

ɤ  An 1 593, quelques part sur les eaux de Kahanor :

« Mon Seigneur, je vous avais averti qu’emmener une femme à bord porté malheurs ! » le Seigneur Marcus Alcrest rester de glace, il lança un regard au capitaine du navire. « ce ne sont que des superstitions, rien de plus ! » le Capitaine du navire fit un geste de la main vers l’horizon, il était énervé et cela se voyait, mais il essayait de se contenir devant son Seigneur. « ce sont des pirates et ils viennent pour nous ! J’espère que nous les mettrons en déroute où je ne donne pas chère de votre femme et de vos deux filles. » le Seigneur se leva et s’approcha du Capitaine, celui-ci se sentit étrangement diminué et il se ratatina sur lui-même. Le Seigneur Alcrest mesurait presque deux mètres et avait une carrure des plus impressionnantes, souvent, les personnes qui l’entouraient n’osaient pas le défier. Le Capitaine se retourna vers son équipage et donna des ordres, ont sorti les pistolets et on prépara les canons. Le Seigneur se rendait dans sa cabine où son épouse et ses deux filles attendaient. « Astoria, il vous faut vous cacher. Des pirates se dirigent dans notre direction, nous essayons de prendre de la vitesse, mais s’ils accostent, ils pourraient vous blesser, les filles aussi. » Astoria, l’épouse de Marcus, s’approcha de son aimée, elle lui déposa un baiser sur les lèvres avant de prendre ses filles par la main et de les emmener dans l’autre pièce. Elle jeta un dernier regard à son époux avant de s’emparer d’une dague. « Mère ? Allons-nous revoir père ? » la petite fille blonde levait ses yeux sur sa mère.« Je ne sais pas Elizel, nous devons être forte quoi qu’il arrive et il faudra veiller sur votre jeune soeur Éponine. » Elizel serra sa soeur contre elle et prit un regard déterminé. L’attente fut longue et c’est lorsque Lady Astoria entendit le premier coup de canon qu’elle sentit son coeur battre à tout rompre. Elle serra la poignée de sa dague et plaça ses filles derrière elle. Elle ferait tout pour protéger ses plus beaux bijoux, Elizel et Éponine étaient ce qu’il y avait de plus précieux à ses yeux. Les pirates réussirent à s’emparer du navire. Il y eut des coups de feu sur le pont supérieur et Astoria entendit des pas dans la cabine, la porte s’ouvrit et elle fendit sur ses agresseurs. Elle réussit à en blesser un avant qu’un deuxième ne s’empare d’elle et lui tranche la gorge. Elizel fit bouclier afin de protéger sa soeur, mais elle reçut un coup à la tête qui la plongea dans un autre monde. Eponine, seule et trop petite pour se défendre se fit attraper. Ils laissèrent Astoria et Elizel dans la cabine, pensant qu’elles étaient toutes les deux mortes. Ils remontèrent sur le pont et emportèrent la petite avec eux. Leurs motivations ? Il n’y en avait pas vraiment. Ils auraient pu la tuer, mais ils avaient préféré l’emmener dans la cité libre, la vendre comme esclave, elle pourrait peut-être rapporter de l’argent. Le bateau fut laissé à la dérive pendant que les pirates reprenaient leurs routes vers Yelderhil.

ɤ  An 1 608, Yelderhil, dans les alentours de la Cité libre :

« Je cherche une demoiselle ! » L’homme ne se présenta pas, mais déjà Miza savait qu’il devait être un homme puissant et riche. Elle le regarda attentivement, voulant le juger tout en réfléchissant aux demoiselles qu’elle pourrait lui proposer. « Il y a Diana, elle est divine et je suis certaine que vous l’apprécierez. » Miza invita l’homme à la suivre. Elle s’arrêta devant un mur ciselé. Miza pointa son doigt vers une demoiselle. « Diana est à gauche, celles aux longs cheveux blonds, elle porte une robe de couleur rose. » L’homme porta son attention sur la demoiselle que la matrone lui décrivait. « D’où vient-elle ? » demanda-t-il. « Je ne sais pas. Nous l’avons trouvée dans les rues de la cité libres lorsqu’elle n’était qu’une enfant. » Il acquiesça et demanda à Miza qu’elle lui soit emmenée dans sa chambre. Pendant qu’il se dirigeait vers l’une des suites de la maison aux plaisirs, Miza rejoignit Diana et lui parla de l’homme. Diana se rendit dans la suite et commença alors une discussion. Une longue discussion qui dura des heures. Diana apprit beaucoup ce jour-là et l’homme se rendit compte que la demoiselle n’était pas dépourvue d’esprit. Bien sûre, Diana était une prostituée, mais ce jour-là, elle n’eut pas besoin de vendre son corps. L’homme revint les jours suivants, il désirait voir Diana et personne d'autre. La demoiselle appréciait la compagnie de cet homme dont elle ne connaissait rien, mais elle ne comprenait pas pourquoi ce dernier ne la touchait pas. « ne suis-je pas à votre goût ? » demanda-t-elle un jour. « si, tu es la femme la plus belle que j’ai rencontrée jusqu’à aujourd’hui et c’est pour cela que je ne te touche pas, je ne veux pas salir ta beauté. » Diana fut surprise. Il s’en alla et le lendemain il ne se montra pas. Diana ne reçut aucune visite les semaines qui suivirent et elle l’oublia. Un jour, deux hommes vinrent la chercher et déposèrent une somme gracieuse à Miza. Diana fut obligée de faire ses affaires et de suivre les deux hommes, elle venait d’être vendue. Elle s’attendait à tomber aux mains d’un de ses anciens clients, un de ces hommes qui l’avaient maltraités à plusieurs reprises, mais il n’en fut rien. On l’emmena dans une somptueuse demeure où des gardes et des domestiques attendaient. « Nous sommes à votre service Dame Serexos. » Diana ne comprit pas. Elle passa la journée dans la demeure. Elle découvrit les pièces, les tentures, les jardins. Le soir tombait lorsqu’on frappa à la grande porte. Celle-ci s’ouvrit sur l’homme qu’elle avait rencontré quelques semaines plus tôt. « Elle te plaît . Parce qu’elle t’appartient ! Comme tout ce qui s’y trouve. » Diana écarquilla les yeux. « Je t’ai acheté parce que je veux que tu ne sois qu’à moi, je ne veux pas que quelqu’un d’autre pose ses mains sur toi. » si au début Diana fut réticente, elle finit par accepter ce que lui proposer l’homme. Elle apprit bien plus tard qu’il se prénommait Tristan et elle décida de lui donner son véritable nom à son tour, Éponine. La demoiselle était reconnaissante et n’avait plus à travailler et à subir des violences pour pouvoir survivre. Elle apprit que Tristan était un Seigneur, mais ce fut tout. Lorsqu’il lui demanda son histoire, elle lui répondit qu’elle ne savait pas qui elle était. Que d’aussi loin qu’elle se souvenait, elle avait toujours vécu dans la maison aux plaisirs de Miza.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; K-Ro/22/F. ɤ fréquence de connexion ; Un peu tous les jours. ɤ que pensez-vous du forum? ; Je le trouve splendide, de même que le concept. ɤ comment l'avez-vous découvert ? Bazzart !  ɤ code du règlement ; Validé par Astoria. ɤ célébrité choisie ; Natalia Vodianova   . ɤ credits (avatar, icon etc.) ;répondre ici.