nom et prénom : Hendrik Sawkins. Il ne sait pas quel est son véritable patronyme, mais celui là lui correspond. Prénom de marchand et nom de famille légendaire pour tout pirate qui se respecte, il porte avec fierté cette identité qui est la sienne. âge : 25 ans, peut etre 24, ou bien 26, il ne le sait pas réellement, c'est simplement l'age qu'un inconnu lui donne lorsqu'il le rencontre.  contrée de naissance : Yelderhil, la chaleur, la faim, la soif, il est natif de cette contrée qui, bien qu'il la déteste pour de multiples raisons, lui est chère en son coeur. allégeance : Lucian Lawrence. Capitaine d'un bateau pirate, Hendrik en est le second. Il est le seul à avoir de l'autorité et ne serait-ce qu'une once d'influence sur lui. Il lui doit tout. statut du sang : Simple vagabond orphelin devenu ruffian, il n'est en rien quelqu'un de recommandable, mais mène à ses yeux une vie rêvée. race : Tout ce qu'il y a de plus humain. Et de plus masculin .. statut civil : Célibataire. A quoi sert-il de s'engager avec une personne, quand plusieurs filles valent mieux qu'une ? La mer est sa seule alliée, et son unique amour.  orientation sexuelle :   Hétérosexuel. Les filles et la mer ont un point commun : elles sont imprévisible. Et Hendrik adore ça. métier ou fonction : Pirate, second du capitaine Lawrence. Que demande le peuple ? faction ou guilde : La Confrérie des Pirates.  rang : Simple membre. Il est le second d'un des membres du conseil, cela lui suffit. armes possédées : Un sabre et un poignard incrusté de pierres précieuses. Il l'a trouvé dans un coffre dans la cale du capitaine lors de son premier sabordage aux côtés de Lucian, alors qu'il n'était qu'un adolescent.

ɤ que pensez vous de la mort du roi ? l’héritier étant encore jeune, arrivera-t-il à gérer le royaume selon vous ? Hendrik s'en fiche. Le roi, la royaume, l'autorité que le commun des mortel crains, fuis. Il ne se sent pas le moins du monde concerné par la mort d'un vieux gateux regretté de tous. Certes, ses différents voyages lui ont appris combien le roi était bon, et juste, mais il ne se sent pas concerné par le sort de l'héritier. Encore un gamin né avec une cuillère en argent dans la bouche. Beurk, quelle horreur. ɤ  a votre avis la garde des ombres a-t-elle encore lieu d'être ? les engeances ont-elles vraiment disparu ou la menace est-elle encore présente ? Les engeances. Peut être une des seules craintes du brun. Certes, la mer lui offre un refuge où rien ne peut l'atteindre, mais il reconnait que ces bêtes firent de Kahanor une contrée dévastée par le malheur. La garde est surement une des seules chances de survie du peuple, lorsque ces créatures viendront refaire surface. Ce dont Hendrik est intimement convaincu.   ɤ les mages ont été bannis sur une île près des côtes d'alcahar, étant désignés coupables de tout le mal qui s'abattait sur le continent. a vos yeux était-ce juste ? la magie est elle une chose à proscrire ? La magie. Un mot qui en fait rêver plus d'un. C'est grâce à elle qu'Hendrik a pu sauver son capitaine d'une mort certaine et il lui en sera à tout jamais reconnaissant. Cependant, les Engeances sont le fruit de manipulation magiques, et cela, Hendrik ne l'oubliera pas. Il ne déteste pas la magie mais reste méfiant à son égard. Comme pour tout, il préfère garder ses distances avec une force dont personne ne connait les limites. ɤ  la forêt de sombrebois regorge de créatures plus infâmes les unes que les autres, vous sentez-vous en sécurité malgré le fait qu'il se passe des choses étranges non loin de là ? le gouvernement devrait-il se préoccuper de ce qu'il s'y passe ? A quoi bon avoir peur de sa sécurité lorsque l'océan vous protège ?  Une bonne partie de chasse, voilà ce qu'offrent ces créatures ... ɤ quelles ont été vos motivations à rejoindre la Confrérie des Pirates plutôt qu'une autre ? La liberté. Ce simple mot résonne comme le plus doux son aux oreilles de Sawkins. La piraterie l'a sorti de la rue, lui a ouvert les yeux, l'a fait se révéler tel qu'il est : un ruffian séducteur et assoiffé de vengeance. Lucian est son mentor, le père qu'il a choisi, celui qui lui a montré la voie. Il n'est rien sans lui, rien sans les pirates, rien sans cette vie qui le nourri au fil des jours. A cause d'elle il a perdu une amie, une soeur, mais s'est toujours promis qu'un jour, il la retrouverait.

Il faisait bon, ce jour là, le soleil se tenait haut, très haut dans le ciel, dégageant sur les côtes de Yelderhil une chaleur étouffante. Le second était là, assit sur les marches qui menaient à la proue, affutant son poignard depuis presque deux heures. Il était plongé dans ses pensées, observant l’équipage au repos, portant le regard sur les rochers des côtes à l’horizon. Cela faisait plusieurs jours que le capitaine les avaient postés là, attendant qu’une tempête ne s’éloigne pour les ramener sur la terre ferme. Ils avaient essuyés un très violent orage et Lucian avait eu la bonne idée de les faire amarrer au large, de peur que le courant ne les fasse s’écraser contre les récifs. Il leva le regard vers le capitaine qui, les mains scotchées au gouvernail, se demandait si la tempête était définitivement passée. Un sourire étira les lèvres du brun qui reporta son attention sur ses mains. Ses mains… Cela faisait un moment que sa conscience ne lui avait pas jouée un tel tour. Il souleva son poignet gauche, observant ce qui y était accroché. Un croché en argent remplaçait sa main depuis quelques temps. Sous la puissance du souvenir, il lâcha le poignard qu’il tenait dans sa main droite et celui-ci vint se planter dans le bois d’une marche un peu plus bas. Serrant le poing, ses paupières se fermèrent sous la douleur de la mémoire de cette terrible journée. Elle n’était plus là, et la douleur pourtant cuisante. En l’espace d’une seconde, il revécu cette journée, ce moment horrible qu’il avait tenté d’oublier. Il attrapa son poignet d’une main, la respiration haletante, les yeux clos, la mâchoire serrée.

Sa vison le projetait en cette terrible journée de pluie, où le Capitaine les avaient fait monter à bord d’un vaisseau de la marine royale afin de piller les coffres et de saccager le navire. Alors que le pillage se déroulait pour le mieux, les marins tombants un a un sous les coups des sabres et des poignards, Hendrik avait été prit à parti par un jeune mousse et un amiral d’une vingtaine d’années. Erreur. La règle numéro un de la piraterie était de ne jamais se faire embarquer à l’extérieur de la mêlée. L’ennemi était toujours plus puissant sur son bâtiment lorsque vous étiez voués à vous-même, loin de vos camarades. Il se débâtait alors depuis plusieurs minutes et, assénant un coup de sabre dans la nuque du mousse, il regarda un instant la tête juvénile rouler à ses pieds. Un jet de sang lui éclaboussa le visage et il poussa le corps sans tête du talon.
Il avait arrêté de compter ses victimes, et le très jeune âge du gamin ne lui faisait plus rien. Il n’était pas sans cœur, mais la piraterie lui avait apprit ce qu’était la pitié, et qui la méritait vraiment. Il fit volte face en entendant le rugissement de l’amiral qui, de sa main libre, lui mit un coup de poing dans l’omoplate, lui faisant lâcher, sous le choc et la douleur, le poignard qu’il tenait dans sa main gauche. Un sentiment de rage s’infiltra dans ses veines comme un poison. D’un cri de rage puissant, il tenta d’épuiser son adversaire en redoublant d’intensité dans ses coups. Mais il devait faire vite, car lui aussi s’épuisait rapidement. Il planta son regard de braise dans celui de son adversaire tandis que ce dernier lui faisait une large entaille sous l’œil droit. Ils avaient le même âge, il le lisait dans les yeux. Pas plus de vingt ans. Rien ne les différenciait, mis à part leur statut social. Hendrik était né dans la rue, l’autre avait du naitre dans un grand lit à baldaquin aux draps de soie. Il n’était qu’un pirate, l’autre était au service du roi, et avait, malgré son jeune âge, un très haut poste de marin. Qu’avait donc fait Hendrik pour mériter une telle différence, une telle malchance ? Il en voulait à la vie pour cela, mais il en voulait d’autant plus aux gens comme l’amiral qui, sous leurs grands airs, ne connaissaient rien à la vie, rien à la souffrance que celle-ci pouvait vous imposer. De rage, il tenta de planter son sabre dans la poitrine de son ennemi, mais, trébuchant dans le corps du mousse qui gisait à leurs pieds, il manqua de perdre l’équilibre et tenta de se rééquilibrer avec son bras libre. Malheureusement, il ne vit pas que, dans cette tentative, il offrait sa main gauche à son ennemi qui, d’un coup puissant d’épée, la lui trancha. La respiration d’Hendrik se coupa nette sous la douleur, ses yeux se révulsèrent et il porta devant eux le moignon sanglant qu’était désormais sa main. Il avait l’impression que la scène se passait au ralentit. Sa vision se troubla alors que sa respiration ne revenait toujours pas, le vacarme de la bataille n’était désormais plus qu’un bruit sourd arrivant avec peine à ses oreilles. Il avait l’impression d’être enfermé hermétiquement dans une bulle de souffrance, où il n’entendait plus rien, aveuglé par la douleur.
Puis se fut comme si quelqu’un avait subitement remit le son, comme si les choses s’étaient remises à bouger. Le brun poussa alors le plus grand rugissement dont il était capable, il hurla pendant plusieurs minutes qui lui semblèrent des heures, hurla sa haine, sa douleur et sa peine. Son rugissement sembla couvrir le bruit des épées qui s’entrechoquaient un peu plus loin, et, serrant son moignon contre sa poitrine, faucha l’amiral au niveau du buste. La lame s’enfonça profondément sous les côtes flottantes de son adversaire dont le sourire s’effaçait peu à peu, ses yeux se remplissant de terreur. Il sentait la mort l’envahir tandis qu’Hendrik, les larmes aux yeux et hurlant toujours de toutes ses forces, lui découpait le buste à coup de sabre. C’était dorénavant la rage qui l’aveuglait tandis que, désormais à genoux, il s’acharnait à découper celui qui lui avait prit sa main. Lorsque frapper ne lui fut plus suffisant, le brun se redressa, et observa le champ de bataille à ses pieds. Les pirates étaient venus à bout de l’équipage, et quelques prisonniers étaient alignés contre le bastingage. Il croisa alors le regard de son capitaine et pu lire dans ses yeux toute la peine et toute la désolation possible. Il comprit alors qu’il avait vu toute la scène, et qu’il s’en voulait de l’avoir conduit ici, de l‘avoir conduit à sa perte. Mais Hendrik ne lui en voulait pas. Baissant le regard sur ses pieds, il aperçu sa main tranchée, séparée de son corps pour l’éternité. La douleur lancinante était tellement forte à son poignet gauche qu’il ne sentit pas la torture de son cœur qui se serrait sous cette vision. Il se baissa, attrapa sa main ensanglantée et la jeta par-dessus bord, ne voulant plus jamais en entendre parler.

Revenant à lui, le second poussa un soupir amusé. Comme si cela était aussi simple. Comme s’il suffisait de ne plus jamais vouloir entendre parler de quelque chose pour que le vœu se réalise. Il n’avait jamais cessé depuis des mois de penser à cet abordage qui lui avait coûté la main. Il se leva, ramassa le couteau qu’il avait affuté et attrapa une bouteille de rhum posée à côté du gouvernail. Un regard à son capitaine suffit à celui-ci pour comprendre que Lucian avait lu dans ses pensées. Une aura de culpabilité se dégageait de lui, et Hendrik esquissa un sourire compatissant. Il ne lui en avait jamais voulu pour la simple et bonne raison que c’était son unique faute. Il s’était laissé embarqué à l’écart du groupe et en avait payé les frais. Il s’efforçait de voir le bon côté des choses cependant. Cela lui donnait de la prestance, du charisme, cela intriguait les jolies filles et éveillait en elles leurs fantasmes inassouvis. A cette pensée il sourit, puis ferma les yeux et avala de longues gorgées d’alcool. Cela l’aidait à oublier, mais n’embrumait son esprit que pour quelques heures. Les jours qui avaient suivi l’incident, il avait descendu plus d’alcool que jamais, et même son capitaine avait du lui faire arrêter de boire. Il s’était laissé allé. Ses vingt ans avaient été salis, bafoués par la perte de ce membre et jamais le brun ne l’oublierai. Lucian posa une main paternelle sur son épaule, et lui lança un regard compatissant, tandis qu’Hendrik baissait les yeux.

« Courage, Hook, n’oublies pas qu’il représente ton identité, dorénavant »

Redressant la tête, il fixa les côtes de Yelderhil. Le capitaine les avait remis en route vers le port, et il avait hâte d’arriver. Il n’avait pas hâte de quitter le navire, seulement hâte de se changer les idées, de finir dans un bordel, accompagné d’une ou deux jolies filles, et de passer sa nuit à oublier. Tout ce qu’il voulait à cet instant précis, c’était oublier. Ne serait-ce que pour un temps éphémère, une nuit, deux jours, une semaine, la douleur continue qui s’abattait sur son poignet depuis huit mois maintenant, sans lui laisser de répit.

ɤ pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Cydonian, 17, female bitch ɤ fréquence de connexion ; 7/7, après ça dépend de mon prof de philo ...  ɤ que pensez-vous du forum? ;                  ɤ comment l'avez-vous découvert ? Bazzarland  ɤ code du règlement ; War will weather the souls of the lost ɤ célébrité choisie ; Colin ZETRYGDFUCKZSF O'Donoghueɤ credits (avatar, icon etc.) ;Me, myself and I   

bravo l'ami ! t'as passé l'épreuve de la fiche de présentation avec succès et t'es désormais validé ! pour la peine, tu te retrouves dans le groupe des THE WHEEL OF FORTUNE.

Ton test rp est vraiment chouette, tu as un style fort agréable à lire et j'aime beaucoup ce que tu as fait d'Hendrik ! Il reste quelques fautes ici et là, du coup je te conseillerais juste de faire gaffe en RP et n'oublie jamais que si tu as un doute/besoin d'aide pour un mot ou que sais-je, on adore aider .

par contre, t'en as pas terminé avec les trucs chiants ! tout d'abord, il va falloir que tu postes ta fiche de liens. rassure-toi, il y a un modèle à respecter, ça t'évitera d'avoir à coder pendant trois heures. ensuite, tu peux ouvrir ta fiche de rps. c'est le lieu idéal pour que les autres membres puissent savoir où tu en es & savoir si oui ou non tu es libre pour un petit rp. encore avec nous ? parfait ! si tu es artisan ou tenancier d'une boutique, c'est ici. ton personnage n'a pas encore de toit sur la tête ? c'est ici qu'il faut aller demander. maintenant, ton personnage est bien installé ! aaahn dernière petite chose. si tu as envie de créer un scénario, c'est ce modèle qu'il faut suivre. encore de l'inspiration ? n'hésite pas à lier ton personnage à des pvs déjà écrits. c'est par là que ça se passe !

néanmoins, nous savons tous qu'un forum n'est pas là que pour le rp. c'est pour ça que tu te conseillons d'aller faire un tour dans les différents sujets comme les petits jeux. tu veux donner ton avis ou raconter ta vie ? n'hésite pas à écrire tes amours/emmerdes dans le sujet flood intempestif.

n'oublie pas une chose ; amuse toi bien !